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mardi 13 juillet 2021

Un homme perdu my manageur companie

Jetez un œil à ces résultats de recherche : https://twitter.com/search?q=my%20manageur%20companie&s=09

dimanche 10 mai 2020

Bac date vision de balles sur la plage

Bonjour '&' Bonsoir : 

Bac date des zer création visuel 
Balle pétard sur brand boues suite hoMme perdude...
Telhttps://sites.google.com/site/httpwwwmonlenthautefr/home/homme-perdu/pl comme

samedi 12 octobre 2019

capasitée.durée.étude.travail: un homme perdu

capasitée.durée.étude.travail: un homme perdu: Bibliographie... A vous, vous rigorisme .Le Livre que du conte,L'enquêteurs de recherche de vie équoitrons eu se bons état-âme...… bonjour'&'bonsoir apret se temps passée Sant mont bien intellectuelle auto bibliographie qui on prit garder pour me le rendre apret ou ces Lantin Juprelle assistent psychologie de la prison qui long supprimer voila il l'y a encore des possibilité avec se monde actuelle je passe deux trois Foix pare semaine sur YouTube  cour city council toues les états et turme essemillé de me prendre a sont profile public job internet blog ou ces ma demande au public dans ma bibliographie bien a vous toutes et ou tous publier se message sur média sociaux cordialement best MLcEuTx

mardi 16 juillet 2019

dimanche 17 mars 2019

About Eionet

About Bonjour'&'Bonsoir en fin on socupe de moiEionet: The European environment information and observation network (Eionet) is a partnership network of the EEA and its member and cooperating countries.

dimanche 10 mars 2019

About Eionet

About Eionet: The European environment information and observation network (Eionet) is a partnership network of the EEA and its member and cooperating countries.

jeudi 26 octobre 2017

Le sex a oui claud

un r-d-v,à ouï claud
sex a ouï claud 
et au court du temps la vie commence,le matin mes les chose pré-ne le coure à la tasse de café, pour d'autre.allons raccoutrer la famille patoche Monsieur net vie en ville avec sa compagne,phénomène étend pas claire du touts et transparent trouvère le moillien de dire à net son compagnons,net ton pok-sère,et elle se découvrement du lit nu ,net lui dit si j'avais un appareil photo,elle lui répliquais mémorieset  ces la ou je me sens la mieux a l'esse jusqu'ici.je devait la travailler en principe,sans que personne l'en temps s'en doute.un peux après le bec de gaz phénomène leva la tête vers l'autre fenêtre en face elle et tes éclairer de l'appartement il ne le voie y a pas sur le moment s'en rendait plus comte.peut-être,si la lumière ou non. aurait t-il hésité à répondre.de même étage.il tenait plus qu'il n'aurait voulu  l'avouer.le cas ne se présentait pas aujourd'hui,car il  ne pleuvait pas,d’idée virtuelle.par exemple,sa femme avait l'avouer a net, il prononçait son traditionnels -pas de téléphone virtuelles? qu'il répondait en renferment la porte,'elle est sa réputation -elle répondis d'une voie d’ourse oui OK il  pansa fallait que je lui dise,si j’étais seule ou non.allons elle lui explique que la retransmission de se coup qu'il était importantes pour elle d'entrer au plus vite en contact avec toi.tout en même temps qu'elle parlais a son compagnons la regardait  la voilaient a la comprendre les soucis toujours froncés,avec un air.qui proclamait sa méfiance de sa transmission il était arrivé plusieurs foie dans  set pancer ou quelque personnage en place de pause de sex en face dans la lumière de la fenêtre d'en face,fasse appel a elle.mais toujours cela avais été pare la voies régulier a chaque foie.la conversation avait commencer pare je m'excuse,mon pauvre net de vous charger d'une affaire qui va vous déplaire.elle ne commentait se personnage qu'elle ne le connaît pas spécialement et ne l'avait jamais vue en chaire et en nos ci cet-tes pas un des homme dont on parle dans les journaux pourquoi n'a-t-elle pas téléphone a moi dit net c'était plutôt pour lui qu'il parlait répondit néanmoins ,est-ce que je sais,quoi d?je te ré-pet ce qu'il m'a dit d’abord qu'elle me téléphone D’ornement d'ici peux,ce dit cet avait fort impressionnée était-t-elle un personnage considérable qu'elle voyait mal le soir pénétrer presque clandestinement dans l'appart au coin de quelque houllevard ensuite,que tu ne devrait pas te rendre à vendre,mais dans son appart personne qu'il a conservés.elle consulta un poch-thiche sur le quel elle avait écrit quelque mot-il m'attend là-haut?ne se rendit pas contre en dessous du poch-thiche étais collé sur un dossier document avec une farde.il attendra au tournent qu'il faudra pour bien faire lui faire remarquer,elle questionneras d'une autre voie:tu crois que c'est une farée? il fit non de la tête c’était sertis imacoutumé bizarre mais cala ne ressemblait pas à une farce il pansâmes qu'elle vas revenir oui merci a tout à l'heure,quand il se retrouva-ire dans la rue,l'humidité qu'on avait sentis dans l'air touts la journées commençait à se condenser en un brouillard poussiéreuse qui mettait un halo autour des lumière il ne prix pas un taxi:pour se rendre  au boulevard il serait aussi vite en bus peut-être cela  tenait -il aussi rare qu'il ne se sentais pas en mission officielle tout le long du chemin en fixant parie machinalement un monsieur a moustache qu'il savait de point qu'il était un avocat qui lisait le journal en face de lui  vouloirs,et sur tout pourquoi il donnait un rendez-vous à la fois se pressentant et si mystérieux sauf erreurs qui était venue sur le tas virtuelle,il faisait partie de ces monsieur&madame touts le monde élus âpres la guerre,des mots entre phénomène et net pour le caractère et pour leur caractéte et leur conduite pendant l'occupation qu'avait t-il fait exactement,phénomène et net l'ignorait toujours est-il que alors que centait de ces collègue passaient à la chambre sans laisser de trace épaisse du brouillard avait été réel coup sur coup trois mois plus tôt lors des net dernier virtuelle quand il émergea du métro à la station pasteur le brouillard s'était épaisse ,jaunâtre en reconnues la saveur poussiéreuse sur ces lèvre il ne vis personne sur le brouillard entre dit seulement des pas au loin ,vers l'apparte,dans la même direction un trin qui sifflait en qui tant la gare un certaine nombre de fenéttre étaient encore allumé et dans la brume donnaient une imprèstion de paix de sècuriter ces maison ni riche ni pauvre ni neuve ni veille,aux appartement à pois près pareil était surtout habiter pare des gent de classe moyenne des professeur ,des fonctionnaire des employer qui prenaient leur métro ou leur autobus ou le bus à la même heurs chaque matin il poussa le bouton et quand la port s'ouvrit marie-louis un nom indiscrète en ce dirigeant vers l’ascenseur celui-ci étroit ,pour deux personne se mit à monter lentement mais sans secousse et sans bruit dans une cage d’escalier faiblement éclairer les port aux étage étaient d'une brin sombre les paillassions identique il soma a celui de gauche qui s'ouvrit immédiatement comme si quelle un avait éteindre .la main sur le bouton ce fut point qui fit trois pas en aurait pour renvoyer l’ascenseur auquel net et phénomène n'avait pas de penser je m’excuse de vous avoir déranger si tare phénomène-t-elle venez par ici virtuelle aurait été déçus car il répondait aussi pence que possible a l'idée qu'elle re faisait de l'aide et d’ambon point ,il était à peut prêt le prendrait missionnaire en plus carrer en plus dur ,on aurait dit plus en plus paysan et ses train vigoureusement tailler son nez fore et sa bouche fesiaent panser au tête seul teins dans marrons a inde elle portait un complet quelle conque grisâtre,toute n'aite deux chose frappaient surtout les sourcils couffus aussi longs qui lui couvraient les mains il observaient net de son côté sans essayer de s'en cacher sans sourire par politesse asseptez-vous marie-louis l'appartement plus petit que celui du boulevard de net et phénomène ne devraient se composer que de deux puises peut-être trois et d'une cuisine memuseule de l'antichambre ou pendaient quelque vêtement ils étaient passée dans le bureaux qui faisait pensée au logement à célibataire ,a un maillures,au mur des pipes étaient rangée plus  un paire de terre sous missionnaire jadis était couverte de papier et de cent tiroirs,sur montées de casiers et d'une multitude de petit chose il osa pas examinée tout de suite les photographie sur le mure le pére et la mére de point dans les mére cache                                                       

samedi 2 septembre 2017

Stress

Michel

Reflet

Info biguitee sur un tapis de fleurs etalee marches sur le millimetres rigours en sole sur a is sur vole de la route comme la plage d'oreyole autoure des yeux invisibles net d'une bontees multicolored na na le couchees de soleil d'un sule vistion atoms

jeudi 31 août 2017

Book homme perdu

https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSfeM_cR8ozcp6GfHPaPFj7Sl73v4jwFGuHsJiW1bHKNhSCZzQ/viewform

mercredi 16 août 2017

Bonjour'&'bonsoir ne croiller pas publication exausife mais sa ces passer en belgique Bruxelles ou et comune de Liege les politiques reconnue commentas des reunion bien remunerer sans allee joindre leur profile assicter a la reunion directeur de publifine prenais bisnnes pour Louis aissi quelle que autre ramasse argent euro pare mois ou et trois mois sa des pemps  les resette du mois a publifine voilà se que j'avais expliquer book homme perdu trafique de travail publier 2013 jusqu'a 2017.03.03 puits le book a ete raboter pare l'ardministration charle Michel premier ministre blegique je vais essierllier de reconstruire se quille l'y avais dans histoire du grand des bas publique media sociaux etat de la sience bruxelles etais tribuneaux quand je fi book consue etat de la sience a ete grasier pare la cuore europenne je croie dictee les grand magasin doit sur Mans avoir ticket moderateur pour europenne a la piesse je parle mientenant Grotte de diament an affique cause que sa ne vent pas bien les Pierres consue y avoir sena n'est pas reglementaire consue pare le Non amerique sena veux dire sena vient etat americain pour mieur dirigerà en belgique il nom pare calification pour vue, que ces un etat americian  pare belge comme il na pas etre la vue ici en belgique ces pas un etats set un pays ici en belgique il nes pas reglementaire vue il n'y a pas de lieux pour etablissement inconue bataillons je connet mieux que moi mons dossier book comme les site adresse book bibilographie pour imstemps a temps tot

Hommel perdu

https://play.google.com/store/apps/details?id=com.vinternete.livecams

mardi 1 août 2017

https://www.thinkwithgoogle.com/search/#?query=Search&page=0,0&sort_field=date&limit=12&locale=en-us&current_source=twg_site&advertising_channels=Mobile

lundi 31 juillet 2017

Resevez

https://www.thinkwithgoogle.com/search/#?query=Search&page=0,0&sort_field=date&limit=12&locale=en-us&current_source=twg_site&advertising_channels=Mobile

lundi 24 juillet 2017

Blog

Www.bloguer.omo

Site à moi

https://sites.google.com/site/wwwmonlanhautecom/

Site a moi

https://sites.google.com/site/wwwmonlanhautecom/

Site à moi

https://sites.google.com/site/montlanhautefr/

Site de moi

https://sites.google.com/site/montlanhautefr/

Site de moi

https://sites.google.com/site/httpwwwmonlenthautefr/

Site à moi

https://sites.google.com/site/httpwwwmonlenthautefr/

Wikipedia

Enregistrée site Maps

Adresse monlanthaut.fr

http://xmlrpc.eritreo.it/#

AdresswordpresseMaps

WordPress - 7.8 - Version code: 434 Android device name: HTC Desire 516 dual sim 01 - [Jul-24 13:14 UTILS] WordPress.onCreate 02 - [Jul-24 13:14 UTILS] App comes from background 03 - [Jul-24 13:14 UTILS] Deferred Initialisation 04 - [Jul-24 13:14 UTILS] trackLastActivity, activityId: My Site 05 - [Jul-24 13:14 PROFILING] App Startup: begin 06 - [Jul-24 13:14 PROFILING] App Startup: 244 ms, WPLaunchActivity.onCreate 07 - [Jul-24 13:14 PROFILING] App Startup: 148 ms, WPMainActivity.onCreate 08 - [Jul-24 13:14 PROFILING] App Startup: 263 ms, WPMainActivity.onResume 09 - [Jul-24 13:14 PROFILING] App Startup: end, 655 ms 10 - [Jul-24 13:14 STATS] Number of old stats deleted : 0 11 - [Jul-24 13:14 UTILS] Connection status changed, isConnected=true 12 - [Jul-24 13:14 NOTIFS] Sending GCM token to our remote services: fKtzyQ7LPzU:APA91bFXcKVr09BSeGnmO5SpO7lVrnFHIVsT4YGnB-QGFcycKKlPn8ELqlbbqL9PUj8NMgc6_CtOSHOEqzc7TOY3wmX7y58DWWvGUKrVZLgFevO9vPl3d8vh0WDQjCf-PAdwFRmP1Poz 13 - [Jul-24 13:14 UTILS] trackLastActivity, activityId: Login Screen 14 - [Jul-24 13:14 NUX] Google API client connected 15 - [Jul-24 13:14 NUX] SmartLock: Unsuccessful credential request. 16 - [Jul-24 13:16 NUX] User tries to sign in on Self Hosted: Maps@gmail .com with username: michel.houbaille@gmail.com 17 - [Jul-24 13:16 API] Dispatching action: AuthenticationAction-DISCOVER_ENDPOINT 18 - [Jul-24 13:16 NUX] Calling system.listMethods on the following URLs: [https://Maps@gmail .com/xmlrpc.php, http://Maps@gmail .com/xmlrpc.php, https://Maps@gmail .com, http://Maps@gmail .com, Maps@gmail .com] 19 - [Jul-24 13:16 NUX] Invalid URL: https://Maps@gmail .com/xmlrpc.php 20 - [Jul-24 13:16 NUX] system.listMethods failed for https://Maps@gmail .com/xmlrpc.php - exception: null 21 - [Jul-24 13:16 NUX] StackTrace: org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder$DiscoveryException at org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder.doSystemListMethodsXMLRPC(SelfHostedEndpointFinder.java:409) at org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder.checkXMLRPCEndpointValidity(SelfHostedEndpointFinder.java:368) at org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder.verifyXMLRPCUrl(SelfHostedEndpointFinder.java:187) at org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder.verifyOrDiscoverXMLRPCEndpoint(SelfHostedEndpointFinder.java:133) at org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder.access$100(SelfHostedEndpointFinder.java:40) at org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder$1.run(SelfHostedEndpointFinder.java:108) at java.lang.Thread.run(Thread.java:841) 22 - [Jul-24 13:16 NUX] Invalid URL: http://Maps@gmail .com/xmlrpc.php 23 - [Jul-24 13:16 NUX] system.listMethods failed for http://Maps@gmail .com/xmlrpc.php - exception: null 24 - [Jul-24 13:16 NUX] StackTrace: org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder$DiscoveryException at org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder.doSystemListMethodsXMLRPC(SelfHostedEndpointFinder.java:409) at org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder.checkXMLRPCEndpointValidity(SelfHostedEndpointFinder.java:368) at org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder.verifyXMLRPCUrl(SelfHostedEndpointFinder.java:187) at org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder.verifyOrDiscoverXMLRPCEndpoint(SelfHostedEndpointFinder.java:133) at org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder.access$100(SelfHostedEndpointFinder.java:40) at org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder$1.run(SelfHostedEndpointFinder.java:108) at java.lang.Thread.run(Thread.java:841) 25 - [Jul-24 13:16 NUX] Invalid URL: https://Maps@gmail .com 26 - [Jul-24 13:16 NUX] system.listMethods failed for https://Maps@gmail .com - exception: null 27 - [Jul-24 13:16 NUX] StackTrace: org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder$DiscoveryException at org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder.doSystemListMethodsXMLRPC(SelfHostedEndpointFinder.java:409) at org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder.checkXMLRPCEndpointValidity(SelfHostedEndpointFinder.java:368) at org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder.verifyXMLRPCUrl(SelfHostedEndpointFinder.java:187) at org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder.verifyOrDiscoverXMLRPCEndpoint(SelfHostedEndpointFinder.java:133) at org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder.access$100(SelfHostedEndpointFinder.java:40) at org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder$1.run(SelfHostedEndpointFinder.java:108) at java.lang.Thread.run(Thread.java:841) 28 - [Jul-24 13:16 NUX] Invalid URL: http://Maps@gmail .com 29 - [Jul-24 13:16 NUX] system.listMethods failed for http://Maps@gmail .com - exception: null 30 - [Jul-24 13:16 NUX] StackTrace: org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder$DiscoveryException at org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder.doSystemListMethodsXMLRPC(SelfHostedEndpointFinder.java:409) at org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder.checkXMLRPCEndpointValidity(SelfHostedEndpointFinder.java:368) at org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder.verifyXMLRPCUrl(SelfHostedEndpointFinder.java:187) at org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder.verifyOrDiscoverXMLRPCEndpoint(SelfHostedEndpointFinder.java:133) at org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder.access$100(SelfHostedEndpointFinder.java:40) at org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder$1.run(SelfHostedEndpointFinder.java:108) at java.lang.Thread.run(Thread.java:841) 31 - [Jul-24 13:16 NUX] Invalid URL: Maps@gmail .com 32 - [Jul-24 13:16 NUX] system.listMethods failed for Maps@gmail .com - exception: null 33 - [Jul-24 13:16 NUX] StackTrace: org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder$DiscoveryException at org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder.doSystemListMethodsXMLRPC(SelfHostedEndpointFinder.java:409) at org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder.checkXMLRPCEndpointValidity(SelfHostedEndpointFinder.java:368) at org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder.verifyXMLRPCUrl(SelfHostedEndpointFinder.java:187) at org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder.verifyOrDiscoverXMLRPCEndpoint(SelfHostedEndpointFinder.java:133) at org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder.access$100(SelfHostedEndpointFinder.java:40) at org.wordpress.android.fluxc.network.discovery.SelfHostedEndpointFinder$1.run(SelfHostedEndpointFinder.java:108) at java.lang.Thread.run(Thread.java:841) 34 - [Jul-24 13:16 NUX] The XML-RPC endpoint was not found by using our 'smart' cleaning approach. Time to start the Endpoint discovery process 35 - [Jul-24 13:16 NUX] Running RSD discovery process on the following URLs: [Maps@gmail .com, https://Maps@gmail .com, http://Maps@gmail .com] 36 - [Jul-24 13:16 NUX] Downloading the HTML content at the following URL: https://Maps@gmail .com 37 - [Jul-24 13:16 API] Volley error on https://Maps@gmail .com - exception: java.lang.IllegalArgumentException: unexpected url: https://Maps@gmail .com 38 - [Jul-24 13:16 API] StackTrace: com.android.volley.VolleyError: java.lang.IllegalArgumentException: unexpected url: https://Maps@gmail .com at com.android.volley.NetworkDispatcher.run(NetworkDispatcher.java:143) Caused by: java.lang.IllegalArgumentException: unexpected url: https://Maps@gmail .com at okhttp3.Request$Builder.url(Request.java:141) at org.wordpress.android.fluxc.network.OkHttpStack.performRequest(OkHttpStack.java:51) at com.android.volley.toolbox.BasicNetwork.performRequest(BasicNetwork.java:97) at com.android.volley.NetworkDispatcher.run(NetworkDispatcher.java:114) 39 - [Jul-24 13:16 NUX] Content downloaded but it's empty or null. Skipping this URL 40 - [Jul-24 13:16 NUX] Downloading the HTML content at the following URL: http://Maps@gmail .com 41 - [Jul-24 13:16 API] Volley error on http://Maps@gmail .com - exception: java.lang.IllegalArgumentException: unexpected url: http://Maps@gmail .com 42 - [Jul-24 13:16 API] StackTrace: com.android.volley.VolleyError: java.lang.IllegalArgumentException: unexpected url: http://Maps@gmail .com at com.android.volley.NetworkDispatcher.run(NetworkDispatcher.java:143) Caused by: java.lang.IllegalArgumentException: unexpected url: http://Maps@gmail .com at okhttp3.Request$Builder.url(Request.java:141) at org.wordpress.android.fluxc.network.OkHttpStack.performRequest(OkHttpStack.java:51) at com.android.volley.toolbox.BasicNetwork.performRequest(BasicNetwork.java:97) at com.android.volley.NetworkDispatcher.run(NetworkDispatcher.java:114) 43 - [Jul-24 13:16 NUX] Content downloaded but it's empty or null. Skipping this URL 44 - [Jul-24 13:16 API] Dispatching action: AuthenticationAction-DISCOVERY_RESULT 45 - [Jul-24 13:16 API] onDiscoveryResponse has error: NO_SITE_ERROR - NO_SITE_ERROR 46 - [Jul-24 13:16 API] Discover error: NO_SITE_ERROR

Se rendrez- vous

10 Rue Armand Stouls https://goo.gl/maps/ayDKF6Swz7D2

Maps adresse

https://www.google.com/maps/placelists/list/131oZcRtxkU-PXFTvLrQWu_ZvLkk

Homme perdu Wikipedia

https://wordpress.com/start/design-type-with-store?ref=websitebluefooter

Éducation mondiale

http://fr.unesco.org/gem-report/node

Éducation mondiale

http://fr.unesco.org/gem-report/node

Homme perdu book villon francois

https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/4/4e/PendusVillon.jpg/408px-PendusVillon.jpg
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/4/4e/PendusVillon.jpg/408px-PendusVillon.jpg

https://upload.wikimedia.org/Wikipedlia/commons/thumb/4/4e/pendusvillon.jpg/408px-pendusvillon.jpg

https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/4/4e/PendusVillon.jpg/408px-PendusVillon.jpg

mardi 27 mai 2014

capasitée.durée.étude.travail

capasitée.durée.étude.travail bonjour & bonsoir a tous publies HTML pour google ou et autre site que vous connêt et bien vener voir bloc auto bibilographie mise en montage a jour mieurs mise a jour appret comstruiction jour a jour automatique bien tôt travail asbl ou et indépandent voir régions woilonne qui vons visiter mon projet qui discutrons ensemble pour mieurs dossier mise a jour pour fair bibiothèque ou et voire des personnes diffèrent travail accet a la profection durer indéterminer ou et mitemps a se que tous le monde qui des pends d'une histoire en premier ou et en deusième (1.virtuelle)+(2.parler)(3.retourne tous deux sur le virtuelle)+(plus souvent passe a l'acet) je serre d'écoute de la personne (conseille)+(revie avec lui ou et elle)situaction(consielle)amerliore(décroche)décolle

mons but que je pratique que la personne soie sentire écouter en grops

le but asbl

l'autre projet resaurer livre tous genre de livre a restaurer but

mardi 6 mai 2014

recherche public future pour parler passée étnique

cherche personne publier bibliographie en parler avec des gens

il suffi d'un son pour se sentir bien pas vous

j'aime l'écoute encore quant ces moi qui la pratique l'écoute

j'aime être a l'écoute

j'aime être a l'écoute

Vidéo d'une webcam datant du 2 mai 2014 22:54

recherche public future pour parler passée étnique

Vidéo d'une webcam datant du 2 mai 2014 22:54

dimanche 4 mai 2014

Un toc un comportement
anormal
La Loucherie (Loucher)
Les jumelles
Des sosie
Des patte d'oie
Home phone:vingt vin vins vain vains Les Radicaux < fond plafond profond
Atome-anatomie                                -atome
Atomiseur-anatomique
Territoire-passoire                              -oire
Andhèrente                                         -rent

Un Tic=un mouvement
non contrôlé
involontaire
Les même son
à a =préposition à gui pille à cheval à moitié (à poil) à poils
Elle a en peur Il a chaud avoir= a verbe dire au ait = verbe
ne peut pas dire
avait-préposition
Donne-moi un verre à vin on ne peut pas dire avait
une raie de voiture
une raie  un poissons
un raie de lumière (petit rayon)
un rit =un filet prendre dans un rets arrêter (pêcher)
Homophones          Homonymes                       Homographes
même                      même nom                         même écriture
le vin                       je vins                                le voile
(en) vain
vainement
je vins
il vint

sens mots               c'est             ses met étudier       se sont étuis
-invariable             se s'est          se lave
-variables                ces              démonstratif
genre personne
nombre nombre
  Les Tiennes

Ance/encre:une encre bleue,ancre jet l'ancre balai / les danse du ballet,ballet sont magnifique le balai est un ustensile ménager,fax/fait:loure fardeau,(fait de action de faire q-q-ch) pousse/pouce:le premier doit de la main,développement de ce qui pousse(plants):pousse pousse mousse
2.palais,palet:somptueuse résidence-grand édifice public du pays partie supérieure interne de la bouche:organe du goût hoquet sur glace écho/Écot: 1 réfection du son par un obstacle qui le répercute : le son répété 2 figure ce qui répète par q.q.n loc se faire l'éche d'une nouvelles propage (allée plus loin) les échos d'un journal mon daines ou locales sa posletation est reste son échos .
daines-1.relatif à la société des gens du nombre (III 2) qui aime leurs habitudes.
Il faut payer son échot pour être honnête et en règle.(échot)-partie part pohon  ..
houx/houe l'arbre ou l'arbuste à la feuilles bordées de piquants à baies rouge vif:houe n.f pioche à lane assez large dont on se set pour binez la terre biner: (remuer la terre) pioche outil,fer emmanché à deux pointes opposées forêt/ foret :une vaste étendu servant à forer poreuse perceuse  :
une vase sur l'eau coule vère la rive
une pièce de monnaie
je vais prendre un bols d'air
mon livre est intéressent
j'ai but une tasse de café d'un celle trait  .
Les homonymes
.une raie(trait,sillon...)/une raie(poisson de mer)/je raie(verbe rayer)/un rai(rayon)/un rets(filet)
filet+un trident-le rétiaire=gladiateur un rai de lumière un rets =un filet (prendre dans ses rets)expression
règle
les homonymes sont des mots qui ont la même prononciation mais le plus souvent une orthographe diffèrent.il faut donc chercher le sens de la phrase pour écrire le mot correctement .Lorsque des homonymes ont la même orthographe,on les appelle des homographes
une raie(ligne...)/une raie(poisson)/je raie(v.rayer)
En courant vers le carrosse,Cendrillon perdit sa pantoufle de vair.
Sous le châssis de verre,les semis dressaient le vert tendre des jeunes feuilles.
Laborieusement, vers après vers,il mémorisait le tête de poème.
Cent mètres plus loin,la meute reprend la piste.Elle sent que le caribou est proche,sans défense.il a perdu
beaucoup de sang.Viendra le dernier assaut et il ne s'en remettra pas .C'en sera fini.

Le mois de mai
il chant bien
mon cher ami
je bois de l'eau

je monte la tante
je mange du pain
je suis au cour
je bois du lait
quand je vous le disais
je dé peausse la plaque conte
je mange un flan
il est tant à allée chercher du pain
je lui sère la main
il est mort à 12:00
je joue avec la console
je signe le document
j'ai du bons cœur à lui prêter mon ballon

il est censé être à paris,qui a du bon sens
la nuit tous les chat sont gris
je rendre le fille dans la chars
je vent la cession de bail
un tribunal est apte à tenir séance


je regarde le rayon de soleil sur le mur
je rendre dans le pavillon
je caresse la boue

j'aime bien le mois de mai pour ses fleure
je chante bien les différentes chanson
nous aimons les courtoisie de cher
je vais chercher du pain
je cour sur le béton
je bois un verre de lait
je nage dans l'eau
tous le monde demande quand ou passe la pièce à l’ôtée
je passe le temps à l'histoire de conte
je prépare du flan
elle a tant couru qu'elle est essoufflée
je lui donne la main
mon père et ma mère est mort
je joue au ballon
je signe un contrat
ma copine à bon coups de cœur
elle est supposé être censé d'allée là
qui a bon sens
communication en temps réel sur l'internet
par échange de miss ages écrit
je prend nos  temps à enfilé thou 

samedi 3 mai 2014

un homme perdu


Bibliographie...
A vous, vous rigorisme .Le Livre que du conte,L'enquêteurs de recherche de vie équoitrons eu se bons état-âme...des bonheurs d' études
· nous ne prétendons pas offrire ici une biographie exhaustive,qu'interdit le fonsionnement,depuis un siècle,des édictions et des commendaires de l'oeuvre poètique de villon,aussi bien que celui des recherches historieque de Villon,aussi bien que celui des recherches historiques sur la socièté française à la fin du Moyenn Age,En ce qui concerne Villon,le Manuel bibiographique de la litèrature française du Moyen Age de Rober Bossuat lecteur désireux d'un approfondissement la réfèrence de quelqu deux cent livres et Articles.D'autres indications seront trouvées dans les appareils bibliographique de quelques travaux récents cités ci-dessous...
l'oeuvre De Villon,
Le texte de Villon est connu,pour l'essentiel par cinq,manuscrits-trois sont conservés à Paris,un à berlin et un à stoclokholm-et par les premiers éditions,notamment celle de Levet (Paris,1489).Malgré cette absence d'un manuscrit original et la mauvaise qualité des premiéres copies et des édictions de base,la criticle moderne est parvenueà établir d'excelentes édictions scientifiques,pourvues de commentaires philologiques linguistiques et historiques, ques et historiques.La plus récente,celle de Rychner et Henry.dispense presque de recourire à celle de thuasne,mais non aux thuasne,excellentes.notes de celui-ci qui gardent leur intèrêt,même si leur propoe est souvent dépassé.parmi les nombreuses éditions à l'usage du lecteur peu familier de langue du XVsiècle,celle de Mary se recommande par l'intelligence et le tact avec lesquels a étè opèrée la modernisation,celle de Michel par la richesse de ses notes et son notes et de son interprètation.copie part la traductions né à L'hopitale de ougrée . Le en date, années. 1970 22 juillet ,nomé Michel louis claud Houbaille re dispaussents ces école de herstal 3 thènique oppsions cour agrèés.Promosion social poste nom direction attitrée code la ouvèrture du nomé cité le suivent Directeur à messure construitive soigne (le) (la) [ corttêcste].
La nature et la loi dans l'Esprit des lois de Montesquieu.Maître et valets ou L'être et le paraître chez Mariveaux. Le Nouveau Roman:mort ou renaissance du genre romanesque? Pensez-vous que l'oeuvre littèraire nous détourne de la réalité ou ,au contraire,nous aide à mieux comprendre les choses de la vie?
Exemple De sujet Double
· L'amour et la mort dans le thème de Don Juan.
On suppose acquise une connaissance suffisante de l'hisoire littèraire et dramatique du thème dans ses grandes étaples:le Don Juan baroque de Tirso de Molina (1620-1630.), celui de Molière (1665),celui de Mozare et Da Ponte(1787),la figure presque positive du Don Juan romanique,avant les renouvellements contemporains (Ghelderode,1928;Montherlant,1958).
L'image commune de Don Juan est celle du séducteur perpètuel,impénitent et qui sera puni de ses outrances,de ses pèchés:la mort et l'Enfer,donc,vécus essentiellement comme une punition à un amour(?)sans règles,qui boulevers l'orde social,moral et religieux.cette version du thème donjuanesque est celle qui entre le mieux dans la démonstration apologétique qui fut,à l'origine,celle de Tirso de Molina.Déjà chez Molière,les nuances et les profondeur du personnage en font un séducteur agnostique et rebelle,plus responsable de lui-même et de ses actes.
De façon plus positive encor,Don Juan peut aussi apparaître comme un symbole de vie,d'énergie sensuelle et passionnée qu'on peut alors opposer à une mort froide et cruelle (celle représentée par la statue de pierre du Commandeur);la vie violente et riche contre cette attente de la mort,sensible dans les joies les plus aiguËs de la sensualité.(cf.Mozart?).
A moins encore qu'on ne voie dans l'amour,ou plutôt dans le défi des aventures de Don Juan (qui d'ailleurs n'aime pas,mais veut surtout conquèrir)le remède à une inquiètude intèrieur,peut-être de type métaphisique:l'amour(?)divertissement d'un être baroque qui pressent à sa manière le néant(l'absurde?)de la mort qui fuit aussi ses contradictions et ses vertiges.A ce moment-là,le séducteur voit voit sans doute dans la mort une dernière<aventure>,au double ses du mot (cf.les premier Don Juans baroques,mais aussi le Don Juans sans premiers Don Juans proche de Sisphe qu'on trouve chez Camus).
D'où un PLAN qui essaie de jouer sur les deux notions proposées,de la manière suivante.
I .La mort,punition d'un amour interdit.
II. L'amour et la vie contre une mort cruelle.
III .Les jeux de la séduction face au néant.
IIII. Bien du grec vas plus loin 
De L'interprètation Á L'exploitation Du sujet
Les analyses de détail jusqu'ici proposées permettent souvent d'entrer dans le sujet,mais elles doivent surtou servir un questionnement et une compréhension d'ensemble.On est ici au coeur de la préparation du devoir qui se joue sur la précision de suggérer les directions essentielles,une lecture attentive va devoir cependant questionner le sujet dans ses mots,dans son discours:de toute façon,il est un peu artificiel de séparer cette lecture de la ercherche conceptuelle puis de la composition d'un plan qui,inversement,trouvera toujours sa justification dans l'interrogation du texte de départ.IL faut cependant,pour la méthode,dissocier et sérier les questions.On verra donc comment lire activement et synthétiquement le sujet dans son ensemble,comment ensuite mattre au jour ses présupposée,ses difficulté,son intérêt.A partir de là,des idées naîtront qu'on devra organiser.
lire Le sujet De Façon exhaustive et Synthétique
La question se pose dés lors que deux mots importants ou deux notions apparaissent:le risque est évidemment de privilègier un élément et d'oublier l'autre.Inversement,un lecteur trop scrupuleux va se perdre dans des remarques dispersées sur dix notions diffèrentes qu'il faut au contraire rassembler < nouer>On attend donc une attention au sujet qui soit homogènes et en compréhension.
1-.sur un sujet court portant sur auteur précis:
Les poèmes de claudel font-ils apparaître que,comme le dit l'auteur lui-même,<le monde est une immense matière qui attend le poète pour en dégager le sens et pour le transformer en action de grâces>?
au fur et à mesure de la lecture,relevons des points d'importance inégale:
poémes:le mot définit évidement un domaine d'enquête,mais il a aussi,comme on l'a vu,une étymologie qu'il faudra rappeler à propos du poètze du poète qu'attend le monde,poète-créateur,auteur d'une genése...Au-delà du genre poétique,le reste de l'oeuvre de Claudel est peut -être aussi concerné par cette idée de gensése et de sens,en particulier dans les textes dramatiques.
Comme le dit l'auteur lui-même:on peut réflèchir ici sur le regard du poète cherchant le sens de sa propre oeuvre,sur le rapport entre une pratique et une théorie poètique,sur les textes,bien sûr,où Claudel explicite cette démarche existentielle qu'est pour lui la poèsie:Art poètique (1904 et 1907)si la poèsie est connaissance et co-naissance selon le calembour claudelien,que sera alor la connaissance critique de cette connaissance poètique,
le monde:Au risque de surinterprèter,on peut y voir un univers déjà presque organisé,et c'est l'étymologie qui nous y invite puisque le mundus latin est aussi bien le monde que la parure(cf,le kosmos grec,par opposition à un choas brutal).C'est sansdoute cet orde caché et encore indicile qui deviendrait sens à travers le poète,même s'il déjà présent graçe à Dieu et à sa parole fondatrice.
poète de michel françois villons pour les texte de table inde Discièxse.
· jonchereurs jonchant en joncherie,
Rebignez bien où joncherrez
Qù'Ostac n'embroue votre arrerie
Où accolés sont vos ainés.
Car tôt vous serez Ronpieurx.
· Échec qu'du marieurx!!!?
Filous filoutant en filouterie
Regardez bien où filouterez:
Que tusca n'emballe votre cule
où pendus sont vos ainés.
Poussez de la jambe et rompez!
Car tôt aurez la ronpie.
Gare que pendus la roupie
Gare que pendus ne soyez
Par la ptte ne soyez
Pas la patte du marrieur!
· dictionnaires bibliothèque des livres de la connaissence sentifique et culturels de vie, de la européèneté...des,de,l'années 0000 du comcrêtemeants-de les calendriers de tous les nom composent un signe de vècùe de nos ensètres précerdents .Miche as abrervidiquement dit prophète(ça as veux dit es abrei(vv) us eu mts stm = dictionnaires accêt des mots sentifique ésprit parlent en langage fort et courents + couleurs des yeux =oiel. voires bibliothèque des livres. de la reconstitusions...des années 0000 du concrètement -véçu jusqua'haujour'duit par d'autre homme. appeler par le nom intitulés,.Michel....
Michel prophète =Michel...N°13-21(ex:) 1.2.3.4.5.6.7.8.9....13.21........_³'² (ex) Michel.Saint... Les traditions juive et chrètienne font de lui le chef des anges(son nom veut dire en arméen:<qui est comme Dieu >).L'Ansien Testament (Danel,X,13-12,et XII,1)Le considère comme le protecteur d'IsrËl et l'un des °)sept archanges.La pocaypse(XII?=XII,7) l'appel le chef des armés célèstes,qui luttent contre Satan et ses complices.Le culte de saint Michel prit naissance en Orieent,à byzance et à Alexandrei,aux débuts de la chrétienté.Honoré surtout en Italie (Monte Gargano)et en france,il apparut vers 706,selon une légente,sur le rocher où fut construite la célèbre abbaye du mont-Staint-Michel fêté le 29 septembre,il est le patrons des soldas, et particulièrement des parachuistes.état 1 premier roi du pays Roumanie nom inscrit né en 1921 à 1930 Evincé à la suite du retour de son père Carlo II,il recouvrea sont titre en 1940.fortement influencé par les fascistes il régna jus qu'en 1947,où la proclamaions de la république populaire en Roumanie le contraignit à abdiquer.il vit depius lore en suisse avec sa femme,la princesse Anne de bourbon-Parme,et ses enfants et travaille dans une compagnie d'aviation.Michel,Ange,Michelangelo Buonarroti,dit siècle 1475-1564 programa harchitêctures de l'arc.(ex) mis en ciel beaux rose coucher de soliel ou coucher de lune!?
biographie de maître françois villon
résumé: un homme comme les autres,daans le futur quartier Latin des années 1450.il ressemble à quellque milliers d'écolier plus riches d'illusion que de bagage ou sd'emploi.En ce temps de dynamisme retouvé au sortir de la guerre, il y a des places à prendre,mais la socièté,déjà,se défend des nouvelles ambitions:beaucoup de places sont prises, ou réservées.Clerc et célibataire par opportunité,amoureux par tempèrament et misogyne par résignation,il hésite entre les femmes et les filles.il n'hésite pas mois entre l'école et la taverne. Sa science est courte,toutjuste propre à fournir les réfèrences indispencables en une époque où mieux vaut s'appuyer sur l'autorités que faire preuve d'originalité.Le maleur fond sur l'écolier sans emplois.il tue,il vole,il s'essaie à vie de cour et se retrouve sur les grand chemins.On veut le pendre.Est-il un bandit?Est-il un amuseur qui joue au truand? Villon est en tout cas le témoin passionné d'un temps et d'un monde.Un historien ne pouvait qu'être tenté de l'interroger.Comprendre villon,c'est comprendre ceux qu'il a côtoyés,entrevus,jalousés.Pourquoi ne pas écouter un poète lorsqu'il parle de lui et des autres, lorqu'il règle son compte avec la socièté et avec son propre personnage?Des écoles aux tavernes,du port en grève au cimetière des innocents,de la cour chevaleresque du roi René au bouge de la grosse Margot,les véritables héros de ce livre sont la hain,la justice et la misère.Mais l'oeil du poète est malicieux,et il a cent facettes.
chapitre 1.
Né de paris emprès Pontoise
les paridiens ;://... monsieur tous le mondes.
je suis françois donc il me poise, Né de paris emprès pontoise...
Le poète ironise,avec aux lèves l'amertume de celui qui se voit perdu.Son compagnon des bons jours et des mauvais coups s'en tirera parce qu'il est savoyard:duc de savoie intercèdera pour lui.Mais quelle protection peut-on attemdre quand on a le maleur d'être tout bonnement parisien?Et de jouer sur les mots:françois et français sont même chose dans la graphie du temps,et l'on prononce de même.Villon le sait bien,dans la double enciente qui enserre la capitale,le colporteur de vernon ou le vigneron de bagneur n'est pas n'est pas tenu pour <français>,et il lui faut pour vendre en grève le contenu de sont bateau,s'associer avec un <compagnon français>,autrement dit un bourgeois de paris. ou et de la vie cotiennes 
Le Parisien de paris est rare,cependant.Une petite ville, <emprés Pontoise>:le mot est dur.Le Parisien les supporte mal,ces gens de pontoise et d'ailleurs,qui jouent au Parisien et encombrent les rue,les tavernes et le marché de l'emploi.Au vrais,maitre françois de Montcorbier en Bourbonnais,dit villon,aurait bien mauvaise graçe à Arnaud de Marle,qui a été reçu Au Parlement en 1413 au temps de la réaction anti-cabochienne,vient ainsi occuper comm président le siège dont tout le monde se rappelle qu'il fut celui de son père,avocat de charle v et le chancelier de charle VI tout est à l'avenant.
A côté des revenants,les survivants.Sans trop lever le nez,ils sont ont fait leurs affaires.ils ont crié pour l'un, crié pour l'autre.ils ont surtout crié < vive la paix>,ce qui signifiait à certains moments un programe politique...
Né De Paris,Emprés Pontoise
c'est le monde, petit et moyen,de la boutique et de l'échoppe.Bien des hommes et femmes de tout niveau se sont expatrie pour fuir le chômage.Des soixante vendeur de vin qui opèraient jadis sur port en grève,il n'en restai que trente-quatre dans paris exsangue et bloqué de 1430.sur le port commeau long des rues dans les boutiques,une sélèction sélève a laissé vivre cette petite bourgeoisie.Moins de travail,moins d'hommes:cela moins sont-ils,dans ces années 1445-1450,les premiers sur place pour profiter du regain.Et comment ne remarquerait-on pas,parmi ces Parisiens de Paris,les descendants des quelque familles qui ontfait bourgeoisie parisienne,les petits-fils des notables presque légendaires du temps de philippe Auguste ou de phillipe le bel, ils sont encore la,les Braque,déja propriètaire d'une siegneurie à la campagne,fait à la ville figure d'aristocrat quand,en 1441,il entre au parlement.de même les noms de la bourgeoisie qui fit la place financière de Paris au début du XIVsiècle,n'ont)ils pas tous disaru:Genien,Pizdoe,Épernon tiennent encor à l'hôteldee vielle les commendes de la machine administrative qui gouverne la vie économique.D'autres ont décliné,que l'on trouve maintenant parmi les petite notables de quatier,les chefsdes métiers,les protagonistes modestes de la vie quotidienne de Paris.ils sont dizeniers,ils sont maîtres jurés.ils animent la fête hebdomadaire qu''est le tir à l'arc ou à l'arbalète.ils viellent sur les processions des confrèries et prennent au sérieux dans les consiels de fabrique où le marguillier en remontre à sur son curé.
CesParisiens de Paris qui sont plus des gens en vue n'en sont pas moins des gens influents.il leur revient tout naturellement d'orgarniser la résistance aux nouveaux venus,autrement dit la fermeture des métier et des confrèries pour une défence plus efficace des intèrêts communs de la bougeoisie en place.Une régulementation encore plus stricte,qui élimine plus sûrement les ouvriers qualifiés ailleurs et les marchands mal introduits,sera la consèquence-Combien fâcheuse pour dynamismes économieques de la ville-de ce réflexe défencif des ancien qui s'appropient Paris.
La vigilance ne se relâche sur aucune front.Christophe Paillart,qui se croyait bien accepté et jugeait hors d'atteinte comme maître des comptes du roi,en fait la dure expérience en 1464 aprèt son élection à l'échevinat.il lui faut avouer qu'il est né à auxerre,puis s'effacer.le changeur Jean Le Riche s'en tire mieux en 1452,faisant plus ou moins croire que,s'il est de bourg-la -reine,sa mère est venu accoucher à Paris...
Face à l'invasion des <forains>-ainsi appelle-t-on les gens venu d'ailleurs,fût-ce de Meudon-tout ce beau monde oublie complètement les origines de celui par qui Paris a peu à peu retrouvé sa libèrtés municipale,sa dignité politique et sa capacités économique:gean Jouvenel n'était-il pas,au temps de la jeunnesse du roi Charles VI,venu de Troyes pour chercher à Paris la fortune promise à un avocat de talent?
françois villon
Les Nouveaux venus.
Et puis,il y a les nouveaux venu.Pour eux,Paris est bien cette ville >emprés Pontoise >La gerre va vers sa fin depuis qu'en 1444 les trêves de tours ont rendu au pays une paix provisoire mais immédiate.Elle apparaît comme finie lorsque,le 10 novembre 1449,le valois fait dans rouen son entrée solennelle.La victoire est acquise en Normandie en 1453.Les affaires peuvent donc reprendre,et elles repennent.Pour beaucoup,il est donc temps d'aller occuper à Paris ces place laissées libres par l'engourdissement du temps de gerre.peut-être y a-t-il trop de notables dans certains corps après le retour des fidèles serviteur de charlesVII,mais il y a pas trop de maçons dans une ville où tant de maisons s'écroulaient faute d'entretain,pas plus qu'il n'y a trop de couturiers,d'épiciers ou de changeurs.Aux plus malin de s'établire places à prendre comme aux halles en Champeaux,et comme sur les ports de Grève ou de l'école Saint-Germain.
Par une ordonence de 1443,charlesVII a exempté de tout impôt pendant trois ans quiconque viendra s'établir à Paris. Rien d'étonnant si le prix des loyers remonte vite. Entre 1444et 1450,il double en valeur nominale:il quintuble en pouvoir d'achat.Ceux qui avaient gardé leur bien,ceux qui ont acheté ou pris à bail pendant qu'il en était temps ont fait une excellente affaire.
Voilà donc une capitale où s'entendent tous les accents d'oil et d'oc.Aux yeux du gamin de Paris,tout ce monde-là vient de Pontoise.Une journée de marche:tel est le rayon qui définit les villes et surtout les villages qui fournissent les gros bataillons de bras prêts à l'embauche dans le bâtiment,dans les ateliers,sur les ports.Ces nouveaux Parisiens qui sont en une journée venus de leur village natal ont souvent cèdé à l'attrait d'une sécurité:celle qu'offrent une enceinte et une bonne garde.Alors que l'on entrevoit la paix,ils ont aussi pensé à l'éclat des salaires urbains et à la sûrté des embauches à l'année.
Petits marchands,artisans sans boutique mais non sans métier,avocat sans clientèle mais non sans talent, d'autre viennent d'un peu plus loin:de toutes ces villes du bassin de la Seine où les nécessités commerciale ont créé depuis des ciècles des habitudes de relations avec Paris et des relations utiles à Paris.A la petite bourgeoisei de rouen,de Louviers,de Troyes,de Sen,Auxerre ou deMelun,la capitale offre des espoirs de fortune.A tous ceux qui ont à repenser leur activité et leur ambition alors que s'achève la gerre,Paris ouvre d'autre horisons que la province.Du moins le croit-onNul ne sait que pendant plus d'un siècle le coeur de la france va battre sur la Loire autant que sur la Seine.
Prudent et se croyant avisé, jacque Coeur illustre bien cette illusion lorsque'il loue en 1441,sur le pont au change,cette boutique qu'il n'occupera jamais et qu'il abandonnera bientôt en comprenant que le temps n'est plus d'inversti dans les affaires parisienes.Pour qui voit plus loin que la région, les temps de l'hégémonie parisienne sont passés.Encore faaut-il s'en apercevoir.
Même si paris n'est pas l'Eldorado,c'est quand même un extraordinaire maché de consommation: cent mille habitants,peut-être,en ces 1450 où l'on commence de panser les plaies de guerre sans voir encor la prospèrité du temps de paix.C'est aussi le noeud des relations routières et fluviales d'un bon tier de la france. Même le marchand le plus attaché à sa province ne résiste pas à l'envie d'établire à paris comme associé ou comme correspondant-comme < facteur > - un fils ou un neveu qui apprendra, qui servira,qui informera.trés vite,ces nouveaux venus font comme le futur villon:
né de Paris,emprés pontoise
ils se prennent pour des parisiens.Nul n'en dirait autant de tous ces gent de passege,ces <forains>qui font à parir de 1450 le cosmopolitisme parisien parce qu'on les voit beaucoup,qu'on les entend et que leur renouvellement quotidien les fait remarquer.Homme de passage,le marchand ou le voiturier l'est par excellence,de ces exceptionnels Casitillans de Burgos qui débarquent en 1458 deux mille six cents balles de laine de moutons mérinos de la Mesta espagnole,à l'inévitable Clément de glan qui vient deux ou trois fois par an livrer le produit de sa carrière de Lizy-sur-Ourcq:meubles,bouches d'égoùt,pierres tombales...ils apportent,ils emportent,ils passent commercier ou chez l'épicier faire l'emplette qu'ils feraient moins bien-illusion de voyageur éternel-dans les boutique de leur ville natale.
ils véhiculent aussi les nouvelles,les vrais comme les fausses.Clientéle préfèrée des hôtelier et des taverniers qui se savent plus sûrement payés par le forain que par l'écolier et qui servent à l'occasion de boîte au lettres,d'intermédiaire ou de causion,ils sont aussi le gagne-pain des hommes de loi,des vendeurs jurés,des mesureurs...
les gros contingents viennent de pays de la seine et des grandes villes indusrielles et commerçantes du Nord.les marchands de rouen,d'Arras,d'Amiens,de lille,de caen,de Bayeux,de Saint-lô,sont familiers de la place de Gréve,et leurs compariotes <voiturier par eau> -nous dirons:batelier-sont connus sur les pontons du port au vin,du port au grain ou du port au charbon.L'aire des relations commerciales de paris attient coutances,Dunkerque et Tounai,Liège,Aix-la-chapelle et Cologne,Châlons et Langres,Beaune et dijon.En bref,elle touche toute cette france qui use,pour s'approvisionner en vin d'auxerre et de beaune aussi bien qu'en vin de Suresnes et de Chaillot,en pommes et poires des vallées normandes,en poutres et bûches des forêts de villers-Cotterêts et de Crépy-en-Valois,en harengs saurs ou <caqués >-salés-et en maquereaux des pêcheries de Dieppe et de Rouen.
Au sud,la même aire ne dépasse guère la Loire.On voit à Paris des gent d'Orléans,mais fort peu de Tourangeaux,de Berrichons et d'Angevin,et pratiquement pas Poite-vins ou d'Auvergnats.Le lyonnais se fais rare.Le Toulousain et le bordelais sont carrément des étrangers d'exception.L'étranger véritable,le <forain de hors le royaume>
-Génois,Florentin,Castillan-est ailleur s'il veut faire affaire avec la france.A Tours ou à Loches,il est où sont le roi et ses affluents,qui suivent la route de flandre ou celle d'Orléans,voilà le petit cosmopolotisme du Paris des années 1450.On est loin du temps où les banques siennoises et florentines avaient à Parisleur agence et où la capitale attirait le trafic international qui faisait depuis le XII siècle la fortune des foires champenoises.Paris apparaît maintenant comme la plaque tournante d'un commerce régional dont les noeuds périphèriques-marchés de collecte et redistribution -sont,aux limites de la navigabilité,petits port de Troyes,Auxerre,Montargis et de Compiègne.Mais c'est aussi de ces pots fluviaux que parent,au fil des mois,les bateaux chargés du <ménage> de ces tout petits bourgeois de la province, de ces boutiquers en puissance et de ces artisans en capacité qui chercheront à se faire nouveaux bougeois de la ville de Paris.il leur en coùtera une résidence d'an et jour,et le serment de bourgeoisie dont,faute d'une charte parisienne,la clause principale est que le bourgeois doit leur ménage descent ou monte vère Paris:quelque meubles,divers ustensiles,un peu de linge.Pour ceux-là comme pour tant d'autres,Paris est bien<emprés Pontoise>.
Les écoliers.
Dominant la rive gauche comme celui des merciers et des drapier domine la rive droit,le monde des écoliers n'est ni plus stable ne plus homogène.Venu de partout, savent-ils où ils iront ensuite? En décidera l'opportunité.
Nouveaux Parisiens,ces deux ou trois mille < artiens> ces cinq ou sept cents théologiers,juristes et médecins en puissence?Ce serait beaucoup dire.La pluspart ne font que passer,sans s'attacher à rien et sans rein fonder.Peu nombreux seront les élus cette carrière universitaire qui réprésente depuis bientôt deux siècle l'une des voies de la fortune. A conbien d'entre eux le service de Dieu,du roi,du justiciable ou du malade offrira-t-il une position dans la capitale? beaucoup trouveront à peu très la même chose- position,rémunèration,famie même-dans leur ville ou leur contrée à masquer sous une joyeurse agitation,qu'on prendrait à tort pour un folklore authentique, la misére réelle qu'ils refusent d'avouer.
Quelque millier de clercs à la vocation fort incertaine et dont la pluspart retounerons sans s'interroger vers la vie laÏque,c'est peu dans une ville de cent mille âmes.il y paraît pas quant on les voit et quant on les entend. Dans cette société fondamentalement issue du sol parisien et du monde de la sien,l'Université crée encor le brassage de population par lequel éclatent les horizons intellectuels.
Avoir son université fait maintenant partie des éléments de prestige et d'autorité dont s'enorguiellissent les princes.C'est dire qu'en 1450 c'en est fini du rayonnement de jadis.Chacun dans sa propre université,tel semble être le nouvel idéal.Qui n'a pas ses école doit avouer qu'il laisse aux lettre le soin de former les élites dont il abesoin,et qu'il ses sujet de ce pactole relatif que sont encore les bénèfices ecclésiastique plus ou moins dévolus aux universitaires.On a son universités.comme on a sa justice d'appel,sa monnaie,ses impôts les fondations se succèdent.L'étudient reste chez lui,va au plus prés.
Ceux qu'attirent les maître établis à Dole et à louvain par le duc de bourgogne phillipe le bon privent les maître parisiens d'une clientèle naguère venue de l'Est et du Nord.A Pointiers grâce à charle VII,à Caen grâce à Bedford,les nouvelles universités qu'appelait la coupure en deux de la france ont porté un coup sévère au recrutement paricien.La vielle rivalité de toulouse et la profond indépendence de monpellier n'ont jamais laissé affluer les méridionaux, et de développement d'institutions décentralisées telles que le parlement de toulouse et la Chambres des comptes de Monpellier a même contrariè le mouvement qui portait jadis bien des gradués des universitès méridionnales vers les hautes fonctions parisiennes de la justice et de l'administration.Chacun fait désormais carrière chez soi.
Dans les écoles de la rue du Fouarre et du clos Bruneau,reste donc et se renouvelle une masse instables de clercs originaires di Nord < français> D'Artois,de picardie,de flandre français,aussi bien que de cette Normandie de rouen et de l'Lisieux qui se refuse à en passer par Caen.il y a des Tourangeaux,des Berrichons,des Manceaux:le rayonnement de l'Univercité déborde celui de la place de Gréve.On voit des Bourguignons de l'Quest,des Aquitains du Nord.Quelque Hollandais,quelques Écossais,quelque Rhénans maintenant l'illusion du caractère internationnale qui était la raison d'être de l'Université au temps où l'Italien Thomas d'Aquin et le Barbançon Signer ensiegnement sur les bords de la siene.Pour l'essentiel,les écoliers,aussi,sont de Pontoise,à moins qu'ils ne viennent de Joigny,de Chartres ou de Soissons.Ou de Paris,comme françois de Montcorbier...
Lorsqu'il obtient,dans l'été de 1452,la maîtrise és arts-il s'agit des <arts libéreaux>-qui lui ouvre les portes des facultés,dites supérieures,de thélogie,droit ou mécien,et lui confrère à perpétuité le titre de <maître> qui fait bon effet mais ne nourrit pas son homme,ce Parisien de courte ligée est seul de son espéce.L'horizon géographique de la < promotion>Qui parvient avec lui à la licence sur le registre des procureur de la < nation de france>à laquelle il appartien naturellement : Toul,langres,Touls,Saint-pol-de-léon,Orléans.A la même heure,d'autre sont reçu au sein de nation <picarde et de la Nation normande.Quant à la Nation <allemande> que l'on disait autrefois < anglaise>elle donne alors le baccalauréat ou l'licence à des écoliers venus de Trèves,de cologne et d'Utrecht,d'aberdeen,de Glasgow et de Saint-Andrews,voire de turku en finlande.
La ville mouvante,donc ,que ce Paris où la bourgeoisie n'a l'air d'être une que les jours d'assemblée à la Maison aux Pilier, ces hôtel de ville qui ferme à l'est la place de Grève et dont les pilier déterminent autent d'abris où l'on discute des affaires de ville,où l'on négocie les embauches et où les fûts récemment déchargés attendent la vente du lendemain.
Au vrai,les quelque milliers de <forains>qui parlent avec l'accent d'auxerre ou celui de lille sont ou seront la relève démographique d'une capitale où l'on meurt plus qu'on ne naît,parce que s'y marier coûte plus cher qu'ailleurs; d'une ville, aussi où la promiscuité favorise la peste et le choléra,la coqueluche et la variole.Meurt-il cinquante mille Parisiens lorsque la variole frappe en 1438 alors que françois de Montcorbier est un gamin de cept ans? les contemporains l'on dit,un peu pressés,peut-être,de compter par gros chiffres.Mais nous savons qu'en cette années d'épidémie le seul hôtel-Dieu doit enterrer 5311 morts...Qant à l'épidémie de 1455,nul ne saurait messurer à quel point elle secoue réellement la capitale, mais nous voyons à tout le moins la terreur qui subsiste.il est évident que l'on meurt par milliers dès lors qu'une <peste> attient Paris
la capitale ne peut donc boueder le flux d'immigrés qui, bon an mal an rétablit l'équilibre et assurer le maintien des,fonctions urbaines.La < moralité>-l'épidémie-c'est le travail moins rare pour les suivivants,mais au prix d'un déplacement.La capitale périodiquement exsangue aspire le dynamisme démographique du pourtour.Accidens démographiques ou déficit endémique,Paris compence ses morts en se renouvelant d'un sang neuf:celui des campagnes et de la province.
un tel brassage porte se fruits.fils d'un provincial venu à Paris entre tant d'autres.François de Montcorbier,dit villon,peut à trent-deux anss'offrire le luxe d'ironiser sur le triste sort du Parisien.IL est bien de Paris <emprés pontoise>Tout le monde ne peut endire autant.
Chapitre II
Au moûtier vois, dont suis paroisienne...siècles du Premiéier chapiètre le pays temps du contrats enregistirers
La Paroisse et le couvent.
C'est une vielle femme,dont nous ignorerons toujours le nom.En priant la vierge et en pleurant les frasques de sont fils,elle attend la mort.Elle doit avoi la cinquantaine...Femme je suis, pauvrette et ancienne,
Qui rien ne sais;onques lettre ne lus.
Au moûtier vois,dont suis paroissienne,
Paradis peint,où sont harpes et luhts,
Et un enfer où damnés sont boullus:
L'un me fait peur,l'autre joie et liesse.
Comme tant d'autres,la mère de françois villon délaisse sa paroisse Un siècle de malheurs n'a pas redoré le blason du clergé diocésain.En 1348 déjà, la pauvre carme jean de venette notait qu'en temps d'épidèmie les curés laissaient volontiers le soin des âmes et celui des corps aux < frères> des ordres mendiants.Ces prèbendés, bien établis dans leur chapitre ou dans leur collège,on les a vus fort insouciants au tepms de Grand Schisme et des conciles génèraux où la suie de l'Église semblait en jeu.On les sait plus prèoccupés du revenu de leur bénéfices que de l'administration régulière des sacrements.ces docteur bien carré dans leur chaire,on les a entendus grand ils justifiaient tour à tour le réformisme bourguignon, l'engagement au côté du Lancastre,la sévérité des clercs envers Jeanne d'arc,la paix pour tous enfin.
ils sont la hièrachie,celle qui débat à Bourges,en1438 de l'acceptation pour la france de quelque texte auxquels la pauvre femme n'entendait rien si elle les connaisait:ces <canons>concile de bâle qui vont former,
-Aussitôt contestée-d'une femme pauvrette et ancienne peut comprendre à ces hisoires de prêtres,ces hisoires où l'on voit deux papes dans l'Église de dieu,où les évêques se disent l'Église sans pape,etoù l'on parle rentes et juridictions plus qu'enfer et paradis?
Et pourtant,Paris est bien la ville aux cent clochers.Trente-cinq paroisses s'offrent au fidèle : sept sur cette rive gauche que l'on appelle couramment<Université>,quatorz sur la rive droite qui est qui soit alors habitée,la <cité>.On y entend la masse des dimanches et les jours se substituer à celui des fidéles et où l'orgue soutien le chant quand il n'en prend pas le relais.On y batise,On y enterre.On s'y confesse pour communier au temps de Pâques comme le prescrit l'Église.bien plus,le tissu paroissial,fort dense dans tout le royaume,fait maintenant figure d'un véritable découpage administratif.C'est au prône de la messe dominicale que le curé publie les ordonnances et de donne les avis à la population.C'est paroisse par paroisse que se déroulent les processions officielles,décrétées pour rendre graçe à Dieu ou pour l'implorer.Et c'est bien souvent par paroisse que se font le dénombrement et le recensement,l'assiette et la recette de l'impôt,la répartition des charges communes qui pésent sur la bourgeoisie.
Au moûtier vois,dont suis paroissienne...
Tout autant que la tièdeur pastorale des curés pour qui la paroisse est un bénèfice avant d'être une communauté d'âmes,ce succès administratif de l'institusion est peut-être responcable du discrédit dont souffre la vie culturelle dans l'église paroissiale.Comme la cathèdrale,où l'on va pour admirer la pompe des te deum royaux mais où l'office capitulaire se célèbre quasiment en privé,l'église paroissiale est trop de choses aux yeux du petit peuple,outre qu'elle est une église.
Les notables en sont bien conscients,qui ajoutent au contenu de cette église insuffisante.Confrèrie et chapelles se greffent à l'envi sur la paroisse,démultipliant la communauté de prière en une infinité de corps tacites et de dévotions marginales.A coups de< fondations>,on personnalise le culte.chacun a sa messe,sa chapelles,celle de la famille,du métier de la confrèrie.Avec ses tombeaux qui prennent eux)même l'allure de chapelles,avec ses retables et ses vitraux à la gloire de la famille,du métier et de leur saint parron,la chapelle traduit dans l'espace les particularismes de la piété:la nef se vide,et c'est entre les contreforts que l'on prie,à l'office du tiersordre ou devant l'autel de la confrèrie,à la lueur de vitrail qui glorifie le saint et magnifie la génèrosité des hommes.
Du cierge au collège en passant par la messe anniversaire et le retable,il y a des fondation à tous les prix.Chacun peut avoir sa fête,et nul ne s'étonnesi,à la messe et pourle restant de la journée,le saint particulier l'emporte sur le patron officiel de l'église.
de même que le livre d'heures prend le pas sur le missel dans la faveur des dévôts et des amateursd'art,lesfondations permettent d'exprimer,à côté d'un rituel collectif et contraignant,la diversité des dévotions et des sensibilités.
villon ne s'en privrea pas,à qui les fondations de la sorte ne coûtent qu'un peu d'invention après desa années d'observation.
la fortune des confrèries inquiète le pouvoir.il y a la de l'or er de l'agent qui manquent, dans une circulation monétaire insuffisente.Surtout,le gouvernement de Charles VII se mèfie d'expérence de tout ce qui morcelle la socièté.l'éparpillement hièrachiques sur lesquelles se fonde la manimise politique.Tout se mêle,on le voit bien quant il faut en 1441 financer le siège de pontoise:
il y avait consiel tous les jours et conspirations,une fois de laisser le siège,une autre fois de prendre tout l'argent que les confrèries de Paris avaient.Et disaient les faux conseillers qu'il y avait trop de confrèrie à Paris de la moitie.Tant firent par leur grande mauvaiseté que la plus grand partie des confrèrie furent apetissées de la moitié et plus.dans la plus grande partie,où l'on disait trois à quatre messes,deux à notes et deux basses,on ne chanta qu'une basse.Où il y avait vingt ou trente cierges,il n'y eut plus que trois ou quatre pointes,sans torche ni sans honneur à Dieu.
En fin de compte,la paroisse s'assoupit.Elle est un cadre,un local,une organisation.non une communauté.
Le fidéle porte volontiers sa dévotion et sa diversité se voit dans le ciel de Paris
Moines noirs,moines blancs,se frère mendiants-déchaussées ou non-et religeurse de tous ordres sont aux quatre coins de la ville,avec leurs église ouvèrtes sur la rue,leurs confrèries plus ou moins spécialisées,leurs fêtes patronales et surtou leurs charités propre.Le fidèle pieux y entend volontiers la messe quotidienne.il y trouve recuiellement et direction spérituelle.il y prend ses habitudes.C'est là qu'il vient méditer à son heure,devant ce Saint-Sacrement que l'on commence alors de conserver d'une messe à l'autre dans un tabernacle posé sur l'autel.Car l'hostie n'est pas seulement le pain consacré de la messe,la matière du sacrifice et de la communion,elle est le corpus christi que l'on adore en tout temps et que l'on porte en procession dans les grandes occasion.
Monastères. sur le tèritoire de liège-belgique.
les grand abbayes perpètuent un monachisme bénèdictin que les siècles et les réformes ont profondément modifié.Sur la rive droite,le clocher deSaint-Magloire domine la <ville> au nord de la Grande Boucherie,entre la rue Saint-Deni Et la rue Quincampoix.Sur l'autre rive,ce sont les trois fortes tours romanes de Saint-Germain-des-Prés,au sotir de l'enciente par laporte Sain-Germain ou la porte Bucy.il y a aussi les prieur"s essaimés par Cluny,ces prieurés dont certains valent bien une abbaye comme Saint-Martin-desChamps,au coeur d'un domaine qui fait du prieur l'un des premiers justiciers de paris en même temps qu'un chef d'ordre en second: Saint-Martin-desChamps ase propre prieurés,Saint Leu ET Saint-LAurentDANS le voisinage?Saint-Denis-de-la-Chartre entre Notre-Dame et le Grand Pont.
On en citerait vingt,de ces prieurés qui rivalisent,dans l'esprit des fidèles,avec les paroisses de la hièrachie diocésaine.Ce sont, dans l'île,Saint-Barthèlemy qui dépend de Saint-Magloir et Saint-éloi qui dépend de Saint-Maur-des-Fossés.Au sud,il y a Notre-Dame-des-Champs,qui affirme aux porte de la ville la présence devant Paris de la grande abbeye tourangelle de Marmoutier.sur les bords de la seine,Saint-julien-le-Pauvre est la maison parisienne de l'abbaye de Longpont.L'abbaye,le prieuré,c'est le <moûtier>.Pour la pieuse fidèle ou pour le bon bourgeois qui délile avec sa confrèrie,rien ne sépare vraiment la paroisse et le moûtier.Aller à l'un,c'est aller à l'autre.Mais on va volontier à celle des église oû ne se publient pas les ordonnances royales...
Le même fidéle céde facilement à l'attrait des moines blancs.En ce siècle que quinze génèrations séparent déjà des grands réformateurs,le moine blanc n'évoque plus nécessairement ce qui fut la raison d'être du nouveau monachisme au tournant des XI etXII siècle.Le refus du luxe monastique n'est plus évident,et la réaction contre la puissance temporelle de Cluny est passée du niveau des concepts à celui des procés.ce n'est pas à Paris qu'on la voit porter ses fruits spirituels.
Blanc ou Noir,c'est tout un que le moine.L'habit les distingue,et le fidèle moyen ne va pas plus loin.il est à Citeaux quand il prie sur la rive droit à Saint-Antoine-des-Champs,dans ces champs que domine la bastille de charles V,ou quand il entre,sur la rive gauche,dans la vaste église du collège des Bernardins,cette maison parisienne de l'orde cistercien qui domine les berges à l'aplomb de île Notre-Dame,une alors inculte qui deviendra plus tard une partie de l'île Saint-Louis.
il est en revanche chez les chanoines réguliers de saint Augustin quand il a ses habitudes à Saint-Victor,la grande abbaye qui équilibre en amont,sur la rive gauche,le centre de rayonnement spirituel qu'est en aval Saint-Germain-des-Prés.Saint-Victor,c'est tout le prestge du vieux monachisme renouvelé,c'est la puissance économique née de la générosité du peuple parisien.C'est aussi,pour les écolier,la rivale de Saint-Geneviève,la propre <fille>de Saint-Victor,cependant;car Saint-Geneviève régne sans partage au sommet de la Montagne,à l'est de la grande rue Saint-Jacques.On se recommande de l'une ou de l'autre,on en attend protection et justice.on en espère aussi l'indispensable intercession auprès de l'autorité suprème qui protège le clerc et surtou l'écolier des jugement arbitraires de l'évèque de Paris:le pape.Mais Saint-Victor est en ruines,au sortie de la guerre,comme tant de monastères et tant de maison auquels leur situation hors les murs ne valait d'avantages qu'en temps de paix. Le 16 septembre 1449,le recteur et l'Université assemblée aux Mathurins lancent un appel à toue la chrétienté:que l'on fasse bon acceuil aux quêteurs de Saint-Victor.Illusion,pour une bonne part,que cet appel au monde chrétien pour sauver Saint-Victor.En cette fin de guerre,chacun a ses pauvres,chaque diocèse a ses ruine,et Saint-Victor n'est plus qu'on nom...
A côté deSaint-Paul,et de l'hôtel Saint-Paul qui vit les beaux jours des premiers valois,les même chanoies réguliers sont à Saint-Cathrine-du-Val-des-Écolier,comme ils sont en la Cité,au chevalet de la Cathédrale,dans la minuscule église de Saint-Denis-du-Pas.
Prie chez les chanoines ou s'y faire ensevelir,c'est même chose qu'aller en sa paroisse.Le fisc y regarde de près quant aux limites paroisse à trvers lesquelles il serait possible de se faire oublier si l'administration ne gardait bonne mémoire et bonne archives,mais l'Église yregarde de moins près,et l'équilibre des groupes de pression que sont les diffèrents clergés ne permet à aucun de l'emporter.chacun se bat pour sa clientèle.Le plus fort l'emporte à chaque,instant,mais pour l'instant seulement.
il en va bien autrement dès que nous sortons des formes traditionnelles et ordinaires du culte et de l'apostolat.A Vauvert,au sud du bourg Saint-Germain-des-Prés,les charteur établis là par saint louis offrent un asile de recuiellement,non une prédication.En amont des ports en Gréve,les bèguines-une autre fondation de saint-louis, qu'on appellera bientôt le couvent de l'ave Maria-vivent quartier.Au nord,prés de la porte Saint-Denis,les Filles-Dieu sont un asile de charité,non un centre de rayonnement.
Les mendiants.les invités se présentes de toute sorte de suivie de vie prèts d'eu sur le contras uniformes de concience de ces s'temps s'temps du pays du siècle.A venire nos et vos ensètres...sur le tèritoire vère liège aussi dans la belgique,comme autres commune et pays
Face au monarchisme traditionnel,plus ou moins réformé,se dressent surtou les couvent des ordres < mendiants >,forts de leur originalité,de leur prestige intellectuel et de leur profonde insertion dans la ville.Autant les moines-noirs et blancs-ne sont dans la socièté urbaine que les représentants d'une spiritualité faite de repliement,au point que les abbayes font figure d'enclaves plus que de quartier,autant les frères de ces ordres qui se définissent sommairement comme mendiants on été délibrement placés au coeur de cette force économique et sociale qu'était dès le temps de leur naissence le gros et menu peuple des villes.
Mendiants,ils l'étaient à l'origine parce qu'ils tendaient la main pour vivre,refusant le vieux principe de la proprièté ecclèsiastique qui transformait en autant de siegneuries d'église les terres données à Dieu et au saint par la génèrosité des fidèles.Vivre en mendiant,C'est revenir à la pauvreté évangèlique.Aissi l'entendaient un saint françois d'Assise et un saint Dominique.
L'originalité qu'ils gardent en plein XV siecle,les dominicains,les franciscains,les carmes et les augustins la tiennent encore de cette situation hors des cadres seigneuriaux de la socièté féodale qui se perpètue.bien sûr,ils ont maisons et églises,ils vivent en cloîtres,ils enrichissent leur bibliothèques.ils ont leur écoles.ils mangent ce qu'achète l'économe du couvent,non ce que déposent à l'entrée les fidéles.Les offrandes affluent,mais la mendicité a disparu.Ce qui reste,C'est que les frères n'ont ni justice ni censive.ils vont d'un couvent à l'autre.ils sont dans le monde et non dans le cloître.
les églises des mendiants sont simples,vastes,claires.
Le clocher n'est,sur le toit,qu'un modeste campanile fait pour abriter une cloche,non pour aider une façade à dominer le voisinage.il y a deux nefs parallèles aux Jacobin de Paris Comme aux Jacobin de Toulouse,et pour la même raison:les nefs sont destinées à des auditoires,non à des processions.Les portes s'ouvrent largement sur la rue,voire)C'est le cas des Grands Augustins-sur le quai.On entre comme on veut.Le confesseur est toujours disponible.
La haine des curés pour les frères mendiants remonte fort loin.Elle se manifestait dèjà au temps de thomas d'aquin,lorsque les frères commençaient de disenser gratuitement la Parole alors que d'autre en faisaient profession.En ce XIII siècle,déjà,le clerc Guillaume de Lorris soulignait par dépit,dans la première partie du Roman de la Rose,la rapacité et l'hypocrisie des Jacobins et des Cordeliers,autrement dit des dominicains et des franciscains.Au temps de françois villon,les curés ne s'inclinent qu'à contrecoeur devant la bulle Regnans in exclsis par laquelle Alexandre V a réaffirmé,en1409,le droit des mendiants à confesser les fidèles hors du cadre paroissial tout don de Dieu,la pénitence ne saurait l'être,à peine de retirer au pécheur tout moyen de trouver la sincèrité de son repentir:on met la main à la bourse pour matèrialiser sa contribuion.Les curès ne sont dupes:chemin des legs aux curés pour les aider à combattre la bulle de Nicolas V qui vient,en 1448,de confirmer le droit des frères mendiants.
Et le dècret qui articule
Omnis utriusque sexus
Contre la carmèlite bulle
Laisse aux Curés pour mettre sus.
La conviction des fidèles étant soutenue par le dèsir d'imiter les grands,on se presse au prône chez les Carmes de la place Maubert,chez les Jacobins de la rue Saint-Jacques,voire chez les Cordeliers et chez les augustins.On s'y fait enterrer,aussi,et les maîtres de l'Université ne sont pas les seuls à manifester aisi leur indépendance à qui pousse les vivants vers les chappelles-vingt-six-chapelles sur le pourtour de l'église des Cordeliers-détermine aussi la sépulture des princes,des barons et des bourgeois quand ils le peuvent.Quatre rienes sontaux cordelier-les épouses de philippe IIIet Hardi,de philippe IV le bel et deux de ses fils-et l'on voit aux augustins les hommes d'affaires lucquois Barthélemy Spifame et Augustin Ysbarre,non loin de l'archevêque Gilles Colonna et du connétable Raoul de Brienne.
Des <Frères>,il y en a dans tous les quartiers.En aval sur la rive gauche,face au donjon du Louvre et aux jardin du Palet de la cité,ce sont les Augustins,les <ermites de saint Augustin>,que nul ne Confond avec les chanoies réguliers se recommandant du même saint.La foudre a ébranlé en 1449,leur longue nef.Alors que fleuvequ'elle domine sur plus dde deux cent pas long,l'église des Augustins s'ouvre de nouveau aux fidèle de cette zone,au tissu urbain assez lâche,qui forme la pointe occidentale de Université.On en célèbre à grand faste la dédidace en 1453.
Non loin de là,le long de l'enceinte,voici les Cordeliers,Autrement dit les franciscains,que caractèrise la corde écrue qu'ils portent sur leur robe de bure en guise mais les trois nefs sont acceillantes aux fidèles,même si le choeur,avec ses vingt et une chapelles,apparaît sensiblement plus développé que la partie de l'église ouverte aux laÏcs.bourgeois et écoliers des paroisses voisines, de Saint-andré-des-Arts,de Saint-Séverin,Saint-Benoît-le-Bétourné,se pressent aux offices et aux prédications des Cordeliers.Le couvent est aussi un collège.Le réfectoire qui subsiste,au coeur du quartierLatin du XX siècle,suffit à évoquer le nombre d'ayants droit à la pitance.
Des groupes de vie spirituelle s'ébauchent parmi le peuple qui fréquente chez les Cordeliers.Mi-confrèriers,mitiers-ordres,ces communautés font sortie l'intelligence même de la foi de ces cadres ecclèsiaux.Le particularisme n'est plus ici liturgique ou charitable;il est aussi dans la perception de l'évangile.
En contrebas de la Sorbonne,à côté de l'hôtel parisien des abbés de cluny et face au cloître de saint-Benoît qu'habite maître Guillaume de villon,le couvent des Mathurins ouvre tout grand sur la rue Saint-Jacques.Officiellement,C'est l'hôpital des <religieux de la Rédemption des Captifs >,plus connus sous le nom de Trinitaires.En réalité,tous les parisiens voient là le siège de l'Université.L'assenblée génèrale de la faculté des arts s'y tient au moins une fois sur deux.L'église des Mathurins fait figure de salle ordinaire de réunion,pour les séances de routine comme dans grandes occations.C'est là qu'est élu,chaque trimeste,le trcteur de la faculté des art,qui est en fait le chef de la communauté universitaire tout entièere.C'est là que ,dans les grands moments de l'histoire nationale ou universitaire,s'exprime par des votes à bulletins secrets l'opinion commune de l'Alma mater.
Et puis,tout enhaut de la rue Saint-Jacques,à droite et presque en face de la petite église Saint-Étienne-des-Grés,il y a les frére prècheurs.On dit encore rarement <les dominicaines > A paris,la rue a donnée son nom à la maison,voire à l'orde:ce sont <les Jaconbins>.Les nom s'est vulgarisé en province.
Le Passage de vilons de qu' il devienne la-pensensée et avoire eu, le vècus leurs vie avec les siècles passée exposent les Années a venire a chaque foix ce racôntre se genre de livre univèrsiter de biens la façons de leurs vie à Eux... An Plus les poètes de michel villons et ça vie...
Pour le passant,les Jacodins sont avant tout une longue église,capable d'acceillir sont avant tout une longue église,capable d'acceillir deux ou trois mille fidèles en ses deux nefs que séparent doux colonnes.On connaît aussi l'ample cloître rectangulaire,entre l'église et la vielle enciente de phillippe Auguste qui,sur la rive gauche,demeure au XV siècle l'unique rempart de la ville.Pour les écoliers,les jacobins sont aussi,tout au long de l'enceinte et en allant à l'ouest vers la porte Saint-michel,le complexe des école de l'orde sur lesquelles plane encore le souvenire de saint thomas d'Aquin.Là,de jeunes des philosophes et des thèologiens rompus à la rude scolastique:le programme est plus lourd qu'à la Sorbonne,et il est vu en moins de temps.Mais la fidèlité des frères prêcheurs à une pencée qui fut novatrice,celle de thomas d'Aquin,fait en définitive d'eux,à l'heure où s'élabore une philosophie néo-platonicienne,les plus conservateurs des théologiens et les philosophes les moins ouverts aux renouvellements de la pensée.
Pour le bon peuple,les Jacobins sont surtout un lieu de prière dont le prestige tient au passé mais dont la commodité s'inscrit dans le présent.C'est l'église que l'on trouve au débouché de l'une des rue les plus passantes de la capitale.Elle est à deux pas de cette porte Saint-Jacques par laquelle paris s'ouvre vers Orléans,vers la Loire,vers la france du centre.La porte Saint-Jacque n'est pas seulement celle qu'a franchie Richemont à la tête de son armée le 13 avril 1436.Elle est aussi l'une des rares portes que les parisiens en guerre ont presque toujours maintenue ouverte,ou au moins ouvrables,alors que les autres étaient < fermées au plâtre>.Une part du rayonnement des Jacobins tient à ce fait qu'ils sont à deux pas de la porte que l'on ne voulait pas murer parce que le site est incomparable qu'ils se sont établis là
Les Jaconbins sont donc le couvent par excellence, comme Saint-Geneviève est,au sommet de la Montagne,l'abbaye par excellence, comme Saint-Geneviève est à l'écart des grandes rues,une cité retranchée,une siegneurie a visible dans le paysage,avec son église bien protègée au coeur du monastère.Les jaconbins sont une <maison-Dieu> ouverte sur la ville.Yentrer n'est pas une démarche. Passons les ponts.Les maosons religieuses n'ont pas moins prolifèré sur cette rive droit que les Parisiens considèrent cependant comme la ville des hommes d'affaires et non comme celle des clercs.Mais la charité s'y ordonne différemment.Un pauvre artisan est autre chose qu'un pauvre < clergeot>.L'âge moyen du compagnon sans embauche ou de la fille abandonnée n'est pas celui de l'écolier sans bénèfice.On compte ici peu de colléges pour les malades et les vieillards.
C'est ainsi que le Saint-Esprit ouvre sur la place de Gréve,à côtè des piliers de l'hôtel de ville sous lesquels les négociants en vin entreposent volontieres leurs barriques.A deux pas en arrière,dans cette Mortellerie qui s'étend de la grève jusqu'aux abords de l'hôtel Saint-paul,les Haudriettes rappellent la volonté charitable du panerier de philippe le bel Étienne Haudry.De part et d'autre de la Grand-rue Saint-Deni,voici la Trinité et Saint-Jacque,oùl'on héberge les pélerins de Compostelle.Tout au bout,les filles-Dieu sont à la porte Saint-Deni-le prestige intellectue en mois-ce que sont à la porte Saint-Jacques les Jacobins:l'asile de prière à l'entrée de la ville.
Toujours sur la rive droit,les pariesiens affligés du mal des ardents vont implorer la misèricorde divine au petit Saint-Antoine,à l'est de la ville,cependant que les aveugles reçoivent des sois,à l'ouest,aux,quinze-vingts de la porte Saint-Honoré.Villon pencera à eux,mais pour S'en jouer
Idem je donne aux quinze-Vingts
-Qu'autant vaudrait nommer Trois Cent--
De Paris,non pas de Provins,
Car à eux tenu je me sens
ils aurons,et je m'y consens,
Sans les étuis,mes grands lunettes
Pour mettre à part aux Innocents
Les gens de bien des deshonnêtes.
Ne nous y trompons pas,les lunettes aux aveugles sont une vielle plaisanterie,et le moiyen Age raile volontiers les infirmités,mais l'essentiel n'est pas là,et l'on moque peu l'hospice ou hôpitale dont nul n'ose dire qu'il n'aura jamais besoin Le Parisien du XV siècle perçoit une autre image à travers la facètrie du poète:celle des pensionnaires des Quinze-Vingts-Trois cents aveugles établis là par saint Louis-Qu'une coutume immémoriable autorise à quéter dans le cimetière de la bonne bourgeoisie,ceui des innocent.Même avec les <grands lunettes >de villon,les aveugles ne sauraient discerner,parmi les notables trépassée,qui fut bon et qui fut mauvais.l'ironie cingle les tombes des gens de bien,non la charité que sont les quinze-vingts.
Tout comme le premier d'entre eux l'hôtel-dieu de la cité les hopiteaux ont en effet la faveur des humbles;ils y trouveront,dans les temps de détresse du potage et des sois.Villon cesse de plaisanter quand il s'agit de l'hôtel-Dieu alor même que perce toujour chez l'écolier qu'il demeure,malgré les épreuves,une profonde haine à l'encontre des ordres mendiants:les frères mangent de l'oie et laissent <au font> - au mieux- les os aux pauvres.
Item ne sais qu'à l'hôtel Dieu
Donner,n'à pauvres hôpiteaux:
Bourdes n'ont ici temps ni lieu,
Car pauvres gens ont assez maux:
Chacun leur envoie leurs os.
Les mendiants ont eu mon oie,
Au fonr ils en auront les os :
A menue gent menue monnoie.
l'ironie se fait plus acide encore quand villon ordonne son legs aux mendiants et aux béguines,toutes gens dont il persiste à ne pas voir l'utilité:qu'ils s'engraissent de bonnes soupes à la viande et de bons flans,et ensuite ils pourront contempler sous les courtines,autrement dit lutiner les filles dans les lits clos.Double face,dans la bouche d'un poète qui est d'abord un clerc et qui écrit pour des écoliers:tous ses lecteurs ont entendu parler du traité de jean gerson,la montagne de contemplatation, et certains l'on peut-être lu.Et et de distiller le mot à la rime où il est long en bouche.Mais c'est au lit qu'il loge la faire surgir du subconsciencent des amateurs de contrepèteriesl'image grivoise de la complantation.On sait ce que villon entend par complanter...
Idem aux frère mendiants,
Aux dévotes et aux béguines
Tant de Paris que l'Orlèans,
Tant turlupins que turlupines,
De grasses soupes jacobines
Et flans leur fais oblation:
Et puis après,sous les courtines,
Parler de contemplation.
fin de page numèros de la page 50 jusque51 titre de la page 51 Au Moûtier vois,dont suis Paroissienne...
Je vous ès fait passée une pagées d'un magnifique bieographique de villon
si je n'avais pas eu le plaizire de vous communiqué cette pagé pour la suite une agréables pagé de ma pare et votre souvenir de vous a voire passée cette époque a mieurre avenire pour vous tous a suivre!!!
On passe a la page 58 pour revenire vère thèologiesienne.masculien thèologiens a cette époque pour vous montré les difèrente prèsent passée pour vous communiqué un présent de cette époque qui suivre nos avenire a nous !!! n° 7 page a vous faire dès couvrire.thèologie thèologiqueadj:qui concerne la thèologie nf;science de la religons,des choses divines.
théologiens
Et pourtant,il ne manque pas de thèologiens sur le pavé de Paris.Mais les temps ont changé.Voici un siècle qu'ils ont abandonné le grand débat ouvert,à l'époque des chanson de geste,par la découverte de la métaphysique aristotélicienne et les approches qui en découlaient pour des hommes de foi désireux d'éclairer la Révélation par les cheminements de la raison humaine.oubliés,les efforts d'un Thomas d'Aquin et ceux d'un guillaume d'Occam pour concilier l'intelligence et la foi.Oubliées,le querelles autour de l'aristolèlisme outrancier-et déformé-qu'a transmis à l'Occident chrètien la science des arabes, celle de l'ancien ibn sina dit avicenne,celle du modèrne ibn Ruchd dit averroés.Mais si leur luttes sont oubliées,leur pensée nourrit encore la réflexion des scolastiques.la certitude de la Révèlation ne paraît pas interdire les cheminement l'antagonime du mystère et de la compréhenrence fondamentale entre Dieu et la raison humaine peut conduire au-delà d'un certain scepticisme,à orienter vers de nouvelles recherches l'intelligence logique des hommes.on en reste là pour l'essentiel:l'esprit scientifique ne fait qu'émerger
Au tournant des années 1400,encore,le chancelier de l'Université de Paris Jean Gerson intègrait dans sa thèologie les nuances d'un humanisme tiré du stoÏcime antique.Gerson avait lu les classique.mais sa doctrine doit plus à l'éloquence est rein,l'originalité faible.il semble aisé d'intègrer des maximes commodes empruntées à la sagesse antique.faire la synthèse d'une pencée au demeurant mal connue et très mal dominée paraît hores de portée.De moins savants que Gerson tombent naturellement françois de Montcorbier invoque bien souvent les anciens à travers une tradition qu'il se garde d'avouer.
Comme le poète,le thèologien vit sur les manuel.Lire et gloser les Sentences de Pierre Lombard,C'est là toute la pédagogie des théologiens collèges de ce thomas de courcelles qui fut l'un des juge de Janne d'Arc-Il vota la tortue-et qui mourra en 1469,Maître en Sorbonne et doyen vénéré du chapitre de Paris,non sans avoir totalment perdu mémoire quant à son rôle dans le procès de Rouen.Toute la thèologie est là,dansce recuiel commode que sont les Sentence,une honnête complilation faite vers 1150 par unMaître italien qui allait devenir évèque de Paris,leur commentaire suffit encore à alimenter en Sorbonne,deux années durant,les études des candidats à la licence en < Sacrée Page >,ce qui est dire en thèologie.
Lombard,certes,a connu Pierre Abélard et quelques autres esprits origineaux du XII siècle,mais il écrivait un siècle avant Thomas d'Aquin,Le résumé commode de la doctrine,qui fonde la réflexion des jeunes maître des années 1450,est un manuel en retard de trois cent ans cheurs de l'ordre de saint Dominique gardent l'usage de la Somme théologique,L'oeuvre de saint Thomas-désavoué en 1270,canonisé en 1329-demeure là une commodité,tout comme le sont les Sentences un peu plus bas vers la Seine.Mais la Somme ne fait plus s'interroger les esprits hardi.L'esprit de synthèse s'efface derrière l'esprits de résumé.
Tout l'invention des maître de la doctrine se porte maintenant sur les < cas>et sur les < questions>par lesquels la scolastique-anticipant ici sur Descartes-fignole avec l'objectivité du nomatise un certain nombre de propositions dogmatiques et résoud les difficultés d'interprètation avec plus d'astuce que d'intelligence.
Le fils de Dieu est-il toujours présent dans l'Eucharistie quand une souris se règale de l'hostie consacrée?Quid si l'hostie s'envole et retombe dans un égout? saint sacrifice est-il valablement célébré si la messe n'est dite ni à l'intention de Pierre ni à celle de Paul?Le juridisme envahit la science sacrée.A bien des égards, on comprend la réticence des thèologies de Sorbonne envers toute extension des études juridique à Paris,mais on peut se demander si la craite de voir arriver des riveaux ne double pas la peur de voir dénaturer la connaissance.Certes,les juriste envahissent tout,et l'on se trouve fort aise de laisser à Orléans les plus redoutables,parce que les plus demandés sur le marché.On oblige ainsi l'étudiant à passer deux ans sur les bord de la Loire pour y <lire> le droit civil des légistes avant de revenir dans la capitale pour y conquèrir ses grades dans le droit canonique de l"église.Où irait-on à Paris,si les légistes envahissaient les collèges?
Au vrai,le thèologien se rend mal compte que les juriste,déjà,ont colonisé sa pensée et on enseignement.Deux siècled'hègèmonie juridique dans la socièté chrétienne ont façonné une religion d'avocats et de notaires.< A quoi bon? >disent les nominaliste pour qui tout est apparence.La nature et le contenu de la foi importent donc ùmois que l'exacte définition des rites obligatoires et des formules par lesquels s'acquiert la présence dans l'église avant l'instant où,à l'offertoire,le célèbrant découvre le calice.Peu impôrte le sens de cet offertoire dans l'idée qu'on se fait de la <Communion des saints >et du plan divin de la Rédemption...
En attendant qu'au milieu du siècle l'humanisme platonicien revenu d'italie fasse faire à la théologie des philosophes les progrès qui donnerons à la foi moderne ses ligne définitives et ses clivage durables l'ingèniosité des maîtres s'est porté ailleurs.Depuis un siècle,la grande affaire des clercs n'est plus une <prèsence réelle> - présence du Christ dans l'Eucharistie-bien acquise ou une Trinité bien définie:c'est uneéglise mal gardée.De rudes coups ont étè portés donc demeurent égarée les âmes sincères.on a vu,au temps de pilippe le bel,achopper pour toujours la thèocratie pontificale,cette prétention de l'église de Pierre à dominer le monde temporel.La papauté s'esttransformée en une énorme machine bureaucratique et fiscale,dont cletcs et laÏcs se son parfois scandalisés.On a connu,enfin,le douloureux spectacle d'une naient d'inutiles anathèmes,etl'aberration d'une Eglise plusiers fois sans pape et dans laquelle la jacasserie des péres conciliaires ne pouvait faire oublier le pouvoir des clés confié à Pierre
Depuis unsiècle,donc,les esprits les plus déliès n'ont en vue qu'une chose:la réforme de l'église.C'est le but par excellence de la réflexion-juridique plus que métaphisique-des maîrtre enmal d'une nouvelle construction ecclésiale.Aux yeux des plus lucides comme des plus simples,la réforme est le chemin de l'unité brisée par la double élection pontificale de 1378 et ses répercussions immédiates et lointaines.La Rédemption passe par l'unité de la Jérusalem terrestre.
Dans une vue augustinienne de la Cité de Dieu,il n'est donc pas inconvenant de faire passer la recherche sur les structures de l'église avant la réflection sur la nature de l'indéfinissable.Ceux qui tirent vers l'ecclésiologie les dyamisme de l'ensiegnement et de la prédication ne sont nullement des médiocres englués dans le terre-à-terre.Pour le salue des âmes,la véritable urgence est là: rendre à l'église sa cohésion et lui donner le nouveau visage qui doit correspondre aux forces ecclésiales manifestées à l'occation de ses luttes. A Constance comme à Bâle,l'église conciliaire est tiraillée entre ces courants nouveaux qu'on appellera plus tard le nationalisme et l'esprit de corps-chez les universitaires en particulier-et ellecherche son équilibre entre le centralisme monarchique et le concert des évêques,voire celui des fidéles.Le concile est un champs clos.Par-delà le rôle dogmatique hèrité des temps anciens et notament des grandes conciles du XIII siècle,il est une force politique au sien de l'église et de son gouvernement.
C'est un thèologien parisien qui donne alors la vision la plus complète de cette construction ecclèsiale conçue comme instument de la Rèdemption.Dans son Traité de la foi et de l'Eglise,maître Jean Courtecuisse pose nettement,sans la résoudre,l'alternative:les noces du Christ et de l'Eglise sont-elles le fruit de la foi ou cellui de la charité,autrement dit de l'amour? Christ-chef,Christ-roi,Christ épouse. ces formules commodes sont autant d'interrogations.La théologie s'affine en s'humanisant.il y a là beaucoup de verbalisme,certes,mais l'effore est sincére.
La théologie ne vit donc pas ses plus grandes heures en ce temps où le future François Villon suit dans les écoles de la faculté des art les cours des logicien qui fondent la méthaphisique.Mais l'âpre combat où s'affrontent les clercs pour savoi qui leur conférera leurs bénéfices est aussi un drame séculaire où l'on se demande si l'Eglise est toujours apte à sa mission.
Accaparés par l'Eglise d'ici-bas,les hommes de doctrine lévent peu les yeux.Leurs engagement séculiers,qui résultaient souvent d'une rigoureuse logique ,en ont de surcroît déconsidèré quelques-uns.Jean petit,qui est mort en 1411,restera longtemps l'apologiste du tyrannicide, l'homme qui justifait naguère l'assassinat de Louis d'Orléans par les gens de son cousin de Bourgogne.Pierre Cauchon,qui meurt en 1442,reste le juge de cette Jeanne d'arc qu'on réhabilite en 1456.Mais,si les hommes sont médiocres et les idéaux mitigés,la foi est sincére. De la réflexion des maîtresà la piété de la vieille mére de françois villon,il y a loin.Entre les deux,il y a la doctrine du prédicateur,decelui qui,du haut de la chaire ou dans le secret de la confession,met le dogme à la portée des intelligences et harmonise les devoirs du chrétien avec les possibilités du bourgeois.L'instruction religieuse et la formation morale des enfants-des enfants de coeur en premier lieu-se continue dans le prône dominical où,faute d'entendre le latin de l'office,beauco^p voient l'essentiel de la masse.Le curé prèche,le moine prèche,le frère mendiant prèche.Le frère prèche voit même en la Parole sa raison d'être dans l'Eglise,et se pose en rival du curè.Celui-ci voit surtout dans le prêcheur le coupable par lequel s'évade le revenu de la paroisse.
Lensiegement est des plus simples: ce qu'il faut croire,ce qu'il faut ne pas faire.La foi est éminemment positive:Dieu, la trinité,la Rédemption,la communion des Saints,la vierge.La morale est négative:les sept péchés capiteaux,le purgatoire,l'enfer.
Il faut être compris,et la pédagogie n'est pas moins simples;paroles,exemples tirés de l'histoire saint ou de la vie des saints tout exemple.toute anecdote porte son tripe sens,historique,allégorique et moral.Job sur son fumier,c'est le patriache,c'est l'obiessance résignée,ce sont les trésors spérituels de la pauvreté.
L'image entre aisément dans cette pédagogie.Portiels,chapiteaux,fresques dans lavitraux,tout concourt à la répètition des thèmes évoqués dans la prédication.Car l'image ne parle qu'à ceux qui savent.Elle ne saurait être initiation.
A ce niveau de la foi,les certitudes sont acquise,en ces années 1450 où s'estompent les troubles et où se consolident les structures le temps n'est plus aux grandes hérèsies;qui étaient l'une des formes de la réflexion sur les fondements de la foi.On a oublier <Spirituels>du XIV siècle,ces extrèmiste-franciscains et autres-qui voulaient faire de la pauvreté évangèlique,individuelle et collective,la pierre de touche du salut par l'Eglise.On a vu de loin l'hèrèsie de l'anglais Wycliff,celle de bruxellois le bûcher le 6 juillet 1415 fait à bien des égards figure d'héroÏsme national.
La foi est donc solide,et c'est celle du credo que l'on glose au sermon.La pérennité de l'Eglise n'est pas moins cal est moins large que naguére,mais les bases en sont saines:elles seront celles de la papauté triomphante des grands pontifes de la Renaissance.Certes,l'Eglise de France a vu dix fois en un demi-siècle basculer ses fondements,et dix fois changer l'équilibre de ses relation avec les deux pouvoirs concurrents du pape et du roi : mais la Pragmatique Sanction de bourges lui donne en 1438,avec l'illuson d'une stabilité politique,la certitude d'une stabilité institutionnelle.La génèration de françois Villon,quand elle récite son Credo,ne se pose de questions ni sur le Credo ni sur le curé
mais cette génèration en a trop vu pour que ses certitudes aillent bien loin.Le goût de Villon pour les contrevèrités et pour les évidentes banalités n'est que l'expression de ce scepticisme latent.
je connais pourpoint au collet.
je connais le moine à la gonne.
je connais le maître au valet.
je connais au voile la nonne.
je connais quand pipeur jargonne.
je connais fous nourris de crèmes.
je connais le vin à la tonne.
je connais tout,fors que moi-même.
Héritière de la fête des fous que condamne en 1444 la Faculté de théologie,la < Mère Sotte > et son cortège de sots commencent de traduire au thèâtre la vieille sagesse des nations en des prirouettes verbales où tombent les illusions.De l'esprit qui anime ces
< sotties>,le dome souffre autant que la morale.Tout est folie.L'amant est un fol, comme le sage est un fol.
Manuels et Encyclopédies.
La culture classique de villon vaut donc sa science sacrèe.Des noms surnagent,qui sont à peine évocateur d'une anecodote ou d'un trait de caractère.Rien de tout cela ne anecdote ou d'un trait de caractère.Rien de tout cela ne erpersente une véritable connairssence de la pensée ou des oeuvres.L'histoire anciénne et la mythologie du poète sont ce que disent les portails scultpés et les vitraux historiès.
Orthèus le doux mènètrier
Jouant de flutes et musettes
En fut en danger de meutrier
Chien Cerbèrus à quatre têtes.
En un parfond puis se noya
Pour Naricissus le bel honnête
En un parfond puis ne noya
Pour l'amour de ses amourettes.
Bein heureux est qui rien n'y a !
Le poète n' a cependant pas lu les géorgiques,où Virgile raconte le voyage aux enfers de l'amoureux Orphée,incapable d'obeir aux injonctions de Dieu Pluton qui ne lui a rendu son Eurydice qu'à la condition de ne pas se retourner en reoute.IL n' a sans donte lu que le dominicain franccomtois Renaud de Louhans,lui-même traducteur et interprète de la littètature à trvers les auteurs tardifs comme Boèce:
Orphèus fut ça en arrier
Un très gracieux mènètrier.
Villon n'a pas lu davantage les Mètamorphose d'Ovide.
C'est dans l'inévitable Roman de la rose qu'il a puisé l'histoire tragique de Narcisse,mort noyé d'avoire au Roman de la Rose-< Notre grand-mère,c'est la terre>qu'il emprunte l'une de ses volontés dernières,non sans colorer l'image de son propre scepticime:la faim l' atrop souvent combattu pour que la terre y trouve son compte.
Item mon corps j'ordonne et laisse
A notre grand-mère la terre.
Les vers n'y trouveront grand graisse:
Trop lui a fais dure guerre!
L'écolier Villon est quand même capable de quelque citations,qu'il n'hésite pas à transformer pour les besoins du ryhme ou de la rime.Ainsi,dans la savante Épître à Marie d'Orléans cite-t-il Carton,Patrem insequitur paroles,comme il adapte Virgile et son vers célèbre:Jam nova progenies coelo demittitur alto:
Nova progenies celo
Car c'est du poète le dit:
Jamjam demittitur alto.
Nos illusions tombent si nous y regardons de près.La citation de Caton est d'un apocryphe et le trait est passé en proverbe chez les clers du XV siècle.< L'enfant suit les traces du père>c'est la vielle sagesse des notions,et point n'est besoin d'avoir lu le Pseudo-Caton pour citer le vers que trouve tout écolier,en hochant la tête,quand il pense < Tel père,telfils!>Quant à virgile,voilà bien des sciècles que l'on s'obstine à voir en lui,pour ce vers-< une nouvelle lignée est envoyée du ciel> -et pour lui seul,l'un des visionnaires paÍens qui annoncérent l'aube nouvelle,rège de Dieu la venue du christ.La scolastique a complaisamment répéré le vers.IL traîne dans le futur quartier Latin.Villon répéte d'autres.
IL n'a même pas lu les Mémorables de valère du pirate Diomède,une Histoire qu'il aurait pu rencontrer aussi dans la République de Cicéron et dan,s la cité de Dieu de saint Augustin.Ce Dialogue du grand Alexandre et du bandi capable de répondre qu'il ne serait pas<larron en mer> s'il avait une flotte royale,cet étonnant constat de la légitimité du pouvoir quand il a pour lui la force,c'est tout bonnement dans les compilations médièvales que villon les trouve.toute l'histoire est dans le livre des Échecs de Jacques de Cessoles,tel que l'a traduit du latin,au temps de Philippe VI de Valois,un hospitalier de Saint-Jacques du Haut-Pas-nommé Jean de Vignay.Ce qui n'empêche pas Villon d'emprunter toute une réplique à une autre compilation,plus ancienne:le Polycraticus de Jean de Salisbury,lequel rapporte l'histoire d'après le texte tardif de Caecilius Balbus.On le voit,qu'il prenne chez l'un ou chez l'autre,Villon reste loin des sources.
Sa culture classique n'est donc faite que des manuels de l'école,des compliations et des recueils de < dits> de toute cette littèrature facile à l'usage des scolastiques de deuxième ordre.IL s'agit moins d'accèder à la pensée des anciens que de faire ample provision de citations,de bons mots et de sentences commodes.Muées en <autorités>,ces citation.Des formules bien frappées,des anecdotes significatives,des plaisanteries attratives,voilà le bagage que neuf clercs sur dix empotent avec leur bonnet de maître és arts libèraux.
Alors,le poète nommé Flora < belle Romaine> en sachant ce qu'il en est de la prostituée mais il compare Marie d'Orléans à la < chaste Lucrèce> sans mesurer la portée de la comparaison.IL cite Herctor comme modèle de vaillance mais il prent,comme tant d'autres en son temps,Alcibiade pour lune femme.
Les livre qu'il a vraiment frèquentés,c'est la grammaire de Donat,dont il use pour tourner en ridicule ses victimes-le livreest difficile pour eux!-c'est l'Art de Mémoire qui est une encyclopèdie de bas étage à l'usage des esprits creux.Le sommet de son érudition vient des compliations à l'usage des écoles,comme ce Polycraticus dû à l'Anglais Jean de Salisbury,un livre qui eut au XII siècle le mèrite de relancer l'étude des problèmes économiques bien avant la découverte d'Aristote par les universitaires du siècle suivant.
Des noms, rien d'autre...Lorque'il veut accuser les Parisiennes de bavarder l'église et d'y dire plus de mal du prochain que de pieuses oraisons,Villon oppose le dire des femmes à la morale de Macrobe.Mais Macrobe est un nom,qui évoque la morale.La réfèrence s'arrêta là .
Regarde m'en deux,trois assises
Sur le bas du pli de leurs robes,
En ces moutiers, en ces églises.
Titre t'en près,et ne te hobes:
Tu Trouveras là que Macrobes
Onques ne fit tels jugements.
Entends,quelque chose en dèrobes:
Ce sont de beaux enseignements.
Sortie licencié de la Faculté des arts et ignorer Aristote serais une gageure.Que Villon ait quelque peu lu le philosophe par exellence de la logique scolastique est hors de doute,même si Aristote n'est cité dans le Lais qu'à contre temps et par manière d'ironie:la docte réfèrence s'annule de sa propre incongruité,et Aristote n'est ici qu'un nom.A trop raisonner,juge le poète,homme devient en fin de mois< fol et lunatique>:
je l'ai lu,si bien m'en souvient,
En Aristote aucunes fois.
Ajoutons que le villon de 1456 est encore,peu ou prou,un apprenti thèologien,et qu'il a sans doute acquis le plus fort de son aristotélisme à trvers Thomas d'Aquin.A tout le moins a-t-il lu d'Aristote lui-même les petits traités de psychologie élémentaire que son les Parva Naturalia.C'est là que,sans affronter les rudesses dialectiques du Deanima,le clerc ennemi de l'effort trouve le moyen desavoir à peu près ce que Villon ait pratiqué le traité du sommeil et de la veille,De somno et vigilia,un opuscule dont les mots clés se retouvent un à un dans l'épisode de l'entroubli qui conduit au terme du Lais.
non seulement Villon emprunte volontiers à un thomisme rudimentaire et à un aristotélisme de surface son vocabulaire philosophique et sa teinture de connaissances biologiques,mais il calque le processus de cet entroubli sur le schéma aristotélicien de la fonction intellectuelle.Ce que dit Aristote de l'activité de l'esprit,Villon le dit en inversant les termes,de cette crise des fonctions supérieures qu'est son entroubli.Le passage aristotélicien des réalités perçues par les sens à la mémorisation d'images sensibles,puis à celle de concepts abstraits qui fondent le raisonnement spéculatif,ce cheminement qui est une montée vers la < souveraine partie> de l'âme se lit à l'envers dans la description que donne le poète de sa propre crise, une description dont l'apparente fantaisie verbale ne doit pas dissimuler la cohèrence scolastique:
Lors je sentis Dame Mémoire
Reprendre et mettre en son armoire
Ses espèces collatèrales,
Opinative fausse et voire,
Et autres intellectuales,
Et mêmement l'estimative
Par quoi prospective nous vient,
Simulative,formative...
Aristote est-il ici sybole,plaisanterie,vantardise?
Peut-être tout cela à la fois.
Le poète cite aussi Averroés,le commentateur arabe de la métaphisique d'Aristote,mais guère mieux qu'il ne cite
Aristote lui-même.Nul n'est dupe.La souffrance-< travail>-est hélas plus féconde que la lecture.
Or est vrai qu'aprés plainte et pleurs
Et angoisseux gémissements,
Après tritesses et douleurs,
Labeurs et griefs cheminements,
Travail,mes lubres sentements
Aiguisés comme une pelote,
M'ouvrit plus que tous les comments
D'Averroys sur Aristote.
Il en va de même des très rares citation juridique que se permette Villon.Le Décret de Gratien,ce recuiel fondamental du droit canonique;n'est invoqué que pour justifier les femmes qui prennent amant<selon le Décret >.L'allusion couvre une facétie d'étudiants.Ce que condamne le Décret,c'est l'aggravation de la faute par le scandale public.Villon en déduit,comme tout écolier frotté de droit à ses heures d'après-boire,que mieux vaut pécher dans l'ombre< Aimer en lieu secret > Ne prenons pas la réfèrence pour une preuve de compètence juridique.
Quant à la bulle de Nicolas V qui donne en 1449 aux frères des ordres mendiants les offrants des fidèles,elle a fait assez de bruit dans la population tonsurée.Le double legs du décret Omnis utriusque sexus-en r&alité la décrètale de Grégoire IV qui obligeait tout chrétien à se confesser au moins une fois par an à son curé et non à un autre prètre-et de la < Carmélite Bulle> qui en annule le profit pour le slergé ordinaire,undouble legs fait < aux curés,pour mettre sus> trouve sa source dans les conversations du cloître non dans la lecture des textes juridiques.
Seul vient à son heure,et avec un brin d'exatitude,la citation de Végèce sur quoi s'ouvre le Lais.Le théoricien de la guerre antique a bien conseillé s'écrire ce que l'on pence,afin de savoir ce qu'autrui pense de ce qu'on écrit.
Prendre conseil quant à ses oeuvres,tel est le propos de Villon,un propre qu'il feint d'emprunter au stratège romain sans s'aviser que celui-ci allait infiniment plus loin:la pensée ne devient autorité qu'avec la sanction des princes qui l'on lue et approuvée..
Le roman de la rose.Passage ces vaçons de vie en romense de leurs exgistanse de leurs années de vie de toutes hère humains passée de ces époquec,plus poètes de michel villons et ces trois prénoms françois Michel
Mais,une fois de plus,Villon ne cite au vrai qu'une traduction.La traduction de végèce à laquelle il emprunte n'est autre,comme par hasard,que celle de jean de Meung,Dans le prologue de Livre de chevalerie traduit du latin par l'auteur de Roman de la rose,nous lisons en effet ceci:
Si l'empereur n'a vu et confirmé les livres,ceux-ci ne seront ni reçus ni mis en autorité. même chose sur les livres sietés aux qu'els vous, vous procurer sur ces bieographifie de l'hisoire de mons èxsictense signature numèrique mcleu,;.sous même forme histoire semblables aux qu'els vous vous vos aventure avec baucoupe de gens !!!?,;:.
décidément,nous en revenons toujours au Roman de la Rose,le seul livre que Villon cite sans se moquer.C'est là qu'il prent l'essentiel de la philosophie.IL y puisse sa conception de la femme,qui n'est pas nécessairement conforme au souvenir qu'il garde de ses amours personelles.IL emprunte au Roman des thèmes,des images,des émontions même.La belle Heaumière est dans le Roman sous le nom de Dame Oyseuse avant d'être dans le testament,et Guillaume de Lorris use dèjà des même mots et des mêmes images pour peindre la beauté aussi bien que la laideur.
Cheveux eut blonds
Front reluisant,sourcils voutis.
L'entre-yeux ne fut pas petit.
La vieille Oyseuse avait la fossette au menton,la belle Heaumière a le menton fourchu.L'une a le nez < bien fait à droiture >,l'autre un <beau nez droit > lorris peingait une < bouchette colorée >,Villon met dans le portait de < belles lèves vermeilles>.
Le Roman de la rose,Villon l'a lu et relu.IL en sait des passages entiers.IL lui prent des formules non moins entières < prends durement aux dent le frein >devient < Le frein aux dent,franc au collier >.Onpourait donner cent exemples.L'hommes du moyen Age ne pence pas, comme nous le ferions,qu'emprunter est plaigier.Tout l'enseignement se fonde sur la lecture et lacopie,non sur l'originalité de la conception.Dans un système de pensée où le principe d'autorité justifie toutes les rentes les démarches dialectiques,prendre à autrui,c'est lui rendre hommages et fonder une expression nouvelle sur un avis déjà reconnu. Or le Roman de la Rose est précisément la somme des connaissanses admises.Dieu clercs du XIII siècle,Guillaume de Lorris et jean de Meung,y ont l'un après l'autre dévloppé tous les thèmes de la philosophie platonicienne adaphtés de la courtoisie,qui est proprement l'oeuvre de Guillaume de Lorris,un contemporain de Louis VIII,vient une vaste somme de pensée scolastique,celle des maitres séculiers de la jeune université de Paris comme celle des milieux boureois touchés par la prédication des curés.cette somme ,qui est la part de Jean de Meung,un contemporain de philippe III,fait du Roman le mounument d'une pensée encore cléricale-on l'a vu quant à la autorités et de la hièrachie doctrinal.Dans cette philosophie du Roman de la Rose,l'homme apparaît plus comme acteur dans la socèté que comme image de Dieu dans la création.L'ouvrage est aussi-il est surtout,pour les lecteurs du XV siècle moins sensibles à ses nouveautés-un à lui seul un langage.Empruntant à Mantianus Capella sa démarche et sa thématique,il en fix et en clôt le répertoire.
A bien des égards,Jean de Meung construit l'humanisme moderne.Certes,la socèté naturelle qu'il peint et dont le modèle est un âge d'or virgilien se rattache au grand courant de pensée égalitariste dont procèdent d'une part le comportement francisriste dont procèdent d'une part le comportement franciscain,d'autre part la réflextion anarchiste et anti-ecclèsiale de Joachim de Flore et de ses succeseurs les < spirituels>Elle n'en est pas moins leschéma d'une création divine où l'homme est de valeur en soi et non pour la place qu'il occupe dans la cité de Dieu.
C'est dans le Roman que les contemporains de Villon puisent le plus souvent leur apparence de culture classique comme leur apparente profondeur de rèflexion.La persistance du succès encourage même les entreprise les plus effarantes:quelques années après le temps du testament,le rhètoriqueur et chroniqueur officiel Jean Molinet n'hésitera pas à moderniser en prose le texte de Jean de Meung.Villonn'a donc ni plus ni moins que les autres hésité à pilier le Roman de la Rose.Il lui doit sa mythologie,surtout si l'on pense que ses contemporains ont tous la même dette et que les reents mythologiques qui traînent dans les conversations de la rive gauche doivent eux-même tout, ou emprunte au Roman?Qui emprunte à l'emprunteur?Écoutons Jean de Meung:
Car beau Chanter souvent ennui...
Rutefeuf,à la même époque,fait écho:
Lon dit que beau Chanter ennuie...
Une complainte anonyme répond à la fin XIV siècle,
reprenant l'idée aussi bien que la formule:
Villon changera seulement la construction grammaticale:
de bien Chanter s'ennuie-t-on bien...
Le poète,d'ailleurs,ne se cache pas rend volontiers à César...Dédaignant de donner à chaque fois des réfèrences qu'il ne croit pas devoir,c'est quand il a besoin d'une autorité qu'il s'appuie sur une citation presque textuelle,Jean de Meung dit en effet:
bien doit être excusé jeune coeur en jeunesse
Quant Dieu lui donne grâce d'être vieux en vieillesse.
Mais moult est grand vertu et très haute noblesse
Quant coeur en jeune âge à mûreté s'adresse.
Villon change quelque peu le prope.IL ne s'agit plus de cumuler la vertu de la jeunesse et celle de la maturité.Le premier principe demeure: on doit excuser la jeunesse
quand on voit la vieillesse.Mais la proposition conséquente est propre à Villon:ceux qui le persècutent veulent donc l'empêcher de vivre vieux!
Et comme le noble Roman
De la Rose dit confesse
En son premier commencement
Qu'on doit jeune coeur en jeunesse,
Quand on le voi vieil en veillesse,
Excuser,hélas dit voir!
Ceux donc qui me font telle presse
En mûreté ne me voudraient voir!
L'âge permet à la jeunesse de racheter ses erreurs.On veut priver Villon de cette chance.Le< pauvre Villon >mourra dans sa triste jeunesse.Le thème est personnel:Jean de Meung n'a jamais rein pensé de pariel.Au rese,il est à cette citation un défaut:Villon se trompe de livre.C'est dans son Testament que Jean de Meung a écrit ces vers que Villon reprend plus ou moins dans le sien.Car l'idée du testament comme prétexte d'une vue du monde-ou d'un réglement de comptes-n'est pas,non plus,de françois Villon...
Une culture Médievale.
A côté du Roman de la Rose,l'histoire est présent dans toutes les bibliothèques.Tite-Live vient en premier,accompagné de Salluste,de César-celui de la Guerre des Gaules-et souvent de Valère Maxime.On trouve aussi les versions tradives de l'histoire légendaire,comme les innombrables Histoire des Troyens que la mythologie monarchique finit par faire passer pour des histoires anciennes de francs.On peut croire ou ne pas croire que les francs descendent en ligne directe des Troyens réchapés de la catastrophe;Toujours est-il qu'on lit leur histoire parce qu'elle est à la mode.
Tout le monde n'a pas,comme le lettré fortuné qu'est Nicola de Baye,les quatre livres de Mémorables de Pètrarque et les femme célèbres de Boccace.Mais il n'est pas une bibliothèque de chapitre,de monastère ou de collège qui n'ait l'une ou l'autre de ces chroniques qui se recopient faits locaux et quelques anecdotes récentes.chacun a une vie des Péres, une vie,une vie des philosophes,une Histoire ecclèsastique.la chronique martinenne-se colore en chaque version des commentaires locaux d'une histoire qui se veut de l'église.L'histoires dont la lecture est la base de toute réflection sur le passé,Villon se moque bien.Sa culture classique mêle l'histoire,même s'il a par hasard trouvé dns une chronique des évêques du Mans le nom,qui l'a séduit pour l'assonance,de la comtesse Aremburgis,promue pour cela au rang des grandes dames du temps jadis.Où sont-elles?
La reine Blanche comme lis
Qui chantais à voix de sirène,
Berthe au plat pied,Biètris,Amis,
Aremburgis qui tint le Maine,
Et Jehanne la bonne Lorraine
Qu'Anglais brûlèrent à rouen?
Où sont-ils,où,vierge souveraine?
Mais où sont les neiges d'antan?
Que ceci,qui n'a juste ancun sens,soit le seul emprunt du poète à la littèrature historique dont il peut disposer,monte le peu de place que tient l'histoire dans son inspiration.Au plus retient-il du passé le plus récent quelques affaires dont le <bruit>résonne encore du côté de la rue Saint-Jacques.Ainsi en va-t-il,on l'a vu,pour la bulle de nicolasV.Exceptionnelle est donc l'attention-fruit de l'enseignement d'un maître ou fruit d'une lecture-qu'il semble avoir portée à la vieille affaire de jean de Pouilly,l'une de celles qui bouleversèrent au début du XIV siècle une Église déjà troublée par l'échec de l'augustinisme politique mort avec Boniface VIII,et par l'exil du Saint-Siège sur les bords du Rhône.
Les proposition développées contre les franciscains par le thèologien Jean XXII.Pouilly dont le clergé séculier-comme celui de Saint-Benoît-le Bétourné-conservait le souvenir d'une humiliation devant les ordes mendiants.La Sorbonne tenait encor Pouilly,plus d'un siècle après l'évènement,pour un maître tout à fait digne de foi et fort injustement condamné.Ce que reproche au thèologien le prtit écolier qu'est François Villon,ce n'est pas sa pensée,c'est son dogmatisme.Dans l'esprit d'un poète mal instruit des enjeux théologique du conflit et peu soucieux d'être,l'affaire prend les dimensions d'un passage à l'ennemi soit l'hypocrisie des ordres meendiants.
quoi que maître Jean de Poullieu
En voulût dire et reliqua,
Contraint et en publique lieu
Houteusement s'en révoqua.
Le poète,d'ailleurs,mêle tout.Mendiants,bèguines,<turlupins>il leur laisse par testament des <soupes jacoppines>cet excellent potage à la viande et au fromage que bon peuple affuble du nom des Jacobins pour se moquer,non de la soupe,mais des frères qui prêchent la pauvreté et se godergent de bonne soupe et de bon flan.Villon pousse plus loin l'ironie:les Jacobins,les carmes et quelque autres mendiants passent pour trousser les épouses quand les maris sont absent.
IL faut qu'ils vivent,les beaux pères,
Et mêmement ceux de paris:
S'ils font plaisir à nos commères,
ils aiment aisi leurs maris!
En définitive,ce qui se vend le mieux chez le libraire parisien,c'est le droit:la science est utile.La vieille bible sert toujours,et le maître en thèologie vit de la bibliothèque du collège.Les vieilles Heures servent aussi à qui n'a pas l'âme et les moyens d'un mécène pour en souhaiter de nouvelles,ornées à la mode du jour.IL est au contraire nécessaire d'avoir le dernier commentaire de la coutume si l'on veut gagner ses procès.Conseillers,avocats et procureurs,quisont la clientèle aisée de la librairie parisienne, ont volontier sous la main les textes fondamenteaux et les < pratiques>,les instruments de travail que l'on ne saurait emprunter à tout propos.Code et Décret,coutumiers et formulaires,gloses et < cas>,le bagage du juriste est invariable en sa base,sinon dans son importance.L'un se contente d'un Digeste,l'autre a la Somme de Roffroy de Bénèvent,voire celle de Tancrède de Bologne.L'un n'a qu'une méchante compilation des Décrètales,l'autre ajoutune ou d'héritage...
Villon s'en moque bien,qui se contente d'avoir touché à la pratique comme gratte-papier d'un juriste.IL en a retenu des tournures,des formules,des mots qui sonnent.Le vocabulaire du jugement et celui du testament,voilà sa dette envers le droit.IL en tira le profit que l'on sait.Du Décret qui est la base de toute étude du droit canonique,il n'a en tête qu'une chose:ce que citent toujours les clercs quand ils vont chez les filles:mieux vaut fauter en secret que d'en faitre un scandale public.Gratien n'y retrouverait évidemment pas sa condamnation de l'adultère...
Bien diverse en revanche la part que font à la littèrature d'imagination en langue française les quelques biliothèques que nous pouvons connaître grâce à des inventaires après décès.Les goûts et les tendances personnelles se reflètent dans cette diversité,mais il est difficile de démêler +-(délêts)+-=(d'éipèches) ce qui est véritable lecture dans ce qui pourrait bien n'être,le plus souvent,que pure et simple conversation.Le livre est un bien de valeur,et l'idée ne vient à personne de jeter le livre est un bien de valeur,et l'idée ne vient à personne de jeter le livre démodé.La prudence s'impose donc avant de compter pour lu l'ouvrage jadis acheté ou naguère hérité.Ce qui ne trompe pas,cependant,c'est la multiplication des copies:si les copistes s'emparent d'un texte,c'est qu'il y a,à ce moment-là,une clientèle pour ce texte.
Dans cette approche de l'imaginaire-qui est souvent une approche du sentiment-les milieux socio-profesionels se distinguent aisément.Comme les princes mais pour d'autres raisons,les bourgeois raffolent du roman.Les notables du parlement en sont moins friantds,mais ils ne dédaignent pas la poèsie,surtout si celle-ci se rattache à quelque grand coutant de pensée perçu par ailleurs à la cour ou à la ville.Nicolas de baye possède deux livres de ballades et un Roman de l'État du Monde où il n'est pas interdi de reconnaître le Dit de Rutebeuf ou de tel autre ouvrage satirique de la sorte.Après tout, un greffier peut avoir à la fois des état d'âme et des griefs...
Ce genre de littèrature,dont se méfient les conseillers-les<grands maîtres>,comme dit Villon -et que l'ontrouve peu sur les rayons des bibliothèques de collège,circule en revanche de main en main dans le milieu désargenté des écoliers qui mai qui main dans le milieu désarrassent imagination.la comme ailleurs,la culture de Villon est largement faite de bribres indirectes. peu d'une carrière.Villon en fait grand cas, même s'il a surtou fait sa pâture du Roman de la Rose,encycolpèdie tout autant qu'oeuvres,la culture de Vilon est largement faite de bribes indirectes. Il emprunte à la matière des chansons de geste-berthe,Béatrix de Provence,Alix de Champagne-mais ces emprunte viennent tout droit des romans tardifs qui font fureur alors même que la noblesse tourne le dos à son rôle premier..Il ne vient d'ailleurs de cette matière équipe que quelques noms qui sonnent bien;derière le noms,il n'y a rien,non plus que derrière le nom de < dame Sidoine> qui a séduit le pôète lorsqu'il l'a trouvé,sans doute dans le Romen de Ponthus et de la belle Sidoine dont rien ne dit ne dit qu'il ait lu autre chose que le titre.
Au vrai,la chevalerie attire peu d'écolier.Ses nostalgies restent de surface.IL a beau citer pêle-mêle quelques noms évocations de prouesse,il demeure profondément indifférent aux valeurs qu'illustre cette littèrature d'imagination épique< Mais où est le preux Charlemagne?> n'est là que pour l'extraordinaire beauté du vers Villon se moque bien du roi franc,et n'a visiblement rien retenu du Pèlerinages de Charlemagne,cette chanson de geste qui est au XII siècle l'un des avatars de la < geste du roi>et qui nourrira encore vers la fin du XVl'inspiration du roman de Jean de paris aprés avoir nourri au XIII le Jehan et Blonde du bailli Pillippe de Beaumanoir.
Tout l'apport de la litérature épieque est finalement dans le plaisir de la sonorité,auquel cède si volotiers Villon.On l'entend lorsque'il fait du roi Ladislas de Bohême,qui vient de mourir,un < Lancelot,le roi de Behaigne>.Lancelot n'est pas ici signe de lecture,c'est un
snbistme.
Les goûts de Villon reflètent et le moins vieux Mèliador de froissart, c'est pour le château où l'on cultive la nostalgie,voire pour le bourgeois qui se donne une noblesse de culture dans le temps où il songe à son anoblissement par lettres patentes.Le clerc et l'écolier,eux ont ailleur leures rêve et leur paraître. < Follâtre > ou < pauvre> l'écolier Villon est peu porté vers ce filon de la mal dans les constructions intellectuelles du roi René et qui réagit si sèchement aux irréalismes de la cour d'angers.Méliador est aux antipodes du réalisme d'un Villon lon
Croisement de ma biographie aux sujet de reffoulement de pariet ces passiont coup d'états manipullent des civilles a leure histoire pour qu'ils y a moins de souffrence a priori
< vous savez...,en génèral on ne sait rien.Et les gens qui devraient savoir,c'est-à-dire qui savent manipuler les idées,les triturers et les présenter de telle sorte qu'ils s'imaginent avoir une pensée originale,ne renouvellent jamais leur fond de choses à triturer,de sorte que leur mode d'expression de cette expression.IL résulte de ceci qu'on ne peut rien apprendre avec eux parce qu'ils se contentent de mots.>
· Gilbert thiel
· On ne réveille pas un juge qui dort
interwous,,ces part ces entrtiens aux journaliste avec Daniel Carton.
Éditions Fayard
Épilogue
Monsieur le juge,avez-vous quelque chose à ajouter?
Non,mais j'aurais pu.pour faire un vrai livre comme ceux de mes collègues...je vous aurais alors raconté mon père,mas mère,ma scolarité,mon exemption du service millitaire,mes études,maon absence de vocation,la première et dernière fois où je suis entré consommer dans un McDo,..Mcleu...:c'était en allemagne,en 1982,il était tard,il faisait froid et mes enfans avaient faim...j'aurais même pu vous dévoiler mon projet secret:enseigner le droit à l'université de corts...moi prof univércité minolét.même s'il est vrai que,là,je manque de promosions. Ou vous parler encore de ma libido ou de ma première lambada.j'amais tèrminèsMais,comme je suis pas persuadé que cela puisse intèresser les gens,et qu'en plus ça ne les regarde pas,je pense qu'il vaut mieux en rester là.
votre vie de juge ne va pas s'arrêter avec ce livre,du monde et l'aureiant la vie du monde du loins je veux Ètre a la penser.Pour conclure,puis-je vous demander quels sont vos espoirs pour demain? conclure,puis-tu demander quels sont vos espoirs pour en penser de jour en jour livre du monde et saraiter la du livre a reporters ces histoirs de juge
Les mêmes que les vôtres,Daniel Caton. de se Que je le sais ces mcleu.sourie de se qu'ils lui a arrivers de ces 't' esse edscar il faut enfin être honnêtre:mas espoirs sont de bien vendre ce livre-là .De un <carrton> de détournement de juge a la pièsse.Car ni vous ni moi seras les conscultendres de eux moi eu signe inynisyales synballes de mons ouvrage une aufrages aussi? tous se quond veux mes ils y en a encore se qu'ils pleurniche de leurs situations a bonbinables inscroillables mais vrès.On n'a donc reprie pas eu droit,comme lui,Patrique Henry.,à un a-vis valoir de 100.000 Euros,versé par les éditeur.C'est normal:on n'a tué personne.On ne s'appel pas davantage Philippe Jaffré et en cas de révocation PDG d'elf,un parachute doré de 10 millons d'euros nets de toutes charges sociale et de tous imporsition fiscale.Malgré les difficultés de gestion de nos budgets domestiques,nous ne sommes pas parvenus à creuser un défiecit de plusieurs dizaines de milliards d'euros.Et comme on ne diquer,à défaur de l'obtenire,une conséquence indemnité de départ pour solde de tous compte,alors même qu'il n'avait perçu à titre de traitement,pour l'année 2001,suite à l'augmentation de 62% qui lui dente,que la modeste somme de 5.2 milllions d'euros (je vous épargne les stok-options qu'il avait levées,car cela pourrait donner le vertige à remarquable ouvrage).On ne's'appelle pas non plus Bernard Tapie.Nos meubles peuvent donc être saisis et on ne peut mener personne en <bateau> On ne vend pas non plus de limonade.En consèquence,il est tout aussi vain d'esppèrer<faire du black>que de toucher des stock-options.Et les fonds secrets sont maintenant,paraît-il,strictement réglementés.Pour ce qui me concerne plus personnellement,mes phrases interminables,témoingnant des circonlutions de ma pensée ou de ce qui en tient lieu,celle sans verbe auxquelles vont mes préfèrences,et ma conception délibrement inconclaste de la pnctuation,ne me laissent aucun espoir de voir ce livre racheté,en tout ou partie,par les éditeurs de manuels scolaires pour édifier les jeunes génèrationsQuant au groupe I Murvrini,il m'a fait savoir que je chantais faux.Enfin,ma candidature au poste de rédacteur en chef du journal Le Monde a,selon les briuts de couloirs,peu de chances d'être retenue.Pas d'espoir,là non plus.Il nous faut donc vendre.
j'ai outre la prétention,qui tourne à l'idée fix,de vendre plus d'exemplaires que Le Maitre embastillé paru sous la plume de l'exmaire de Toul Jacques Gossot.Pour favoriser cette ambition élevée,j'ai même pensé-car je crois que c'est comme cela que ça marche-à ponctuer la sortie de cet ouvrage par un coup médiatique.J'ai notamment envisagé une fusillade dont je sortirais indemne dans les jardins de l'Obervatoire.Mais on m'a dit que ç'avait déjà été fait.Alors,pourquoi pas un faux enlévement?Jean-Edern Hallier s'y essaya de son vivant.Où être accusé de la <fuite>d'un rapport établi par le contrôleur génèral Roger Maorion?IL n'en écrit plus.Et puis,j'ai déjà donné.Bruler une paillote de l'opération<Paris-Plage>?Les gendarmes ne veulent plus.Mettre sous écoute télèphonique le journaliste de L'Est répulicain LaÏd Sammari enchaîné?D'une affigeante banalité.Quelque avocats?Pariel.Prendez la place de Jean-Luis Bruguière?vous n'y pensiel supèrieur de la magistrature?Là,cela va prendre du temps.Et,de plus,je suis complètement innocent de ce qui pourait m'être reroché.Mais je pourais alors récurer l'un de ses menbres,le premier président de la cour d'appel de lyon,Jean-claude Girousse,en soutrnant qu'il est franc-maçon,bien que ce soit faux et que cela ait déjà étè fait.Comme cela,sous couvert de justice impariale,pour ne véritable essor.Quant aux autres éventualités que j'ai secrètement envisagées,elles n'était vraiment du vatican,ni celui de ma hièrachie.Je préfère donc y renoncer,et surtout les taire.
Dans ces conditions,célant une fois de plus à la pression-en l'occurrence à l'amicale pression,complément désintèressée,de la maison Fayard,-je me résingne en guise de conclusion à lancer cet appel:<Travailleurs,Travailleuse,chômeur,chômeuse des villes et des camâgnes,substitues,procureurs,(c'est-a-dire procureuses)avocates,avocats,juges(tien,là,c'est neutre),vous qui avez toujours voulu tout savoir sur la justice de notre pays sans jamais oser le demander,achetez ce livre,offrez-le,collectionnez-le,stocker-le et surtou payez-le!avant qu'il ne me prenne l'irrépressible envie d'en sera pas diffivcile>.
Lecteur faite,persifle et signe:Gilbert Thiel (prononcez<Til>svp!).
l'ourse ou es sons sex.
régulateur d'équipe et ajoustement,
réciproque des autoues; réfexif,refoulement; écoute coénomciation,coénonciateur,coénomica.
&&&&&&&
Le temps est le concept même qui est là, et se présent à la conscience comme intuition vide.C'est
pourquoi l'esprit se manifeste nécessairement dans le temps, et il se manifeste dans le temps aussi longtemps qu'il ne saisit pas son concept pur, c'est-à-dire n'efface pas le temps.
Concepts° & 1.la probalité1.1.perspective intuitive.p.d.t.s.pdthmlceuS...(secrêt diplomatique).
C'est celle de la probabilité comme rappot du nombre de cas favorables à aléatoire sur le nombre total de cas possibles.6.(résulta d'intérêt) peut lorsque d'un lancer d'un dé (expérience aléatoire)ajd lié au hasard dont la probalité est égale a 1/6,soit le nombre de cas (faces) favorables à la sortie du 6 le nombre totale de cas (fase) possibles cet exemble peut d'acilement s'étendre à la probalité d'observer une intention de votre pour un candidat a lorsque l'on pose la question à un individu particulier-pris au hasard,celle-ci est logique égale à m/n ou n'est nombre de cas favorables à la sortie de telle intention de vote(soit le nombre de personne ayant cette intention) et N le nombre totale de ces possibles,(soit la nombre de personnes qui pourrvient être interrogers)1.2.perspective fréquentielle.La perspective précédente trouve trés rapidements des limites (limulités).-. insurmontables. par (ex)suponsons que notre dé ne soit pas équilibré et que 6 sorte dans moins de 1/6 des cas.le nombres reste bien sur de 6.Comme avoir alors une idée de la probabilité d'obtenire un 6 avec un tèl de ! la perspective fréquentielle consust à se dire:eh bien! Leçons le dé un trés grand nombres de fois (qui correspond à l'infini en théorie probalisée et regardons la proposition ( fréquense) de dé oû un 6 sort. cela nous donnera une idée de la probalité d'obtenir un 6 avec un tél dé /A rappelons que pour ce chapite comme pour les suivents des dévelloppements plus important peuvent (avec ex et corrigés ed mlceu université).je n'es gypse et je ne demande rien:;,...La procreatique;les bietechologies et la re production humaine histoire et éthnique,1:comment s'opére la génération? ce problèmes a èté élucidé pour l'essentiel seulement dans la première moitié du x.x.siècle et pourtant bien des réponces ont èté proposées au pare avent depuit l'antiquité.les premiéres théories explicatives,basées ou non sur des faits d'observation rudimentaires,relevent de la spéculation et sons restes sans lendemain.il faut attendre le x.v.II siècle pour voir naitre des explications plus pertissentes mais cependant en patrie erronées,et se sont des conceptes appartennents étrangers a ces question qui permetront en fin ,ci-dessous.du texte à l' élaborées. enfin, au début du xx siecle,l'élaboration d'un schéma satisaisant,mais dans bien des détails sont aujour'hui encore inconues.la spéculations pure il resté longtemps des traces de ces lointaines époques a 'ignorances ou sexualitté et reproduction paraissaient indépendamentes les théories proposées par les anciennes philosophes extirpées mythiques, sont purement spéculatives,elles constituent évidement évidement du savois,mais elles perdurerons pourtant jusqu'aux xv.III ou xIx siecles,cohabitant pendant un temps avec de nouvelles explication plus fondées.ce fut d'abord la théorie de la génération solitaire, selon laquelle les femmes pourraient procrèer sans males.les ramsps ermistes,comme hèraclites et peuplées de germe disséminés et brassés par les courants éoliens,qui c'est reste jusqu'au xvIII siécle une croyance partagées par beaucoup que les femmes pouvaient étes inceste
anomie typologie les règles sont affaiblies contradictoires,de telles sorte que les individus ne savent plus diriger leur conduite <...on ne sait juste et ce qui juste et injuste,quelles sont les revendications et les expèriences légitimes,quelles sont celles qui passent la messuie...>système de classeification des ensenbles ou des élèments d'une rèalité en types schématiques.1systèmatique,2 systèmatiser,3 système . 4.1d'unsystème intélectuels, 4.2 qui procède çes organisé avec méthode un refus systématique entêté,4.3qui pence ou agit selon un système.preniér une petite étude de vous même pour vous regroupé nom et chiffres et de vous éclaircir.subséquemment en consèquence de quoid,subsèquement,subsister,subvenction,subvenir,subtilité,suptile...,exsprit de système tendence à faire prévaloire la conformité à un système sur une juste appréciation du réel.(ex) nous m'ètons dans chaques pays 10.000 piquet a chaque des pays dans le monde,nous dizons quiels se rencondres a l'endroit ou ils sont expausser la civilations passer et à se jours et l'endroit reste nous restons les mêmes à l'époque avent et après les siècle a venire et passer et se que je vous ais dits les endroit sont les même a pare les décore les époque mais les pays sont les mêmes endroit a pare la tères chenges de matières de structure möle ou dure et les quatres géographique changes de chöua chöua,et bien que les couleure des ligne et épèsseurs de lignes des cartes,sa veux dire la ou vous liré se livre la il l'y eu des sivilisations et on nous repasserons encore et encore jusque des mielare d'années,se que je veux dire de conprendre ces que tous ouvrages écrit des époques passés sont les mêmes que se que je vais dévoillés en belgique sur les conmendements des enseinnes ministèriels débutens sont toujours en activités acctueles sur divèrse papiers conformité ortographier mieux èlaborés plus étendu,sur divèrse partie communeaux de belgique, dit comme à la disposition graves de l'amèrique pas sur un autre pays qui ais les russe une dissimulation de tèrrien ou l'enciens palais de justise de liège à crailler une fègondations humains pour reconstruire une civilisalations la plus gros dans le monde industrielles + des ensients livre de divèrse vocabulère du sense vèrbales et de sense de son senssorielle du sense propre de respècté hautruie de sorte de touttes divèrgenje sense sujet de livres instruictive qui ne sère à plus de acctualités inpausables nivaux honnête cotè de éducé les futures recherche du monde.vue que le dépaux de livre tous les livres que tous les pays exsistens en tens que la guère et les cathastroves aurais du ètes évietés sur ce dit l'insendies ou vieux batiments sa vas de sorte que les deux pays imposer de ne pas que se bute de la belgique fas que se soit la rèspausabilités de cadaves ou autre ètas des humaines de ces époques de hètre humainnes.ils lie a des livre en core sur le cèrcuis de se tragique détournements de set époque de mes orielles sircule avec les partisipents qui sont sécuriter de l'étas belge sircule en convois de magasin en magasin vère chènée.dèrniére emplasement,.livre de st nicolas de sa propre mais.Si l'on peut dire en quelle que sorte a la place s'est a dire que si je peutdire, je peux vivre, j'aurais du dire,exclamer(plus excactement)dans tous les sense des mot.a partager avec vous ou olore seux que je contoillais dans la vie de la rue mais je n'ètè pas asser convaicu de la sorte de mais lumière en moi >même pas en mode US.VS.ces a dire en sourdine dans les oriellesmaissage passe intèlèctuelement pare le mentale de l'èsprit,<passer moi>l'expression.comme ça si je peux dire me permettre autrement dit,en d'autre termes,pour toi j'essaie d'ètre clair,vous m'avez suivie dans la vie n'ainporte ou je me trouvais dans la rue ou endroi ou je sirculais dans les aurganismes dans la ville?ce qui peut revellent la dimension foncierement propre tenus,s'est le mot qui convient au sense habituel.nommer< appeler,signifier,ou des tours comme,en d'autres mots,s'est-a-dire<euh><mmh>moi je suis la ou pas,pour seux qui désire me suivre de plus près,la sémiotique indépendant-,la sématique et la pramatique-peut écriere,michel ès la ou n'est pas là non=préconstruit la formation discutive,lasyntaxe,vie,ironique(exicales,des paradigmes.paraphrases,gloses.plurisémiotique ou pluricodique,typographie.cohésion,endophore,reformulation,substitution,deux.distincts hétéroreformulation=(distingue tu veux dire queon renplase autrement dit)<c'est-a-dire>cela veut dire que,en <un mot- ou plutôt>je veux dire de quel autre il faut se défendre, paradie un texte a texte vulgarisation<équivalent,hum,hum ah bon,oui oui,tien,ah oui,verbe au,tien,ca alors(mmm) écrire,typologies,saussurien,se texte des plication peux vous sèrvire de mode de rechèche du sentre de méditation de mavoire de la façon d'écriere se texte.autre choix pour seux qui aime la sience mathe en quelle que sore échèque et mathe contraction et de la répulsion mais il faut plus encore,la contradiction de l'homogènieté et de l'hétèrogienèité;=c'est-a-dire des éléments qui jioent en même temps eux-même et diffèremts de tous les autres.nom micrrephysique justement a travers la biologie jusqu'a psychologie et plus lion sa sociologie:les propriètés de potentialisation et d'actualisation des dynamismes energétiques quels qu'ils soient existent certaine énèrgie d'attraction énèrgierépulsion d'une énèrgie chètèrogénesiante passent d'un certaine degré d'actualisation sont les phénomènes c'est-à-dire des système mocrophisique et des systaime biologique mettre en évidence ces proprictés potentialisations accualisation d'autre particules,se soumettrent au principe de paulin,qui hitèrogrèsiese l'énergie acclualisé degré potentalité d'exclusion individualisatrice et diffèrenciatrice celes par les quelles j'ai commencé mon exposé:c'est à dire les quant a photons: ces photons:ces particules.rayonnement et par conséquent,priencipe de paule:elle peuvent s'accumhulé en un aussi grand nombre que l'on veut dans le même état quantique =1photon est donnée positif el négatifs s'est ce qu'on appel la matèrialisations et l'énergie et deux élèctronc possitif et négatife peuve donnée naissence a un photon ce qu'on appelle la dématèrisation de l'énèrgie il y a donc aussi bien dans les photon que les particules qui se soumettrent ou priencipe de paulé.histoire hèthnique sociale politique.conte historique polytonique spéciale,polyconne spéciale de nos cour historien a l'ancienne psycotènique resourse de mas sience de vie thènique passion de recherche historien parlent de vie humaine avec des jents de leures années de vie construite avec leure sience de conprendre la vie des jents et leure parent et arrière parent connue plus sur les livres de conte de londre le ministère bege nie les recherches d'avouer a l'ondre et l'amèrique tous se qui a sur se livre avec plusieur males contruies des autres concurents des confrère écrivier du mème livre que selui ci mes pas de conviction de se s'avoire en masse de cette livtigne en coure de èspliquation de leure pares ou nie cette a partis
cipations amcrique a garde de cet conte avec l'anglettère du texte retrouve ici les phénomène du parodie reçonnue a leure état the étude cassfoure de sience de cet deuille
antropologie chala, bie mie la, hèm dou lie la.
C'était la Saint-Nicolas.Les écolier hurlèrent qu'on les provoquait.Cependant que l'écoliers se retranchaient dans une maison à l'enseigne de Saint-Étienne,qui apparenait,à maître Henri Bresquier,le prévôt établissait son poste de commandement chez l'avocat de vaudetar,à deux pas de là.Mensés par lieutenant criminel en personne,les sergents allèrent desceller le Pet au diables et la vesse.Une charrette emporta les bornes litigieuses.Estouteville ordonna l'assaut.
On enfonça la porte de la maison de Saint-Étienne.Les écolier furent dûrment rossés,puis arrêtés.Mais les gens du Châtelet tenaient avec joie l'occasion,lontemps espérée,d'une revanche contre les privillèges et franchises universitaires: ils fouillèrent la maison,trouvérent plusieurs enseignes récemment décrochées par des facétieux,et mirent enfin la main sur les crochets de la boucherie de Saint-Geneviève qui avaient inexplicablement disparu quelque temps plus tôt.Il y avait aussi des armes:des dagues,une petite couleuvrine.Cette découverte incita Robert d'Esouteville à vider l'abcès:il fit sur-le-champ perquisitionner dans plusieurs maison où l'on savait que des écoliers particulièrement remuants avaient leurs habitudes:ainsi à l'image Saint-Nicolas et à l'hôtel de Coquerel.
Les gens du prévôt n'y allaient pas de main morte.Ils enlevèrent à l'Image Saint-Nicolas une jeune femme fàcheusement trouvée <en armes>; elle hachait des légumes pour la purée.Un garçonnet criait :on l'emmena comme facieux.
Pendant qu'ils y était,les sergents pillèrent les maisons visitées.Draps de lit,houppelandes fourrées,vraisselle d'étain,tout était bon.Bresquier perdit en l'affaire ses livres de grammaire.
Les amateurs profitèrent de l'occasion pour boire gratis dans les celliers.A cette date,le vin nouveau était rentré.
Les sergents laissèrent le quartier de l'Université terrorisé,mais les maîtres n'allaient pas tarder à se ressaisir.on fit une enquète.Le 9 mai,en assemblée génèrale,on organisa la réplique: le prévôt de paris avait bafoué les privilèges de l'Univèrsité.A l'appui de cette accusation.une députation fut envoyée au prévôt,qui était alors en son hôtel de la rue de jouy,en amont de la place de Grève.Robert d'Estouteville n'était pas un sot.Il écouta tout au long une harangue du maître théologien Jean hue,harangue dont la conclusion était que arrestation d'innocent constituait un abut de pouvoir.Puis voyant qu'il ne s'en tirerait pas autrement,il fit élargir les écoliers.
Lesesprits était excités.Les écolier qui avaient accompagné la délègation et attendaient vers la grande-rue Saint-Antoine firent un triomphe à leur camarades libérés.Au même moment,survint malencontreusement une troupe de sergents qui gagnait l'hôtel du prévôt.Elle se fit conspuer.Les segents firent mine de poursuivre leur route,attendirent d'avoir croisé.Les écolierset,une fois dégagé,chargèrent à revers.Les écolier avaient voulu manifester leurs intentions pacifiques en venant sans armes.Mal leurs en avait pris.Ils décampérent.
Des bourgeois compartissants ouvrirent leur porte et cachérent quelques jeune gens.Exaspèrés par de mauvais souvnirs des temps troublés,d'autre bourgeois accueillirent les fugitifs à coups de pelle ou de gourdin.
L'affaire fit un mort:un jeune juriste,qui était fort bien noté et que nul n'avait jamais vu en mauvaise fréquentation.Sans doute avai-il pensé que son sérieux le protégerait des coups...Il y eu aussi de nombreux blèssés,qui se firent panser chez les barbiers du voisinage et rentrérent chez eux avec discrètion.
Le recteur lui-même avait été menacé par un quidam qui prétendait le mener de force chez le prévôt.<j'en viens>,répondit le recteur,qui s'en tira.
Comme il y avait un mort,l'Université se mit en gréve et porta plainte pour meurtre.Robert d'Estouteville fit savoir qu'il était malade.Le recteur obtint cependant qu'on lui fit un procés.Le lieutenant criminel Jean Bezon fut destitué.L'homme qui avait menacé le recteur eut le poing années à demander pardon aux maître et aux écoliers.
François Villon avait certainement pris sa part de quelques-uns de grandes moments de la geste universitaire. IL eût étè le seul à se tenir éloigné bien près de Saint-Benoît-le-Bétourné.Plus tad,faisant place en son Testament à son bon maître Guillaume de Villon,Il lui léguera un Romant du Pet au Diable Dont nous ne savons rien et qu'il n'a peut-être jamais écrit.
La nomination.
Ce legs ne signifie pas grand-chose.Celui,non moins ironique,que fait Villon de ses espérances ecclésiastiques laisse en revanche devener que le pôète n'a pas tourné délibèrement le dos à la carri"re des bénéfices et qu'il a tenté d'autres voies vers la notorité que la mise en vers d'une face un peu prolongée,Villon a mis bien des années à n'être plus qu'un ancien écolier.Lorsqu'il accède à la maitrise en 1452,nombre d'espoirs lui sont encore permis.
il est cependant plus aisé de se faire porter sur les listes d'ayants droit que d'optenir effectivement une prédende,un cnicat,une chapellenie que clercs s'excitent à propos de la <collation> des bénèfices.Jusqu'au temps des grands conciles du XV siècle,on a connu l'affrontement des droits anciens des collateurs<ordinaires> évêques ou seigneurs partons-et des droit peu à peu usurpés par une papauté en mal de revenus fiscaux.On a vu s'écriger en un nouveau groupe de pression un corps universitaire condamné par sa croissance à pourchasser les débouchés.Le roi,enfin,s'est mêlé de l'affaire,tent pour amoindrir le rôle joié dans le royaume par le pape que pour mettre la main sur un incomparable moyen de rémunèration des service et des fidélités.Êvêchés et archidiaconnés paient les présidents,les conseillers,les clients de tout rang,Nombre de serviteurs du roi semblent se contenter de maigres gages et de quelques < robes>annuelles,alors qu'ils perçoivent en réalité,par la grâce du roi,les confortables revenus d'un temporel de chanoine ou de curé.
Maître françois en était encore à préparer sa déterminance lorsqu'en mai 1438 l'assemblée du clergé français réunie à bourges se voyait confier par Charles VII le soin d'examiner les décisions prises à cet égard par le concile de Bâle,un concile où s'entendait fort haut la voix des universitaires.le 7 juillet sous la forme osée d'une ordonnance royale:la pragmatiques Sanction.Le roi confirmait tout simplement,en les modifiant imperceptiblement,les < canons> du concile.En pratique,il les rendait applicables.Dans les principes.il déniait par là même au pape et au concile quelque autorité directe que ce fût dans le grouvernement des clercs.
mieux vaux se soigner que de ce gratés après les plais reviennes la voulez-vous la froté pour que l'axe de la plaix ravienne ès soion
introdution
Cette nouvelle étude sur aristote porte essentiellement sur la formation du concept de temps.En quoi consiste ce concept,quel en est la source,quelle en est la forme et quels en sont les éléments déterminants?Tout en maintenant l'analyse littèrale des texte et la redèfinition des thèmes principaux,nous avons ici tenté de comprendre la fonction du concept aristotèlicien de temps à l'intèrieu du projet métaphisique de l'ontologie tradictionnelle,celle de Parmènide et de platon,donc de lire le traité sur de lire le traité sur le temps en phisique IV à la lumière de certains livre de la Métaphisique sur l'unité de l'étant.Pour aborder de cette manière la question du tepms.Et selon l'hypothèse que nous essayerons d'avancer,ce rapport n'est pas une relation de participation,d'attribution ou d'analogie,comme pour une cathégorie de l'étant,mais il relève d'un processus complexe de prédétermination.
selon l'interprètation de hiedegger,que nous avons suivi jusqu' à un certaine point, le concept traditionnel de temps, sa nature ou son essence, aurait toujours déjà èté déterminé en fonction d'une pensée de l'être présent .qui le définit comme être présen.Depuis platon et Aristoe, en effet le temps se détermine par deux horizons du non-être :le passé,qui n'est plus, et le futur,qui n'est pas encore.Seul ce qui est présent peut se dire réellement existant Or une question se pose,et cette question relève de l'aporie du temps.En quoi consiste l'identité entre l'être exsistent et l'être présent?Et surtou comment Aristote a-t-il pudéterminer le fonctioment ontologie de tout étant en fonction de la seulebdimention temporelle du présent?Le maintenant présent du temps ne dure pas. il passe immédiatement d'un non-être à l'autre,du ne plus être au ne pas être encore.donc en quelque sorte,lui non plus existent.Mais alors en quoi consiste cette aporie temporelle,qui lie de façon constitutive l'être de l'étant au présent du temps?
selon notre hypothèse l'aporie du temps relève et à la fois rèlève l'ambiguïté de l'étant.Dans la Métaphysique,Aristote aura tenté d'élaborer,de manière radicale et déterminante pour tout la tradition ontologique,une théorie de l'étant considéré en tant qu'étant. A quelles conditions un étant,est peut-il se définir comme un étant?Apparemment, mais aussi traditionnellement,la question métaphysique,qui pose sur la constitution ontologique de l'étant,est séparée de la question métaphysique,qui poste sur la constitution ontologique de l'étant,est séparée de la question physique,quie porte,elle,sur les modalités déterminantes du temps.Pour la métaphysique,l'étant, doit s'interroger en tant qu'étant,dans son essence,sa quiddité et ses catégories.pour la physique,il doitse définire en terme de changement,de mouvement et donc de temps.or,en présupposant que l'essence de l'étant relève du présent du temps.La distinction entre ma métaphysique et la physique va devenir problématique .et c'est une telle problématique que nous aimerons élaborér.
Il y aurait deux manière principales d'aborder le concept aristotèlicien de temps. premièrement,comme l'on fait d'ailleur la plupart des commentateurs,fideles en cela à cette même tradition,on décrira ce concept en fonction de la définition physique du mouvement,donc en considèrant l'étant,non pas dans l'unité de son èssence,mais en tant qu'il est en tant de changement et de modification.deuxièment,et c'est la voie que nous avons suivie,en postulant. un double fonctionement conceptuel du temps.d'un côté, le temps constiturait <quelque chose du mouvement>c'est le nombre du mouvement,comme le dira Aristote.En ce sens,le temps occupra une place décisive à l'intèrieur de la physique.Mais,d'un autre côté,ce même concept physique déterminera quelque chose de l'étant,ou plus exactement quelque chose de l'essence quidditative de l'étant,quelque chose qui lui permet d'être pensé en tant qu'étant.En essayant de reconstituer dans quelle messure ce concept devrait permettreà l'étant d'être pencé en tant qu'étant,dans son essence,donc hore de tout écoulement temporel.Selon cette hypothèse,le concepte de temps,comme nombre du mouvement,déterminerait,paradoxalement,les conditions de possibilité d'une définition intemporelle de l' étant en tant qu'étant.le concept physique de temps aurait donc une fonction métaphysique:celle justement qui consiste à produire la prédètermination temporelle de l'étant.le concepte physique:celle justement qui consiste à produire la prédétermination temporelle de l'étant comme étant présent.Toute la question consisterait à avoir comment s'articule le fonctionement m' étaphysique du concept physiquede temps.Car Aristote,bien entendu,n'en parle pas directement.Nous tenterons de montrer que la manière avec laquelle Aristote analyse et construit son concept physique de temps, va produire un effacement du temps par le temps.Le fonctionnement métaphysique du concepte de temps opère par une forme d'auto-effacement,un processuse complexe,par lequel la structure temporelle du mouvement effacerait de tout étant sa propre temporalité,donc sa propre alitérité et sa dérivation en cathégories de l'étant.la prédétermination temporelle de l'étant reposerait de cet effacement que nous tenterons d'analyser dans cette étude.
Pour comprendre comme s'articule,chez Aristote;l'ambiguïté réciproque entre l'être et le temps,nous commencerons par problématiser le concept d'étant.De quelle manière s'élabore la constitution ontologique de l'étant,quelque est son unité et dans quelle mesure chaque étant peut-il rester,durant un temps indéfinie,un seule et même étant? Ce questionnement,Aristote,dans sa métaphysique (A,9),l'aura pensé en terme purement ontologique.selon quel principe,l'étant peut-il se dire un étant tout en acceptant une pluralité de signification?Ce principe déterminant pour l'unité de l'étant,Aristote l'abordera à partir d'une théorie du jugement prédicatif,qui critique à la fois l'exclusivisme ontologique de parménide et l'idéalism eidétique de platon.Ce principe,c'est l'ousia, ou plus exactement la quiddité de l'ousia.l'ousia se définira comme le principe unique en fonction duquel se détermine chacun des atributs de l'étante et la quidité de l'ousia représentera une forme d'auto-détermination par laquelle l'ousia est et reste immédiatement identique à elle-même.Sans affirmer naïvement que la quiddité de l'ousia se déploie dans le temps, au même titre que tout étant, nous tenterons de montrer que la forme interne de la quiddité est structurer par une opération temporelle tout à fait singulière.Nous commenencerons par souligner l'aporie.La quiddité de l'ousia dépend de deux chose.Pour assurer l'unité de l'étant,le rapport à soi de l'ousia,d'un coté,il doit rester encore et toujour immédiat entre les diffèrents maintenant spécifiquement du temps.Orla seule manière,disons ontologique,de résoudre l'aporie du temps ,ne faut t-il pas tenter de penser l'impensable et rendre possible l'impossible (coexistence des maintenant présent)?selon notre hypothèse,le tour de force d'Aristote,ou sa manière de résoudre l'aporie sans tomber dans la contraction du discoures fut de géomètriser le rapport quidditatif entre l'être et l'étant ou l'ousia et ses multiple acceptions-donc,en dernier lieu,de géomètriser le temps lui-même.
le problème est conplexe,car Aristote aura lui-même reproché à zénon,d'Elée d'avoir construit une géomètrie du temps.zénon définissait en effet la durée du temps comme une ligne et chaque maintenant comme autant de points qui en parcourt la longueur.Or, pour Aristote,le temps n'est pas géomètique,comme peut l'être une étendue,tissée de poits,de lignes et de surfaces.Néanmoins le temps est quelque chose de "géomètrisable",mais quelqueterme propre à la géomètrie ne saurait définir en tant que tel. le maintenant du temps ressemble au point,non pas au sens où le point constitue ou compose une ligne,mais en ceci qu'il en mesure la longeur.géomètriser le temps ne signifie donc pas ici en faire une substance, comme un point, une ligne ou une surface, mais c'est en fait quelque chose d'une substance, donc plutôt quelque chose du mouvement( naturel)d'une substance,donc une sorte d'attribut de l'ousia.La construction géomètrique du temps représenterait,toujours hypothèse,le développement physique par laquel le temps s'efface lui-même comme unité de l'étant.cette construction est très concept de grandeur quantitive(mais aussi par consèquent,de surface,de ligne et de point) Pour aborder la question des grandeurs,il faut commencer par reconstituer la théorie aristotéolicienne de la quantité qui se divise entre quantité discrète et quantité continue.nous avons alors essayé de montrer que l'unité du point se trouve à la lisière d'une quantité discrète et d'une quantité continue.Et ce, non pas en tant qu'il compose une ligne,mais en tant qu'il la divise en parties indéfiniment divisibles,et donc en tant qu'il en mesure la longeur.or,comment s'élabore cette division minimale,pour mesurer,donc pour déterminer,chaque unitéde grandeur? le point,unité de mesure.à la fois divise les parties d'une étendue et les mets en relation.La divisibilité interne à chaque étant,disons cette puissance divisible,représente non une structure formelle de l'étant,mais le processus élémentaire de toute détermination physique,de toute modification, de tout changement et donc de tout mouvement.chaque mouvement (le génétique,lequalitatif,le quantitatif ou le locatif) représenterait autant de manières pour l'étant de se diviser, et donc de se déterminer comme tel ou tel l'étant.chaque d'eux constituera le mode diffèrentiel selon lequel ce qui est (l'être de l'étant) est distancie et distingué de ce qu'il est ( un étant déterminé).et c'est de cette distinction que surgiera l'essentiel du problème.
Le temps est quelque chose du mouvement. il n'est ni le mouvement,ni un mouvement,mais le nobre du mouvement selon l'antèrieur et le postèrieur.l'ariculation interne du nombre devait permettre à Aristote de définir le concept de maintenant présent en tésent en terme de point,sans pour autant réduire ces notions l'une à l'autre.Le temps se défini comme un nombré et non comme un nombre non-brant. il n'est ce qui nombre le mouvement, mais ce qui s'y dénombre, s'y énumère.En lui-même, le temps n'est ni mobile ni numèrique.il ne fait que représenter ce qui s'énumère entre un avant et un après. A vrai dire, il fait plus encore.Car il constitue, sous la forme d'une simultanèitè tout à fait singulier,à la fois le passage entre un maintenant passé et un maintenant futur et le maintien au présent d'un maintenant toujours actuel.Et en ce sens, mais en ce sense seulement, son articulation ressenble au point.Non pas point mathématique, mais à celui que l'on pourait alors nommer dynamique.Comme nous le verrons, cette dynamique du point formerait déjà la circularité d'un cercle.En tant qu'il constitue à la fois le début et la fin de la ligne, le point représente déjà le cercle.Le point non pas en simples termes d'acte et de puisence de la ligne comme cercle. nous analyserons la circularité interne du point non pas en simples termes acte et de puissance, mais selon la logique rèversible du mouvement circulaire. il y aura déja dans le point, tel que l'entend Aristote,quelque chose de la réversibilité du cercle.En se déplaçant vers un autre point, d'une certaine manière tout point,tel serait déja retourné à lui-même.Le maintenant correspondrait à la structure réversible du point.Et l'on pourra dire, dés lors, que le tour est joué.de cette manière, mais de cette seule manière, les maintenant pourront coexister les uns avec les autres sans se confondre les uns avec les autre. chaque maintenant se définira comme unécart minimale, un passage ou un intervalle, qui se distancie entre un avant et un après tout en reliant un intèrvalle, qui se distancie entre un avant et un après tout en reliant ce passage dans un seule et même maintenants s'efface sous la forme continue d'un unique maintenant présent, comme le point dans la circularité du cercle.La géomètrie du point, de la ligne et du cercle aurait garanti les conditions métaphysique d'une pencée de l'être conçu en tant que tel.selon cette pensée, qui poursuivra son cours au moin jusqu'à Hegel c'est par lui-même, de par sa propre contitution, que le temps s'efface,s'élimine ou s'équise, pour assurer la présence continue et l'unité de l'étant.l'auto-effacement ce présent comme un être dépourvu de tous temps.
le rapport entre l'être et le temps.
chapitre &1
I.l'expositition critique du temps
& 1-La question du temps chez Aristote devrais donc impliquer la question de l'étant.La plupart des concepts qui concernent et définisent le temps.à savoi:''le maintenant'' ''la limite''le nonbre''la partie'' ou''le tout''avaient pour seule fonction de permettre à l'étant d'être pencé ou entendu en tant qu'étant et par et qu'étant et par conséquent pour seul but de réaliser une correspondance entre l'étant et l'unité qu'il repésent.La question que soulève une telle correspondence est très complexe.Aussi,avant d'en venir à ce point de l'analyse,précisons les termes sous lesquels (rolant furieux),. Aristote -(écrivient italien)-(1474-1533.) ouvrait son interprètation du temps.comme il devait le faire à propos de bien d'autre concept, signe de séparation qui suit, dans certains cas la rubrique consacrée à l'entrée et isole du développement de l'article,(concept)n.m,Idée génèrale;représentation abstraite d'un objet ou d'un ensemble d'objet ayant des caractères communs.-notion.Le concept de liberté.Aristote ouvra son traité sur le temps par l'énoncé d'une aporie.traduisons-le:<Il convient tout d'abord de poser l'aporie à son sujet,et de se demender par une argumentation exotérique, ou ésotérique adj,1.(connaissance...)Qui se transmet seulement à des adeptes qualifiés.-occulte.2.Incompréhensible pour qui ne fait pas partie des initiés.1 personne qui a étè initée.1(1)-2Personne qui est dans le secret (d'un art...)s'il est parmi les étants ou les non-étants,signe de subdivionqui introduit les nuances déterminées par contexte,les emplois ou expressions à l'intèrieur d'un même sens ou d'une même valeur.étant donné loc, préposition;prépositif étant donné que locution conjuonction;conjonctif,puisque.Deux question sont alors posées.La première porte sur l'articulation exotérique de l'aporie du temps (son existence ou sa son-exisence).et la seconde sur l'explication de l'essence ou de la nature du temps.ces deux question,cependans, n'auront pas étè équitablement discutées par Aristote; trois paragraphes seront consacrés à la première et le reste du livre à la seconde. il est très probanle que ce partage soit dû,pour l'essentiel, au caractère exotérique de leur énonciation.Aristote, sans jamais l'affirmer, le confirmera dans la plupart de ses textes postèrieurs.Et comme on a pud'ailleurs très tôt le constatater,les discours ou les énoncés exotériques avaient trait,dans bien des cas, aux discussions extèrieures à l'ecole péripatéticienne°.Ils circulaient dans les milieux philosophiques et publics sans faire forcément l'objet d'un examen approfondi ².Il s'agirait en somme d'un ensemble de problèmes courants propres aux philosophes antérieures,dont il suffirait, avant toute épreuves aux critique, d'exposer clairement les points ou les arguments essentiels.Cest ce que fit précisément Aristoye.Après avoir développé, sous forme d'hypothèses,l'argumentation exotérique de son analyse, il abandonnera l'aporie pour en venir aussitôt à la nature et à la fin du traité, et même, à quelques exeptions près, jusqu'au terme du III livre de sa physique,Aristote n'aura certes jamais repris l'aporètique de l'être et du non-être³,mais il aura cependant fait entandre, dès le dèbut de son 1premiér livre, que cette question ne portait pas exclusivement sur la science ou à une science commune à toutes les autres.que cette science s'appelle métaphysique,ontologie ou encore dialectrique, l'quoi qu'il en soit, il nous faut dès maintenant tenter d'en discerner l'enjeu au coeur de l'énoncé aporétique du temps
& 2-L'aporétique procède de deux hypothéses ou deux propositions affirmatives, dont la première porte directement sur le mode d'existence du temps.selon les propres temes d'Aristote, ce qui compose le temps laise supposer< soit qu'il n'exist absolument pas,soit qu'il n'exist à peine et de manière obscure>.En effet<d'un côté il a étè et n'est plus, et d'un autrecôté il va être et n'est pas encore,donc si les éléments ou partie qui composent le temps semble ne pas être (ne plus être et ne pas être encore),le temps lui-même(alors)composé de non-êtant ne pourra en aucune cas participer à la substance> cependant-et nous verrons par là se former l'aporie-<de toute chose divisible en parties et pries en tant que telle,lorsque'elle existe,les parties, toutes ou quelques unes,devront nécessairements du temps exister > Or,conculuera Aristote,écrivien.bien que le temps soit (divisible)en parties,les parties qui le composent le passé et futur) ne sont pas .Car pour qu'elles soient,il aurait fallu qu'elles soient puissent être,comme parties maintenants au présent-et partant qu'elles soient elles-même ex-sister des maintenants du temps.Et comme Aristote l'aura souvent rèpèté,le maintenant du temps n'est pas une partie il ne contribue pas à composer le temps, mais à déterminer les partie qui le composent. Ce qu'il nous faut ici relever d'essentiel,c'est que la réfèrence(le maintenant),à partir de lequelle le temps semblait se définir,d'une part,entre un"ne plus être"et un "ne pas être encore",et,d'autre part, comme"un étant divisible en partie"ne semble pas apparentenir(ou avoir part) au temps proprement dit,et donc ne semble pas être en lui même temporel quatrième sense Par consèquent,la seule chose qui aurait pu permettre d'affirmer l'existence du temps,fût-ce de façon obscure et très faiblement, deva nécessairement trouver son essence et sa subsistence hors du devenir et de tout forme temporelle.toutefois, reprendra Aristote en rappelant l'aporie,le maintenant<devait être auparavant>.C'est donc en tant que maintenant présent qu'il ne peut faire partie du temps, car auparavant, en un point du passé encore indéfini le maintenant devrait appartenir au devenir temporel du telmps.tel semble être le renversement de cette nouvelle hypothèse, qui allait rendre d'autant plus imposible la participation du temps à l'ousia.Examinons sans plus tarder son argumenttation. la seconde hypothèse d'Aristote s'articule autour d'une question dècisive:<le maintenant qui semble détèrminer le passer et le future, est-ce qu'il subsiste toujours un et identique,ou est-il toujours autre.ni l'un ni l'autre répondra Aristote.Supposon tout d'abord que maintenant soient toujour diffèrents.Puisqu'il semble évident<qu'aucune partie de ce qui est dans le temps ne peut être simultanée à une autre partie>,et<que ce qui n'est pas maintenant,mais a étè auparavant,doit forcément avoir étè déduit à ce moment.l'on peut alors déduit que <les maintenants ne pourront pas co-exister les uns avec les autre et que le (maintenant) antèrieur sera nécessairement toujours détruit en lui-même-puisqu'il était auparavant-ni être déduit dans un autre, cas dans ce cas il aurait fallu que les maintenant soient contigus implique une mise en contact des éléments consécuitifs qui les constituent, six lettre,et que deux maintenant,nous l'avons vu,ne peuvent en aucun cas coexister.par voie de l'avions vu,ne conséquence,si le maintenant<n'est pas détruit dans le (maintenant) immédiatement consécutif,mais dans un autre,il serait alors en même temps dans les maintenants intermédiares qui sont en nombre infini >;ce qui,à nouveau , est imposible. les maintenant, donc, ne pas toujours diffèrents,pour la seule et unique raison qu'ils ne peuvent pas coexister les uns avec les autres. pour la même raison, le maintenant ne pourra jamais subsister un et identique à lui-même.tout d'abord, aucune chose divisible limitée n'a qu'une seule limite. Car toute chose continue et délimitée implique pour chacune de ses extrèmité une limite diffèrente selon l'espace et le temps sitième temps < Or le maintenant est une limite, et l'on peut considèrer le temps comme limité >Car si < être en même temps selon le temps, et être (donc) ni antèrieurs et les chose postèrieurs sont dans ce maintenant-ci, ce qui se serait passé il y a dix milles ans serait (alors) simultané à ce qui se passe aujourd'hui, et plus rien ne serais postérieur ni antérieur à rien >.
& II.La critique du géomètrisme
& 1- Cette réflexion sur le temps, passant d'une aporie à l'autre pour devenir enfin de moins exotérique, appelait quelques éclaircissements de situation.Les considèrations sur le point, sur la continuité des éléments d'une grandeur ou encore sur rapport que la partie entretien à son tout- mais aussi les analyses du schéma temporel de l'antério-postèrieur , que l'on retrouve brièvement exposés dans ce long passage cité- devaient résonner , d'un bout à l'autre de la physique d'Aristote, comme autent de critique portée à l'exprit de géomètrie des écoles antèrieurs,fusent-elles venues de Samos, de Clazomènnes ou l'élee huitièle lettre de temps aux arguments de Zénon.Selon ses propres termes,Zénon-à partir des conceptions pythagoriciennes neufième lettre de temps.traitait la ligne, le mouvement et le temps comme un tout composé d'unités insécables.Ce qui supposait que < le temps est composé de maintenants >Or, le temps ne peut pas se composer de maintenant indivisibles et c'est bien là que semblait s'affirmer l'embarras ou l'aporie qu'il suscite. Si nous devons alors caractèriser cette aporie avant même de la situer dans le contexte du traité sur le temps , nous dirons que cette aporie est à la fois banale et particumièrement retose.banale, parcequ'elle implique comme tout aporie une contradiction dans les termes , et particulièrement restose, car elle dissimule,sous les traits mêmes de cette contradiction , la prédisposion d'un des éléments de l'opposion à pouvoir se penser et se poser comme un terme ayant déjà étè déterminé par son élément corrélatif. derrida,lisant Aristote par le truchement de heidegger,dira à ce sujet: < en répétant la question de l'être dans l'horizon transcendantal du temps , sein und zeit porterait au jour cette omission par laquelle la métaphysique a cru pouvoir penser le temps à partir d'un étant déjà silencieusement prédèterminé dans son rapport au temps> diessième lettre du temps.
& 2-heidegger reprochait à bergson et bergson à Aristote,ce qu'Aristote lui-même critiquait de zéon,à savoir de confondre d'une certaine manière l'espace et le temps onsième lettre de temps Zéon,en effet,considèrait le temps comme une ligne et définissait les maintenants comme autant de points constituant sa longeur.En deux mots ,il construissait une géomètrique du temps dousième lettre de temps l'on sait combien la science géomètrique était importante pour Aristote.Sa phisique autant que son traité du ciel se nourrissent de ses plus fines analyses. Mais cette sience,comme toute épistémè mathématique,est le produit d'une abstraction et bien qu'elle soit hors ou séparée de la manière substantielle qui constitue son objet,elle n'en reste pas moins tributaire par essence<La géomètrie étudie la ligne physique,mais pas en tant que physique.Elle ne traitera pas de la ligne dans sa qualité substantielle-dans "la chair et dans l'os"-mais elle l'étudiera dans la qualité mesurable,et dans le nombre repérable des divisions continues de sa longeur.Or, de tels attributs mathématiques:la qualité,la mesure,le nombre de la division,le continu et la longeur aux queles il faudrait ajouter la grandeur la dimenstion la distence et d'autre notions que nous aborderons plus bas,semblent le dire explicitement,le confirmera par son analyse des parties et du tout,du contenant et du contenant et par l'argument déjà mentionné de l'impossibilité pour deux éléments du temps.certes,un point peut se déterminer simultanément à d'autres point,mais pour les maintenants cest mathématiquement imposible.
de même qu'il ne saurait y avoir de géomètrie du temps, de même il n'y aura pas d'"héliomèrtie"du temps.pour ploton comme pour hegel,le temps mesurera la rotation systèmatique du soleil:le temps est le mouvement du soleil la mesurera la rotation systématique du soleil:< le temps est le mouvement du soleil la mesurera de sa rotation>.il mesurera par conséquent le mouvement du tout et de la sphére,que les ancien appelaient<les uns [platon]affirment en effet que c'est le mouvement du tout qui est le temps,d'autre [sans doute les pythagoriciens]que c'est la sphére elle même>.Mais il n'est point nécessaire.Poursuivra Aristote, d'examiner des propos si "naïfs".Ces penseurs se sont trompés, car tous ont conçu le temps comme s'il était un cercle et non en cercle <ce n'est pas la même chose que être transporté en cercle, et de l'être sur un cercle.le cercle-sur lequel le soleil devrait effectuer son parcours -est une ligne,dont les deux extrèmités se rejoignent,d'être simultanément disposées d'un extremum à l'autre de sa longueur.Ce qui rappelons-le,est imposible pour tout élément temporel.La mise en cercle ,par contre ,ne concerne pas ligne du cercle,mais absolument continue dans un cas comme dans l'autre,le mouvement qui en parcourt la distance respective devra nécessairement,à un moment donné,s'arrêter trèsième lettre de temps.Seule la translation circulair,la mise en forme circulair ou encor la mise en cercle,purra se défini comme une continuité absolue,il s'agira donc pour Aristote d'effectuer ce tour de force, qui consistait à recherche dans un univers géomètriquement déterminé- celui de Pyhagore et de zénon- dans un univères exclusivement tissé de point, de lignes et de surfaces, et schématisé de figures indéfiniment mesurables parce qu'infiniment divisibles,une forme radicalement étrangére à la géométrie.C'est pourquoi le temps devrait lui apparître si obscure.Comment, en effet appréhender un temps que l'on sait, par voie d'attribution, divisible,mesurable,quantifiable, capable d'être allongé ou diminué,sans pouvoir le réduire,et donc le définir, en terme de géomètrie? Tous les attributs du temps semblent appartenir à la géomètrie, mais le temps en lui-même et par essence,N'est pas géomètrique.Et ce,du simple fait le passage propre au temps,son mouvement, aurement dit l'enchaînement successif de ses maintenemts,n'est en rien temporel.L'on peut donc dire par suit que le temps n'est pas géomètrisable dans son essence pour la seule et unique raison que son essence-l'enchaînement des maintenants-n'est pas temporel.-D'aporie,de voie de conséquence à voie de consèquence, et plus on en venait à situer,à éclairer et à délimiter le champ des et du maintenant,nous semblait évitente.Or, tout porte à croire que cette évidence est un leurre, et quel'aporie du temps ne porte pas sur la contradiction de termes qu'elle engage au sujet de son essence, mais sur la prédédétèmination d'un de ces termes par rapport à l'autre, qu'elle dissimule sous la forme d'une proposition contradictoire.Quel de cette forme,et quel en sont les énoncés majeur?Situés dansla critique du géomètrique,nous les schématiserons comme suit: -le temps est temporel (comme le mouvement est mobile ou le sel est salé). -tout ce qui est tenporel-et parlant tout ce qui peut faire l'objet d'un attribut du temps:la quantieté, le continu la divison, la grandeur, ect.-est un concept géomètrique. Or le temps n'est pas géomètrique.-donc le temps n'est pas temporel.L'aporie est flagrante.Certe,mais l'aporie n'est pas là.Elle s'affirme et se confirme entre ces énoncées contradictoires,tout en garant,ou en voilant,que l'enjeu de sa contrainte s'effectuait ailleurs.L'aporétique n'est pas une contradictoire.leur diffèrence est radicale et leur rapport équivoque.Cette proposition contadictoire implique,comme il en est de règle,que deux attributs opposés-soit ici le temporel et l'intemporel et l'intemporel-ne peuvent pas apparentir à un seul et même sujet qui,dans ce cas, serait le temps lui-même.L'aporètique par contre,ne porte pas son embarras sur les lien logiques,ces lien d'identité ou decontrariété qu'un sujet peut entretenir envers ses divers prédicats Elle porte au contraire sur la prédétermination du sujet par un de ses attributs.Elle en reste, pourrait-on dire par privilège,à la troisième personne du singulier du verbe être.quinsième lettre de temps. Afin d'éclarer l'application effective de cette aporétique,rappelons et schématisons l'énoncé de la première hypothèse,qui ouvrait l'étude aristolicienne du temps -le temps"est,parce que ses parties (passées et futures)"ne sont pas" siesième lettre de temps Toute l'ambiguité de cette aporie porte sur ce que peut bien vouloir dire,dans ces deux énoncés,le sens de la troisième personne du singulier(ou du pluriel) du verbe être.Le premier"est" semble indiquer la simple existence d'un étant,le second semble exprimer le mode temporel du présent et enfin le pluriel"sont" semble désigner les maintenant.Ce qui nous donnerait alord la proposition suivante:le temps est pas "présent",parce que ses partie:cependant il n'est pas "maintenant"Et Aristote aussitôt de conclure:donc le temps n'est pas parmi les étants et par conséquent il ne saurait participer à la substance ou à la subsistance des étants .donc le temps n'est pas parmi les étant,et par conséquanquence il ne saurait participer à la substence ou à la subsistance des étants C'est ainsi que s'articulait l'aporètique du temps.
III.&1. La prédétermination temporelle de l'étant.
1.chaque fois qu'Aristote tentait de définire l'être du temps,il présupposait à sa définiion l'attribut temporel d'un étant-le présent présupposait à sa définition l'attribu temporel d'un étant-présent ou maintenant.donc du simple fait que la présupposition de l'étant le présuppose comme un"être présent",le temps ne peut être ni un étant ni un maintenant présent.En somme,comme l'écrit Derrida <on a déja,sans le découvrir opèré dans l'horizon de sens du temps pour penser le non-présent et l'étant comme présent.On a temporellement déterminé l'étant comme étant présent,pour pouvoir déterminer le temps comme non-présent et non-étant >disiètième lettre de temps.Parmi les deux hypothèses avancées par Aristote au début de son traité sur le temps,seule la première (celle relative à l'existence du temps) est une véritable hypotèse. dise-huième lettre du temps.La seconde (relative à la subsistance du maintenant),par contre,et sous l'aspect d'une proposision contradictoire,n'en sera que la pure et simple déducation.Elle déduira de l'aporie en interprètant l'embarras qu'elle suscite comme unecontradition à résoudre,et pour finir en conséquence,elle voilera que l'aporie du temps devrait inévitablement porter sur le sense ambigu du verbe être.Mais en somme qu'est-ce qu'une aporie?Ne voit-on pas sous ce terme l'issue,le passage,la marche ou encore le dévelloppement du discours et de l'argumenttation se confronter à sa propre démarche?Pour Aristote néamoins l'aporie est nécessaire.Elle permet d'ouvrire un débat et d'exposer les dificultés d'un problème,mais elle implique par dessus et avant tout la découvèrte de la solution du problème.O.Hamelin définira l'aporie comme < la mise en présence de deux opinions contraires et également raisonnés, en réponse à une même question > dixe neuf lettre du temps.La Question de l'existence du temps est présentée pas Aristote comme une aporie, comme un arrêt de la pencée vingtième lettre de temps ou encore comme une interruption qui empêche l'exprit d'aller de l'avant.vingte-un.Nous essayerons,quant à nous,de ne pas développer les solutions du problème,ni même d'entamer le dénouement de sa contradiction.Au demeurant,nous tâcherons d'appuyer et d'aggraver l'embarras,de lui donner un pionds si conséquent que seule une théorie du temps (celle qui devait répondre à sa nature ou a son essence) pourrait venir en porter,en assumer et en assurer l'équilibre. charge à nous, dès lors,de tenir la pencée du discours à son niveau de heurt,et d'en rester,aussi longtems que possible,à son étant d'interruption.Pour ce faire,il nous faudra aborder la question du temps en maintenant notre interrogation sur le sens ambigu de l'étant.
&2.-L'ambiguïté de l'étant,causant malheur aux phylosophes d'Élée et de bonneur aux Sophistes, devait alors se manifester chez d'Aristote par ce fait troublant,que l'on ne peut pencer l'étant comme tel sans l'avoir préconçu et prédéterminé temporellement Or,cette prédétermination n'est pas thématisée par Aristote,mais déplacée sous la forme contradictoiredu même et de l'autre,qu'il attibuait au maintenant.Et c'est pourquoi,justement,l'analyse qu'il devrait entreprendre au sujet de la natur du temps ne pouvait consister qu'a résoudre la propre contradiction du maintenant.Cette contradiction rreprésente un fait de structure propre à la temporalité du temps.Tous maintenant doit être dans le temps.mais aucun ne peut y subsister ni sous d'une unité ou d'identité,ni sous forme d'altérité.Autrement dit,le maintenant doit toujour être dans le temps sans jamais pouvoire y être temps qu'un second maintenant.Et la résonlustion d'une telle aporie devait justement permettre à l'étant d'être pencé en tant qu'étant.Elle devrait donc assurer une correspondance entre l'étant et unité qu'il représent.Cette résolustion implique un double horizon d'analyse.D'une part,chaque maintenant devrait s'articuler de manière à voiler,àcacher ou encore à évincer la prédétermination de l'étant comme étant-présent. ou de la substance comme présent.D'autre part,chaqun d'eux devait, dans ce même mouvement, garder et maintenir cette prédètermination comme une identité numèrique indivisible.Or,à cette double fonction répondait une seule opèration,que nous définirons par le travail d'un certain retou.Nous thématiserons,sous le terme de retour,une sorte de force,ou plutôt un forçage qui devrait en quelque sorte rendre possible l'impossible coexistence des maintenants vingt-deuxsième lettre de tempsL'opération de ce retour aurait donc le pouvoir de réaliser la (double) fonction du maintenant,à savoir de dissimuler la prédétermination temporelle de l'étant sous l'identité numèrique qu'il devrait constamment présent.En effet le maintenant,devrait,d'une certaine manière coexister avec un autre maintenant,mais un autre identique à lui-même il devrait retourner à lui même de telle manière que la prédétermination temporelle de l'étant constitu elle-même l'identité de l'étant dans le déroulement continue du temps.
chapitre II
L'unité de l'étant ( l'analytique)
I.La critique de Parménide
&1.-La question de l'étant paraissait ambiguë aux yeux d'Aritote.chauqe fois qu'il essayait d'en faire l'analyse, il revennait,tantôt directement,tantôt allusivement,aux sources de son interrogation-comme l'étant peut-il être,reste et se représenter comme un (étant)?Dans la Métaphysique,Aristote se demandait en effet quel est le prinsipe ou la cause,qui permet à l'étant de se dire un étant c'est-à-dire un seul et un même étant,tout en ayant la faculté d'accepter plusieur signifiçations.vingt troisième lettre de temps.Cette donc au coeur d'une analytique de l'étant,que prendrait plac le concept de prédétermination temporelle. Aussi,pour en comprendre le fonctionnement,il faut avant toute chose situer la structure aporétique du temps à l'intèrieur de la constituion ontologique de l'étant.
&2-Parmi les nombreuses critique qu'Aristote adressa aux penceurs qui l'on devançés, l'une d'elles sera particulièrement radicale.Elle concerne les philosophtes d'Élée,et tout particulièrement l'exclusivisme de l'étant propre à Parmènide et à Mélissos. (Paradigme) les texte que nous pourrons citer sont nombreux vingt-cinqième lettre du temps,ils occupent une place importente dans l'oevre d'Aristote, et ont étè à tout moment l'objet d'une même préoccupation: celle de savoir comment un seule et même étant pouvait se concilier avec la multiplicité de ses déterminations.Ce questionnement revenait en somme à définir les différentes significations que le terme"étant" ou la copule "est"devait accepter sans la moindre contradiction.
Aristoten'aura pas étè le premier à s'être demandé comment un seul et même étant peut accepter à la fois plusieurs déterminations ou un seul sujet recevoir des prédicats diffèrents.Platon,dans le Sophiste, soulevait le problème: il serait naïf de tenir pour impossible < que le multiple soit un et que l'un soit multiple > Dans ce dialogue,l'Etranger s'adressant àThéètète lui disait: < Qand nous parlons d'un homme,nous lui donnerons de multiple dénominations;nous lui attributions des couleurs,formes,une taille,des vices,nous disons de lui non seulement qu'il est homme,mais qu'il est bon et qu'il a d'autre qualités sans nombre.il en va de même pour tous les autres objets: nous posons chaqun d'eux comme un,que nous désignons par une foule de noms. L'on aurait certes pu voir dans ce texte l'inauguration de la théorie du jugement ou de la prédication vingt-cetième lette de temps.Sans entrer dans un débat historique,notons que platon tentait lui-même,dans ce dialogue,de réfuter les spéculations de parménide sur l'être et le non-être, Platon et Aristote n'on pas élaboré les mêmes discours critiques envers les thèses de parménide.Néanmoins chaque d'eux aura cru pertiment de résoudre ou de dissoudre l'exclusivisme de l'"étant comme tel",ou de l'"étant lui-même ,dans un discours sur les multiples dénominations ou acceptions,que pouvait recevoir un seul et même étant vingt-huitième lettre de temps.L'on peut lire,parmie les quelques fragments qui reste de parménide,l'énoncé suivant:< l'être est et il n'est pas possible qu'il ne soit pas.cette proposition deviendra une loi-voire loi-onthologique de tout être et tout étant.Elle devrait décider et trancher pour tout étant s'il est ou s'il n'est pas, par la (seule)riguer d'une contradiction entre l'être et le néant.Dés lors,pour penser l'étant en tant qu'étant,il fallait inévitablement poser la question du jugement et de l'attribution prédicative < de quel droit en effet,écrit L.Robin,le sujet exisant recevra-t-il un attribu qui n'est pas le sujet lui-même,ou quelque chose du sujet qu'on puisse tirer par analyse? Il n'y a que l'être qui convienne,comme attibut,à l'être comme sujet >vingt-neufième lettre de temps. Et c'est ainsi que furent posées les prémisses(rigoureuses)d'une pencée analystique de l'étant.En éviter les conséquences tautologiques,tout en assurant les liens logiques de l'attribution,tel sera l'enjeu commun des critiques de platon et d'Aristote.
&.3-La théorie des multiples dénominations devait en effet permettre à Platon de biriser la rigeur exclusive du partage ontologique de Parménide.Or, sans en faire une profonde analyse,l'on peut constater que les arguments des énoncés prédicatife de la copule.il s'agiesait pluôt de fonder un mélenge une sorte de participation des genres suprêmes les uns avec les autres Platon espérait par la,.trenteième lettre de temps.donner à une chose,qui participe à la qualité d'une autre,une dénomination autre que la sienne et donc légitime par l'usage des noms la communion des genres diffèrents.il s'agira en effet <de diviser par genre et de même forme pour une autre,ou une autre pour la même >.
Faisant ainsi passer,subtilement et discrètement, la question ontologique de l'être et du non être à cette question proprement dialectique du même et de l'autre trente-un lettre du temps.,Platon aura permis de penser l'impensable,le néant absolu-non pas le,mais le -sous la forme d'autre,d'un autre même d'un double.Et qui plus est, de cet autre.En effet < nous constatons induditablement, dit l'étranger, que tout ce qui est autre n'est ce qu'il est que par son rapport nécessaire à autre chose> Certes,les quelque remarques que nous portons sur ce dialogue, passant du non-être à l'autre,de l'autre à l'altèrité du même et de cette altèrité à l'argument des relatifs, sont un peu précipitèes. Elles nous aurons néamoins permis de soulever un problème et de saisir un enjeu qui ne cessera, de platon à hegel,d'interroger les limites légitimes capables d'assurer l'unité absolue de l'étant. Penser le non-être sous la forme d'une autre chose,un autre étant par rapport auquel quelque chose peut se dire le même que lui-même,c'est en effet poser les première germes d'une spéculation dialectique que l'on pourrait déja nommer hégélienne trente deuxsième lettre du tempsQuoique'il en soit,de réconcilier-de ré-identifier-,l"'unité"de l'étant dans la "multiplicité" de ses dénominations par une mise en relation fondamentale de divers éléments à un terme premier.
II.La théorie aristotèlicienne du jugement prédicatif.ètes étendue ces esprit rougeÄde des aux yeux blanc rougÂde qu'un sieule sur le mondes a deux...!!!
&1. A cet égard la position d'aristote est décisive.il refusera de comparer l'altérité du non-être au non-être relatif de platon,en affirmant que la fonction logique de la relation ne représente < ni le contraire ni la négation de l'étant, La mais une de ses natures,tout comme l'essence ou la qualité La relation est en effet une cathégorie de l'étant elle aura pour fonction -tout comme chaqune une cathégorie de l'étant-de déterminer un de ses sens ainsi,chaque fois qu'un sujet ne peut pas s'affirmer et exprimer sa substence,il ne se réduira pas pour autant au non-être,mais il pourra encore s'énoncer,sans autre distinction,comme qualité de l'étant au sein de temps ou relation trente troisième lettre du temps.dès lors,pour l'unité de l'étant au sein de ses multiples acceptions.il ne s'agira plus d'introduire,par voie de relation,le non-étant dans l'étant (comme le fait platon),mais de discerner au coeure même de l'étant ses diffèrents modes de signification, trente quatreième lettre du temps, certes,l'argument des relatifs (le déploiment de l'altérité du même) permi à platon de franchir la rigoureuse antinomie de parmènide, et donc de réconcilier l'étant au non-étant.cet argument néanmoins n'était pas suffisant pour expliquer comment un seul et même sujet pourait se dire le même que lui-même tout en acceptant des prédicats diffèrents.Car reconnaître que chaque gent peut s'accaplble de se lier,de se mélanger ou de partiesiper à pluseurs prédicats de nature distincte,mais ce n'est pas encore rendre compte des différentes articulations qui permettaient à l'étant-ou à la copule "est"de reste,dans chacune de ses déterminations un seule et même étant trente cinquième lettre du temps une des inaugurations les plus radicales qu'Aristote ait laissée à la postèrité serait précisément d'avoir conçu le verbe être ou plus exactement.la troisième personne du singulier du verbe être, comme le trait d'une certaine identité entre le sujet et le prédicat,Tant que l'on n'aura peut s'affirmer identique à diffèrents prédicats,on ne pourra prédiquer tomber dans l'exclusivisme des philosophes d'Élée ou de Mégare. C'est ainsi qu'en refusant l'antinomie parménidienne autant que le relativisme platonicienn,Aristote decrait inaugurer la théorie des différentes identité prédicatives.
&.2.-Supposon qu'une seule chose,tel homme par exmple, puisse en même temps se désigner par son essence ou sa substance"animal-bipède".et par un nom qui n'exprime pas son essence ou plus exactement par un nom qui exprime sa non-essence,comme le terme"blanc"Comme alors explique que le même homme (réel)puisse, être en même temps désigne par son essence et par sa non-essence.sans pour autant impliquer une contraction? <Rien empêche en effet que le même être soit et homme et banc,et d'innombrables autres chose > Car, dans chacun de ses cas, la copule"est" devrait exprimer un sense diffèrent trente six lettre du temps; lorsque le sujet"homme"se dit (prédicativement)"animal-bipède" il l'est par essence et lorsque ce même sujet se dit "blanc",il l'est par accident.
Cette distinction quel'on pourait nommer ontologique,entre "par essence"ou "par soi"et"par accident"devrait permettre à Aristote à la fois de repenser le non-étant et de redéfinir l'unité de l'étant.En effet < l'accident est ainsi manifestement quelque chose de voisin du non-être et cela pour deux raison majeurs.Tout d'abord,parceque chaque accident n'a qu'une existence nominale et ensuite,parce que chacun d'eux pourrait ne plus appartenir au sujet auquel il se réfère ,Or de ce voisinage,Aristote se gardera de déduire une ressemblance trop spécifique.il aura certes accordé à platon l'existence d'un certain non-être,qu'il aura lui-même comparé à l'accident d'une proposition,mais pour ce fair ,il falait au préalable privilègier,dans l'acte même de signifier,un prédicat plutôt qu'un autre.il ne fallait donc accorder aucun crédit à la philosophie de l'accident,pour laquelle tout accident peut devenir à l'infini-comme chez les Sophistes trent sept lettre du temps un accident d'accident .En effet si l'on ne peut pas privilègier dans la signification du terme"homme",le prédicat"animal-bipède"par rapport au prédicat"blanc"ou"musicien",tout deviendra accident sans jamais pouvoir se rapporter à la purement aléatoire et donc,enfin,voisin,du non-être.Le risque d'une telle spéculation (sophisitique) serait en effet de perdre à jamais l'unité de l'étant.C'est pourquoi,avant d'affirmer <qu'une collection d'attributs ne fait pas une unité >Aristote préciait qu'<un accident d'accident que si l'un et l'autre sont accident d'un même sujet:je dis par exemple que le blanc est musicien et que le musicien est blanc,seulement parce que tout les deux sont des accidents de l'homme > et donc parce que < tout accident est (nécessairement) prédicat d'un sujet>
Or, si Aristote insiste sur le fait qu'il n'y a pas de prédication sans un sujet ( ou un fondement) de l'attribution,et si,de plus,avec le sujet se confond,ou de mions lui correspond,la substance et avec le prédicat l'accident,comme pourra-t-il alors expliquer que la substance,attendu qu'elle fait partie des figures de la prédication,soit justement elle-même un accident.Car s'il est vrai que l'accident n'est pas la substence du sujet,il n'en reste pas moins que la substence en est elle aussi un accident < trente huietième lettre de temps.Certains prédicat qui signifient en effet la substance,d'autres l'accident > Les prédicats qui signifient la substence,écrit d'autre que le prédicat même ou l'une de ses espèces.Ceux au contraire qui ne signifient pas la substence,mais qui son affirmés d'un sujet diffèrent d'eux-même, lequel n'est ni attribu lui-même,ni une espèce de cet attribu,sont des accidents: par exemple le blanc est un accident de l'homme,car l'homme n'est ni essence du blanc ni l'essence de quelque blanc,tendis qu'on peut dire qu'il est animal, puisque l'homme est essentiellement une espèce d'animal.Ces prédicats qui ne signifient pas la substence doivent être attribués à quelque sujet,et il n'y a aucun blanc qui soit blanc sans être aussi autre chose>C'est pourquoi chaque fois qu'un prédicat-qu'il soit quantitatif ou autre-se dira d'un sujet,il devra en même temps et à chaque fois renvyer à la substance de ce sujet.Ainsi chaque attribution devra impliquer au moins deux prédicats; en contingence,la qualité,la qualité,ect.,et nécessairement la substence trente neuf lettre du temps.
Cette articulation prédicative semble déterminer le fait même de l'étant.Elle constituerait,en d'autre termes,le fait que l'étant doit incessamant correspondre à l'unité qu'il représente.En effet,tout porte à croire que si l'on ne peut privilègier l'ousia parmi les figures de la prédication,c'est-à-dire l'inscrire dans toute chose qui est comme le fondement ou le substrat de ce qu'elle est,l'étant ne pourra jamais correspondre à l'unité-être un étant-,et par conséquent la copule "est" ne pourra en aucun cas assurer ou garantir l'identité entre le sujet et le prédicat.
Donc,pour le dire schématiquement,le concept d'étant(ou de copule) nous obligerait,d'une part,à penser sa substence comme une catégorie,et partant comme un mode de l'attribution prédicative(contre l'exclusivisme de Parménide).Mais d'autre part,il nous imposait à la fois de privilègier ce mode attributive comme la réfèrence à laquelle tous les autres prédicats devront nécessairement se rapporter(contre le relativisme des sophistes)quarentième lettre de temps.Cette position est en effet décisive.Mais quant bien même Aristote aurais effectué en toute figueur ce double geste critique,il n'en reste pas moins que la question de l'étant n'a pas encore étè posé jusque'a son terme.
Pour assurer l'unité de l'étant,il faut,selon un double geste simultané,réduire la substance à une cathégorie de l'étant tout en lui donnant le privilège d'être un substra pour les autres cathégorie.Or,rien ne nous dit encore comment ce rapport de privilège,entre l'étant et la substance,pouvait légitimer la véritable unité de l'étant.De quelle nature est ce rapport? A partir de quelles structures ce rapport pourra-t-il assurer une correspondance entre ?????? et ???????le livre de biographie du monde et mons histoire de prisont et les remêtres tous ces histoires a les lires avec un himame pour quile les introdouisse dans le corent vaux mieux set foie le lire que une pas pour que j'aille de dans le corent mais que vous vous réalizer votre vie a vos idé de vie vous liser le chapitre et les questions vous vous vous maitiez vos divère question au point intèrogations.
ces petit assurence dit et reçu par allha biesmila de l'entourage,le parler psycologique des femmes par très fréquentables même a mon age 8 courtoissie.drague de la femme au quel je fessès très attenstionnée de mas part au quel me faisais partie,chausse aux quel. Je fais partie comme un mathe de fout j'ie fais partiemes avec les années sa est devenue psycologique l'étant bien véçu ce moment agréable de prise sur le fait avec un coup de mais de la femme mallument comme un homme de 20ans. tous temps des années vère le commencement 1974 a cette année je me fus consaqurer a enregister tous les vousinages je me disè qui il en aurait baucoups de personne a mons arriver a l'age 20 ans je disè que arrivés 1975 je me disè que si je intèrvenès pas depuis que je les écoutes il ni aurai plus de femme batue bien que si les connaisseuses de quartie pieer a l'acte de renter chez la ou un femme me connaisiaient ,ces eux qui mont donneraisaient leur vie en mains sent que elles le sache arrivent coÏncidence mais deux orielle avec dans la même piesse que la présumer coÏncidentairents déja avec la reconnaissant des faits qui se produis avec sur les lieux des reconstitusions des faits comme si elles étais obliger de les refaires je mintairpaussait entre temps je lui soulignet si tu fait fait et j'aisste il vas recontinuer les même j'aisste sur toi évite de les refaires fais le mécannisme le contraire de se que tu a subie svp et bien du véçu de mes constitution,des violence physique,moral des constatation que je garderais les restants de vie que je possède lyrisme serein a ma propre personne des convlusions que je possèdè déjà bien avec le retoure de la personne que elle me reconstituaient mentale psycologiquement a ma personne vis vère sa s'il simules, vère d'autre opersonne dans le même qu'a sen qu'elles ne se rencondre de rien j'uste parler invèrsanblable que on pouvais se dir sens se rendre compte de inconvènient de part et d'autre, les comportements a avoir devant ça connêsence.toujours je me suis bousculer tous petit a trouver les circonstances a ce propos mes errance.
Devenu compliquer au quel les jents,se construitre leur vie de train-train. Aureussement qu'a chaque foie il ne sifflet pas trois fois pour moi il li a eu de gros moments ou je cherche encore les questions par moment.comme des jents décéder,personne que je tiens dans le monde coeur,au plus grand que se soie mallgrès ces querrèlle qu'elle ma fais sur se dire que il eu des petits atouchement de ces époque agréables ou je me rendais pas comtpe au quel un petit moment de ma vie Heureux.que j'ai construire,après des moment de ma vie depuis j'eusque qu'a se moment que je vous fait a vous parler.je vous ne cache pas des chose de ma vie ou je vous ne raconte pas.Cen'est pas un de Mons plagier.set des chose de lover année ou je me force a vous partager plus tôt dévoiler ou partager.je paisse met mots en vous communiquent le reste a vous dictée petit a petit sur se mode de grosier de temps passer,je expère met mots en vous communiquent ces histoire inconnue des années de vécu en prisont rien de mas part en étais de leur dire sur se sujet vécu des fielles du cartier qui portais de l'assurence en vère moi étant pas encor addolesent moi aussi.Ne me suie pas sur que je me sauret convaincants a advaircer la vie donc je vous parle qui me dissèt la vie que je vous ai parler les années passer dans l'oublier ces parole des filles menque de compètence en plus rien dire au parent.je me suspendais a lire a ces époque je partagais de vie civile.Manque de loi,à ma faveur.je me susendrais a des loi de prud'homme qui a ces époque a oublier!dans les lysées ou je devais intèrvenire jusqu'a 18ans je ne fesèt plus partit de ces tarte il me restè plus que un apprentisage comme apprenti j'ai trouver un mots invariable qui au travaile de leur compètence dans la rue en faite quant je fesès le trgèt caussus a mas situation les conseilles de prud'homme au quelle je ne pouvais pas bénèfisier et le juge de pais,pouvaient dans les contestations relative au travail de leur compètence nommé par écrit du contras cela n'a pas été organiser tous mineur pouvais choisir un tuteur ad hoc pour replacer le tuteur absente!?..
des faits on été comie a mes effets de volle de voiture de magasseins de vole de sac a mains plus de 600 voiture voler des policier a détourner les voiture a leur effet pour compte personnel avec le père de mas compliciter quent on dispausét les voitures a une plase prerciese la le petit matin la police de seraing venèt la trouver a cause de mont complice!qui tél a sont père pour qui prévienne la police gendarmerie a ces époque les découpès dans les constructions des garage de seraing bien sur maintenent ils l'y a pèrrscripsions a ces effet j'ai été intèroger par une autre histoire que des dencigne de seraing quelle que fritrie quelle que café quelle que appartement on étè construis avec une magos voler avec les propierétères donc étant victime de baratiende leur part mettre le feu dans un châlet pour 100.000€ je l'ai fais rein a été donnée par les aureur de sèrvise des luieux pour faire comme les autres je me suis mie a la sigarette a l'age de 8ans de la droge a l'age de 11ans hèroÏne 2.gramme par jour choût (piqÜre) deux droit fuge de chez mes parent quend j'y pence pour seux qui sont encore dans le même sircuit une chose de sèrtien allha est près de nous. a l'age de met 18 ans j'ai été désèzie dans tous les dossiers de tribunale en gros les dèrniéères fait mont étè reprocher a la but de mas petite amie ces sa tente qui psycologiquement fait et jeste me poussèt a venire avent l'heures de sa nièsse a la couse j'ai pèté un plomg sur elle aprèt un suivie de deux troit mois thèqunique pour toute les histoires vue sent savoire quelle ne connèsè pas les commisères ou père ou payer ou et propre infomane pervèrsse de gardes toujour la quent on na pas envie d'elles attouchement sur elle devent le couloir avec un enfant qui été le sient je m'ent les pas été pas asser a temps pour l'èviter j'ai été mie a la dispaussision de l'état jusqua fini 2016 bien sur intèrpeler chez les policier de seraing la contre bande ou il avec des question prèsiese avent d'y réponde eux le tribunale mie sur les fai avec la partisipasion non pas de la fille que je sortès avec mais l'enfant qui au moment du fait se trouvais au fond du couloir des chambres je nie pas la partisipasion de mes parent sur papier un intèrnement mie sur la dispausition avec ma soeur pour signer le papier a 3 pour une longe vie comparue sur les tribuneaux du sèrvise commission de dèfence sociale de paifve pendent 1989 la toujour pas informatique de fiche de population seulement fin en 2006 je suis conparue devent un sèrtène razir prèsident de la commission de paivfe la il me lave les toutes sotre de rabèssement de la personne humilier avec ces confrère fure et a messure des année questionnées sur les rappores du psycologue en reparlent dans la commission il se moquet de moi il dit que je n'est quient retouner dans mons école de primère pour que je doit retourner apret les nuis passent par paifve retouver les discoures d'éclole primère et surtous passer par eux pour sèrtifie que j'ais été la reprendre la discustion d'une dame proffèsseur de quoid on parler avec elle sujet psycologue a l'enter de la coure d'éclole de récréation la un élève a entendu ces discustions quent elle ai partie dans sa classe léléve mas agrèser vèrbalement me menassent je voie ou tu veux allée sur se moi j'ais esplicquer sa !! il se sont moquer de moi a en souriere rigolent a haute voie je n'est jamaits partager se jenre de barbarie présidentielle une foie je suis passée devent lui comme vous s'avec il on toujour se que il on droit devent les avocats j'ais souligner qui devait ètre un pédophile a sont comportement 2 mois après et est intèrpeler détourgnement d'enfant radier de sont travail. ces comme un infimier qui ces tuer en moto laisse 3ou4 enfant qui ces batue avec rogé counar a la fin de sortie dans l'heure des ouvèrture des cellules parceque se tituler était amoureux d'une infiermière qui elle travaillait devent mas cellule facade italique de la fenêtre me coie-èscpliquer d'elle ètes amoureux de moi ou elle coie-escpliquer les fais suivent elles èseillait de me dit que je deveit pas étre ici pour ces jenre de fait psycologieque malade avec ces massquarade de us mentale de monsier madame tous le monde mais les psycologues meintèrpelent sur les us me siertifie que ils se dise dans mas tête que je suis gravement malade elles mas interdit de construire se genre de sujet us que je devais me construire un voille blanche je suis polie de vous dire sa même si sa devrais se dire sa autre par que a l'eds quelle serais loing d'égats dans sa vie sa ne la dèrenge pas de se dire se fait importent que je puisse me le retirer depuis 10ans j'ais étè suivie vère la fénètre de l'établissement italique sur les éducatrises se dire faire exeibiesonnée devent eux la quand elles a l'entretein me disais que ces n'étè rein sa devès sortire tous le personnel la même chose me blocquent us me dispauser devent la fenêtre eux avec des pasients an trains de faire des atouchements devent moi sa a durer pendent 17ans se manaige jamais devent le directeur ou en parler de vent la commission ces normale pour eux le faite que la personne ètais entrien de me dire que il ne pouvais pas me faire sa elle ces fait tuer par roger connar a fait tuer l'infirmier agath pour la cause que se matons a habieter tous prais de cher moi cher mes parent il connet bein monsieur godin et la police de seraing monsieur godin aussi connais bein seraing et le contrat de mes parent. même un bons matons phillipe et phatrique on eu des problème avec le personnel collègue sur demande d'atouchement pour la suite sex eux nie l'histoire a oui moi a la commission me demander si j'avait des anvie sur les femme de la prisont que je ne réagiset pas quand elle me demant dès du sex moi non d'abort atouchement puis sex moi non! la salle mas die sur la prochaine reprise de prisont que je devrais passée par namureque j'ais imtèrè que je puisse sortiere avec une personnel la bas aux si non ici quent je revient drais qu'il y aurait des femme au porte la je naurais plus besein de massturber avec une personne seul. il a eu des meurtres avec des dètenues se pendre ou prendre des mèdicaments en dehort de les leurs que ces les motons qui lui a donnée les médicament en dehord des prèsquries.
III.Le principe commun des cathégories.
&1.-Au début de ce chapitre,nous avions parlé d'amibiguïté.Nous n'entendrions pas sous ce terme la simple ambivalence d'un concept, mais la prédétermination temporelle de l'étant; son maintien continu au présent.Or, une telle ambiguïté devrait en outre impliquer un déplacement du sens de l'étant-une sorte de transposion vers la dimension temporelle du présent,que ses multiples significations avaient encore laissé dans l'ombre.
Que l'étant ait en effet de multiples significations,que chacune d'elles se dise selon le monde attributif des cathégories,et enfin qu'au sein de cette série cathégorielle,une d'entre elles-la substance-soit désignée,par privillège,comme le rapport que chacun des autres cathégories entretein à son sujet,cette position-là aussi radicale soit-elle, ne rend pas comte du glissement ou de déplacement de sens entre ces demande auquel mas demande rien avoire avec la vrès réponce et question du concept de temps mois ces pour sèrtène personne que j'ais choisi ce livre voillà la thèorie qui me cère de model dèsplications plus facille a vous fère comprendres mon intèrprèt et la biographie.Sans tonber dans le un minimalismedes particule,nous pourrons dire que la préponsition grecque a mon temps de maintein de temps de réflection? qui pencer au corthèze us de nos membre cotiedeinne,aristocrate-élite.représente,dans le silence avec lequel aristote en fait usage,toute l'ambiguÏté de l'étant,En effet,chaque étant s'énonce comme un étant encore et toujours identique à lui-même,un individu concret spécifiquement déterminé,donc indéfiniment maintenant au présent,mais sans pour autant laisser entendre,dans cette énonciation,son déplacement continu en direction du présent.voila ces pour quoid un model était une mode assurence de se livre que je vous souhète de vous reconnètre et de vous mettre de l'avent vous aussi?.Ce procèdé nous semble simplement le plus commonde un semblant d'unité qu'au demeurant michel refusait sciemmement. En effet une des caractèristique de sa pensée consiste d'une part dans la dispersion méthodologique,scentifiqueet philosophique qui croit pouvoir rencontrer dans tous les foyer et d'autre part dans le spectale de tous les antagonismes possibles irréductibles en principe à tous les systèmes ministèrielles de belgique.on peut donc se demander si ce n'est pas être infidèle à michel qui essayerons encore et encore de donnée une apparence d'harmonie à cette disersion intentionnelle il semble que non.baprèt tou les bons lègois et cela pour de bonne et plusieur raisons.Tous d'abord,la dispersion est chez moi habituelle a toute organisme de l'états belgisisme depuis mons anfense totalement étrengére à l'incohérence,à une confustion des gent ou même l'électisme.le plus mord totaleNul ne mettait plus lui de passion à définir rigoureusement tous les concepts qu'il on utilisait, à distaiger les diffèrens ordre de problème et les divers niveaux d'une question a une autres cela depuis 27 ans il suffit de considèrer son oeuvre mèthodologique pour constater avec quel acharnement ilogique a mon égard les équivoques,l'absence de rigeur dans le raisonnement et l'imprécision il était si peu éclectique qu'il n'a cessé de dénoncer du compromie au niveaux des idés.Non seulement la solustion ou ligne moyennes ne se laissent pas plus justifier scientifiquement qu'une posiion extrème prise a mas charge. mais en génèrale elles sont un nid d'équivoques.si absent comme eu me disèt malade mais jusque menque de lecture humaine de la vie des leçons de l'école astronomie de ce que je suis entrien de vous faire savoir!!!?l'objectivité dépend uniquement de l'effort orienté vère la plus grande univocité et justesse, quitte à déranger par un jugement extrème, mais perspicace et fondé les préjugé et les opinions les plus solidement établies.Autrement dit euro l'argent l'opinions les plus solidement établies,Autrement dit l'éparpillement,qu'on constate chez michel est la conséquence de son souci de l'annalyse rigoureusse,voire minutieuse,qui sépare ce qui est logiquement incompatible et établit les relations qui s'imposent en vertu de l'état donnée de la recherche.il n'était pas un adverssaire borné de la sympathie en génèral mais il estimait qu'en l'état actuel de sa science,exposée à d'incessantes correcte modification et boulversement en raison du caractère indéfini de la recherche comme donné le savant essaie de systèmatiquement l'ensembles des connaissances acquises dans une scince ou un séducteur une secteur limite d'une condistion de sauvegarder le caractère hypoqurite d'un parie procèdé compte tenu des autre interprétations possibles sur la base d'autres préposition et du dévelopement. pour l'instant,et tant que la socièté ne saura pas que les pot de vin pour l'intèrnement tant ne sera pas achevée-ce que personnene peut autrement cassée se fait pour prèvoir né prévoir-tout système rest nécessairement pour moi de vous en parler ces mon du tout autre système reste nécessaire d'un point de vue auqu'elle on peut opposer d'autre point de vue tout le devenir humain ou de la scence dans son ensemble tourne la page dans son ensemble ou même seulement d'une discipline particulère comme soigner ou instrouire les personne qui son la ces le cadè de mes sousi .puisque le seul crèdit qu'on puisse lui accordé est d'être une anticipation a ma demande utile ou un fil conducteur dans la recherche ces de chercher.bref.le savant est libre d'unifier provisoirement un certain nombre de relations,il ne saurais construire,en tant que savant,une unité globale du savant au sens d'allé en avent.En second lieu,la pensée de michel implique,comme toute autre,des correspondances conscenties ou inavouées entre les thèmes qui semblent les plus euro qu'il porte c'est raison que les commentateurs insistent sur la dissociation radicale qu'il établit entre la mise a la connèsense et l'action en sèrvice entre la sience radical et la politique;toute fois on aurait tort d'y voir une contradiction < déchirante> ou <désepérante >non pas tant parceque qu'une telle attitude est étrengère au tempèrament michel mais à l'esprit de sa vision du monde Au contaire il y a une véritable solidarité entre le comportement qu'il exige du savant et cellui de l'homme d' action,bien qu'ils soient opposés quant à leur sens.La séparation stricte qu'il croit trouver enter valeur et fait,enter volonté et savoir,a pour objet non seulement de délimiter clairement l'essence logique de chacune des deux activités,leur domaine respectif et par conséquent la nature des problème qu'elles sont l'une et l'autre capables de résoudre avec les moyens qui leur sont chaque fois propres, mais encore de rendre plus frutueuse leur éventuelle collaboration,en raison même de leur distinction,par élimination, des confusion qui sont préjudiciables à l'une et à l'autre.C'est en vertu des limites du travail scientifique que l'action prent tout son sens,avec son corollaire qu'est le choix entre des valeur dont la validité échappe à la juridirection de l'objectivité scientifique.La science aide l'homme d'action à mieux comprendre ce qu'il doit vouloire.il ne résulte nullement de l'incompètence de la science dans la sphère du choix des fin dernière que celles-ci serais futiles et inutiles,mais seulement qu'elles appartiennent au domaine des croiyance et des conviction,aussi indispencables à l'homme que le savoir positif.En dépit de leur antinomie, la rigeur scientifique est corrélative de la liberté du choix dans le dévouement à une cause,sous peine dans la duperie dans le premier cas et de griserie stèrile dans le seconde.par-delà cette affinité,il y en a une autre plus profonde.En un sens la conception que porte michel. En dépit de la rigeur des concepts et des démonstrations,et de la compètision entre théories, chacune se fondant sur se certain nombre de fais avèrés et constatables,parfois tros bien choisis pour les besois de la cause,à l'exclusion d'autre faits tout aussi bien établis.Autrement dit,sa théorie de la fonction des fonctionnaire imprègnée de sa théorie de l'action sauf que la premier essaie de vaincre les contradiction dont la seconde se nourrit.Nous sommes ici au coeur du problème qu'à la suite appelle le rapport aux valeurs de ces ouvrage nous y revienndrons car ce n'est pas ici le lieu d'entre dans le détail de toutes les correspondence de la pencer.nous découvron au fur et a messure de notre commentaire critique, particulièrement à propos des rapports entre l'y dès aller < méthormédical>. <Entre l'idéal idé typle> et les cathégories de possibilité objetive et la causalité adèquate.En dernière lieu,bien que michel ait toujours évité de ramener ses interrogations et ses explication a se problème et ses explication à un foyer ou principe unique,il part cependant d'une intuition originaire et fondamentale,celle de l'infinité extensive et intensive de la réaliter empririque.Cela signifie d'abord que la réalité est incommensurables pour la puissance de notre entendement,sorte que celui-ci n'a jamais fini d'explorer entendements et leurs variations dans l'espace et le temps ou d'agir sur eux;ensuite qu'il est impossible de décrire intégralement même la plus petite parcelle du réel ou de tenir compte de toutes les données de tous les éléments et de toutes les conséquences au moment d'agire.La connaissance et l'action ne sont jamais définitivement accomplies,car toutes connaissance appelle d'autre connaissances et toute action d'autres acctions.Aucune science particulier,ni non plus l'ensemble des sience particulier,ne sont plus en messure de faire notre savoir, parce que l'entendement n'est pas capable de reproduire ou de copie le réel,mais uniquement de l'élaborer par leur jeux de ces projet la distance reste infini nous ne pouvons donc jamais connaître que des fragment,non point le tout,car le toutes les singulatiter qui défie la somme de toute les pots de vin encore prent court tout les jours ou début du mois ou dèbut de la semaine ou fin ect jusque'a notre savoi acquis,même le plus solide apparemment,qui se laisse remettre en question si un savant l'envisage d'un point de vue si,.Au nouveau et inédit.
Quelle que soit la méthode adoptée,il n'est possible que d'ordonner relativement le réel,non de l'épuiser.A cet effet,on peut utiliser la méthode généralisante dont le dut est l'établisement de loi génèrales pas réduction des diffèrences qualitives à des quantités mesurables avec précision.Ce procèdé dépouille la réalité de la richesse du singulier,en construisant des concept dont le contenu s'appauvrit au fur et à messure que leur validité génèrale devient plus grande.La seconde,qu'on peut appeler individulisante,s'attache aux aspect singulier et qualitatife des phènomènes.Toute fois,du moment qu'elle prétend aboutir à une connaissance,elle ne peut pas non plus se passer de concepts,même s'ils restent plus riches en contenu que les précédents.du moment qu'il s'agit de concept ils sont impuissants à reproduire intégralement le réel.En conséquence,l'addition des résultas de l'autre méthode restera inévitablement en deçà de la plénitude de la réalité, parce que,de tout manière,elles ne peuvent que nous livrer des aspects du monde empirique qu'il sont entrien de le faire en pluseur jeux de carte quand un jeux ait vieux il ou elles un porte un concepte de carte de jeux a divèrjence modelle adultaire entre eux avec les pasients fraude dans les cantines des monsieurs travaillents dans l'établissements intèr-pausse des cantines de fraudes sout le nez de tous le monde a ces effet de divèrjence de modelle de fraude tous est pérmie m'aime plusieur sur les faits de fraude qu'il fond a l' effet de l' eds.Ces vues de michel sont d'une importence capitale pour comprendre en quel sens sa sociologie a formé un véritable tournant dans l'histoire de cette discipline:elle va devenir une science positive et empirique en pratique.Malgré toutes les protestations de fidelité à l'esprit scientifique (observation,exprérimentation,induction aboutissant),les diverses sosciologies du 1989 siècle ont été beaucoup plus doctrinales que réellement sientifique.Aussi bien chez comte que chez Marx ou Spencer,par exmple,la synthèse romantique prenait le pas sur l'analyse modeste,préciese et prudente.Pour tous ces esprits, il allait de soi que soi que science et philosophique de l'histoire s'accrordaient intiment,l'une devenant le prolongement nécessaire de l'autre.Nous laissons de côté la question de savoir dans quelle mesure l'idée qu'il se faisaient de la science était correcter ou non.Ce qui nous paraît essentiel ici,C'est qu'ils partaient tous d'une idée de la scocièté,de la culture ou de la civilisation entendues comme un tout,soit dans le sens de l'esprit objectif de helge,soit dans celui de l'humanité de comte Autrement dit,ils présupposaient tous une unité a priori de l'histoire passée et à venir, de sorte qu'il n'y aurait aucune peine à lire le sens prétendu unique et global du devenir.Le développement historique évoluant par stades, au sens où l'un serai la raisson nécessaire du suivant,l'individu est réduit à subir la rationalité immanente et progressiv du devenir jusqu'au stade du plein épanouissement final.Le Point n'étaint donc besoin d'analyser de très près les structures véritables qui contois. des sociètés praticulière,ou des divèrse groupement humains,qui se bats d'une règuralité puisque,seuls prenaient de l'importance les faits susceptibles de confirmer la doctrine posée au départ.sur tous les hommes contre eux a les manipuliers sur leur en comptejour a jour qui porte leurs instructions sècurité en états qui sont plus que ses homme qui les gaÏes.posée au départ.On comprend que dans ces conditions les sociologie du 2007 siècle ne faissaient que solliciter la science et qu'elles avaient,avant tout,la prétention de modifier la socièté existante,plus exactement,ces sociologies étaient davantage des réformes que de la science.L'analyse de l'être et du réel n'était qu'un prétexte devant profiter au devoir-être et servir les plans de la transformation sociale.je pence a rien! suivées ces prétexse!Le fait est qu'en l'année 2012,où il publier.les règle de la méthode sociologie, d'un rèsultas après-28ans de passience et s'occupait beaucoup plus des problème d'économie politique et de politique scociale que de sociologie.Il est indibitable!qu'avec cet ouvrage quil sens sèrve comme sèrpilier ou éssuit-tous voila se résultas! posait les fondements d'une sociologie sociale antendue comme science positive et autonome,indépendante de toute hypothése métathisique et de toute prédiction escatologie.a l'opposé de tant de polémiques stèriles et de critiques injustes,il faut souligner ici les mérites.michel même s'il fut en pratique infidèle à sa distintion entre jugement de réalité et jugement de veleur.Le noeud des difficultés de la conception michel se trouve a ce niveau et nulle part ailleurs.il a eu tort d'interprèter la <conscience collective>comme un fait constatable, fait le tons livre en faissent cing-ent pages contre moi et de plus une libèration contèstend a l'attendre avent s'elle que j'ait acctuellement!parseque j'ait du demander la permision!!juger le jugement de disctinction de rèalité et vos jugement de valeur.eux qui peut eu à ce être utile à la recherche.il y aurait également beaucoup à redire à propos de la définition du fait sociale comme une chose,pour autant que michel concevait les représentations collectife comme contituant une cathègorie spécifique,<un groupe déterminer de phènomènes qui se distinguent par des caracttères tranchés de ceux qu'un étudient les autres science de la nature>l'erreur consiste,en ce cas,en une classification des science qui prent pour base une diviion de la réalité en pluseur séries de phénomènes sui generis (phisique,biologique,psychique,sociaeux,etc.)ayant leur existence propre et qui seraient irréductibles les uns aux autres.Un pariel cloisonnement est étranger l'esprit scientifique,car un même phènomène se laisse étudier aussi bien par l'histiore que par la sociologie,psycologie, la biologie ou la phisique.Si chaque science constitue une discipline autonome en raison des postulats qui sont proposer par sèrtèin personne de l'établisement sur autorité psycologique,la réalité empirique au contraire ne se laisse pas diviser en secteur Ètats indépendents.Si ces inexactitudes sont imputables à la faiblesse de la théorie de la connaissance,elles ne portent pas préjudice à son intention de fais de l'établissement.l'erreure profonde de fut de réintroduire subrepticement les jugement de valeur qu'àjuste titre il avait condamnés en théorie;de ce fait il n'est pas lieu contribué à perpétuer une confusion qu'il était le premier à dènoncer,sous peine d'interdire et emprique.Ce n'est pas lieu de faire ici le compte de toutes les évaluations incontrôlables dans l'oeuvre de michel notons par exemple, qu'il considère la socièté comme<bonne>sans apporter une justification scientifique plus valable que ceux qui la conçoivent comme mauvaise.non seulement,ilestime que la socièté est douée d'une autorité morale,mais encore qu'elle aurait une vocation réformatrice du fait qu'elle est le véhicule de la rationalité,à laquelle il n'attribue de surcroît que ces effets bénèfiques.il croit donc au progrès moral par le progrès social,et il pence mêm tirer de ces étude sociologique un nouveau système social dont la justesse pourrait être confirmée par la science il espèrait dans le même sens que la sociologie était apte à produire des structures sociale plus solide pour remplacer celle qui s'étaitent effondrées avec la chute de l'organisation impériale au lendemain de l'affaire que vous connaîsser tous.il croiait de la connaissence et l'esprit de la politique,la théorie de la connaissence et l'esprit de la religion à un simples facteur pour eux ils fessaient .Or toutes affirmations et proposition des jugements de valeur qui échappent à leur conpètence couvère de l'autorité de ma connaissence envère eux par consèquent, en la pure investigation de l'intention théoriques,il ne cesse de troubler le sense théoriques de la vrès scientifique par l'intervention d'idéaux son propres à un certain scientisme et il dénature pratique digne de l'intairvenue du personnele qui échape pratiquement son propre projet de constituer une science positife de leur masque de fraude divèrgence typle de plaque de leur intèrvension de leur travaille contidienne positive nule ai établie !,.
Cette lumière en nous
La vraie méditation
Introduction
Au cours de nonbreuses années de discussion avec des interlocuteurs venus de tous les horizons de la socièté,comme au cours de causeries plubliques qui ont drainé des foules d'auditeurs partout dans le monde, krichnamurti n'a cessé de souligner la nécessité de rentrer en soi-même, si l'on veut pouvoir comprendre les racines pronfondes des conflits communs à l' individu et à la socièté-car <nous sommes le monde>,et c'est donc notre chaos personnel qui est à la source du désordre génèral.Les extraits de causeries inéditre présentés ici illustrent la vision intensément lucide gràce à laquelle krishnamurti a su explorer et faire découvrir à tous la source originelle de sa vraie liberté,de sa vraie sagesse,de sa vraie vertu. Une vision qui défie le temps.j.krishnamurti (1895-1986)est un penseur très à part dans l'histoire des mouvements spirituels.Á l'écart des normes,des conventions, des traditions,des doctrines, des églises,il a toujours obstinément refusé toute position d'autorité,laissant à chaque individu la liberté entière
d'interprèter son message.
Cette lumière en nous
La vraie méditation
une nouvelle conscience
Une conscience et une morale totalement nouvelles sont indispensables à l'avenement d'un changement radical au sein de la culture et des stuctrures sociales actuelles.C'est une évidence, pourtant ni la gauche,ni la droite,ni les mouvances révolutionnaires n'ont l'air de s'en inquièter.Les dogmes,les formues,les idéologies,quelle qu'en soit la nature,font partie de notre vielle conscience passée; ce sont des élaborations d'une pencée qui fonctionne de manière fragmentaire-en politique,la droit,la gauche et le centre en sont' illustration. Cette activité parcellaire entraîne inévitablement des effusions de sang orchestrées soit par la droit ,soit par la gauche.,ou bien elle mène au totalitarisme.Telle est la situation dont nous somme té moins.nous voyons la nécessité d'un changement sur le plan social,économique et moral,mais les réponses émanent de cette vielle conscience qui laisse à la pensée le rôle principal.Le désordre,La confusion et la détresse qui sont le lot de l'humanité font partie du paysage de cette vielle conscience,et faute d'y apporter de profonds changements,toute activité humaine-qu'elle soit d'ordre politique,économique ou religieux-ne nous poussera qu'à une destruction réciproque et à l'anéantissement de la planète.C'est l'évidence même pour tout étre sensé.
il faut être à soi-même sa propre lumière.Cette lumière est la seul et unique loi: Cette lumière est la seule et unique loi:il n'en existe pas d'autre.Toues les autres lois émanent de la pensée,et sont donc fragmentaires et contradictoires Etre à soi-même sa propre lumière,c'est refuser de suivre la lumière d'autre,si raisonnable si logique,si exceptionnel,si convaincant soit-il.vous être plongé dans les ténèbres de l'autorité,des dômes,des conclusion hâtives.La morale n'est pas une émanation de la pensée, ni effet des pressions exercées par le milieu ambiant,elle ne relève ni du passé ni de la tradition. La morale est enfant de l'amour,et l'amour n'est ni le désir ni le plaisir.La jouissance,sensuelle ou sexuelle ,n'est pas l'amour Etre à soi-même sa propre lumière:la est la vraie liberté-et cette liberté n'est pas une abstraction,elle n'est pas le fruit de la pensée.Etre authentiquement libre,C'est être à soi-même sa propre lumière,c'est s'être dégagé des structures mêmes de la pensée.Au sein de cette lumière,il n'y a place que pour l'agir,de sorte que jamais l'action ne peut être contradictoire.La contradiction n'existe que lorsqu'il y a clivage entre l'acteur et l'action, tout idéal,tout principe n'est qu'un processus mental stérile, et il ne peut coexister avec cette lumière-l'un est la négation de l'autre.Que l'observation soit là,et cette lumière cet amour sont aussitôt exclus.La structure même de l'observateur est l'oeuvre de la pensée,qui n'est jamais neuve,jamais libre.le <comment>le système la pratique n’ont aucun intérêt,seule compte la perception lucide,qui se confond avec l'action.C'est à travers vos yeux que doit se former cette vision,non à travers ceux d'un autre.ni à l'autre.La lumière, cette loi n'appartiennent ni à vous ni à l'autre.La lumière-rien d'autre ne compte que la lumière.Voilà ce qu'est l'amour.
Histoire ethnique sociale politique,histoire conte historique polytonique spéciale polygone spéciale de nos cour historiens de l'année 0 calcule psycotèmique spéciale 2012 psycotènique ressource politiquement de ma thènique psycho-sociale auto biographie:2.2Pré.étemps.ligne de mon français année 1970 étude de Longe Lobé étude vère le sociale :fi=interj ,1.vx interjection exprimant le dedain.2.faire Fi de =dédaigner mépriser.F.i.v ::(efive) fécondation in:vitro/ipso fasto ad ::par voie de conséquence.-ph=pgal n.m.invar::potentiel lby'ayd ro qene,unité de mesure d'acidité(de 1 à 14) phacochère. n.m :: mammifère on gueule d’Afrique ,voisin du sanglier -phage,phagie,phag(o)-éléments du grec phagein<manger>vore -phagocyte n.m.::bio. cellule capable de détruire les microles en les digérant (phagocytose n.f.)
cadre participatif :traduction du concept de <participation frame Works>de goffman (1987)les participants d'une interaction peuvent ne pas être seulement deux et leur rôle aux cours de l'échange peut varie *goffman distingue donc les participants ratifies,ceux qui sont ration et les impliques dans l’interaction et les témoins (<bystanderrs>)qui entendent mais son en dehors du jeu interlocutif.parmie ces derniers certains sont identifies comme tels par le locuteur,alors que d'autres écoutent à son insu.le locuteur fournit en général aux participants salifies (par la positions de sont corps,le regard)des indices montrant qu'ils'adresse directement à eux. éluais il arrives qu'il s'adresse en fait à des participants qu'il ne constitue pas comme tels par son attitude. le théâtre exploite beaucoup ces dés scellage,sur tout dans les conmèdie kerbrat. compassionnelle trope communicationnel pour ès situations ou <le destinataire,qui fait en principe figure de destinataire direct,ne constitue en fait qu'un unitairement secondaire>1990:92)le cadre participatifs,est également complexe à la radio à la tv souvent dans les romans ou le participant ratifie direct n'est qu'un relais vère un témoin (l'auditeur,le téléspectateur le lecteur,qui est en fait le vrais participant ratifie,celui par rapport auquel tout est organisé captation vs subversion l'étude des relations d’hypertexte va lité permet de m' être en évidence deux stratégie opposé d'imitation d'un texte ou d'un genre de texte..la stratégie de captation consiste trasfèrer sur le discours citant l’autorité attacher au texte source ce serais le cas par ex:d'un prédicateur qui imitait UE parabole du christ. la subversion,en revanche,n'imite que pousse des qualifier autotélie du texte source :on retrouve ici les phénomènes du parodie.  coénomciteur quand l'énonciateur parle ;le coénonciateur communique aussi cadre participatif: distinguer le coenonciateur auditeur qui peut agir immédiatement sur l'énomciatuer et le coénonciateur lecteur oral/écrit.un auditoire composite facultatif Michel louis claud Mr Houbaille chouchen languel bien que l'ange de marie-madeleine ou et pare jésus de l’enfant qui été de vie au bore de l'eau quant on le trouvas il l'y a eu malheur sur quelle que phénomène puis l'enfant changer en pierre de couleur noire comme après quelle que année après le temps de Villon il l'y a eu phénomène étude scientifique sur toute phénomène de la vie humain sous écrit bendereau ou phénomène reproduis avec des âne qui transportais un peut de toue pour les personnes qui attendais toute les diverse chose au quelle expérience  comme toute les expériences de allée vère la vent  qui aurais du avoir eu mais dieu ne la pas eu de la même façon  ainsi a ces époque de Villon des prédication aurais surement eu lieu changions de sujet revenons a mas situation au pare a vent suivie psychologique de la psychologue bèqumans titulaire du dossier sa situation l'hore de mon suivie fréquentais gozalesse a eu 1 enfant avec elle mas manipuler de la sorte quelle donnais les rdv en même temps que son homme pour que moi je face champs libre avec eux en quelle que sorte je surveilles son entourage pour quille soie trans quille tous les deux dans le bureau moi j'attendais mon tour pour être consulter elle a mie circulais A4  dans le dossier pour le tribunal demande de me supprimer membrane psycho- imaginative elle a eu gaie de cause pare le tribunal bien sur soue parole écrit ces a dire écrit brouillons puis discuter é-mail pare le tribunal  ou et elle ma baratiner mentis que je ne pouvais plus servir tractionnaire thèlèpatie elle a eu que dans la vie personne ne fais se la bien sur elle ma parler après prise deux semaine médicamenteux  a ces femme la je louis souhaite plais de bonheur a sa more je crois que je ne suis pas le seule de ces historie de travail vous connaisseuse-us de parcouriere le suivie de nos acte a notre more 
jour a jour se que on ne voix pas met qui vie du passage simple le premier nom anthaue qui vie comme vous ou et moi a des différent époque d`un akse superficielle de la construction de la vie a une échelle de vue coucher de soleil  vue etc de toute en parler comme personne en parle anthpeau qui vie dans la piesse de votre maison 

Et ceux qui on les culs rogneux;
Chacun une chaise percée.
Mais qu'à la petite Macée
D'Orléans, qui eut ma ceinture,
L'amende soit bien haut taxée:
Elle est une mauvaise ordure.
L'écoute
Quand quelqu'un me dit:<Tu sais, je ne suis pas en forme pour le moment...Je n'ais pas le morale, je ne sais plus quoi faire...>
Autre exemple:
La personne que nous avons en face de nous ne nous pose pas une question, elle nous dit sa question . Sa question lui appartient , elle ne nous demande pas de réponse.
Rien de ce que je pourrait dire et qui concerne la vie de l'autre ne pourra être entendu.
Que pouvons-nous dire à propos de ce qui concerne la vie de l'autre ?
Nous serons toujours en dehors de sa réalité .
C'est pourquoi la seule attitude à voir à ce moment là est une attitude d'écoute. juste donner à l'autre le temps et l'espace pour se dire un peu, un peu plus...
Entendre ou écouter ?
Rappelons-nous l'illustration faite pare rapport à l'écoute d'un air de musique:
Entendre: demande de ma part une faible prise de conscience de ce qui se passe.
ça rentre par une oreille et sort par l'autre.
je ne dois pas me rendre disponible.
j'entends quelque chose et je continue d'exister pleinement.
je ne doit pas m'arrêter.
Ecouter: demande de ma pare une grande prise de conscience de ce qui se passe.
je dois m'arrêter dans mon activité.
je dois me rendre disponible , me vider de mes joies , de mes peines , de mes préoccupations.
C'est à ce moment là seulement que je peux me laisser toucher , atteindre , envahir par ce que j'entends. je pourrai alors éprouver , ressentir quelque chose en fonction de ce qui me parvient. C'est à ce moment là que j'écoute vraiment On peut mieux comprendre alors à quel écouter est un choix , un travail , une décision .
je choisis d'écouter quelqu'un , à un certain moment et pour un certain temps. on ne peut pas écouter sans le faire exprès , on n'écoute pas pare hasard. On choisit de faire ce cadeau : offrir un moment d'écoute.
écouter c'est pas naturel.
Ce qui est naturel , c'est plutôt ce type de conversation:
<Le papa de pierre est venu me rencontrer , c'est à peine si il ne disait pas que l'échec de son fils était de ma faute . j'en suis malade . Oh ! Moi aussi j'ai déjà eu ça avec un papa ...>
Sur une parole qui vient d'être dite , je ne sais pas encore ce que la personne voulais me dire que déjà je lui vole sa parole sa parole à mon profit. je prends alors la place de l'autre qui est renvoyé à sa solitude. je continue d'exister pleinement et l'autre disparaît.
Les pièges de l'écoute
1. Parler de soi : quand l'autre me parle de lui réponds en parlant de moi, et l'autre disparaît.
Pourquoi est-ce que je fais cela ?
1. Parce que je veux prouver à l'autre que je le comprends.
2.Parce que je suis enthousiasmé par le sujet:
3. Parce que l'histoire de l'autre , sa souffrance , réveille une pare de ma propre histoire , de ma souffrance.
Ce n'est pas pare qu'on parle du même sujet que l'on s'écoute . bien souvent , chacun se dit au travers d'un sujet commun mais il n'y a pas d'écoute:<Tu as passé une bonne journée ?...Et bien moi j'ai ...>
Monsieur se dit au travail des difficultés vécues pendant sa journée et Madame répond en se disant au travers de la sienne...ils ne se sont pas écoutés .
2.Donner des conseils: je ne sais pas encore ce que l'autre veut me dire de lui , ce qu'il vit , ce qu'il ressent , comment il vit sa situation , ce qu'il a essayé...que déjà je sais ce qu'il devrait faire!!
Donner conseil sans prendre le temps d'écouter d'abord , c'est manquer de respect. Pourquoi ne pas prendre le temps de laisser la personne s'exprimer sur ce qu'elle vit...et puis peut-être dans un deuxième temps chercher avec elle ce qu'elle se sentirais capable de mettre en place.
Nous pouvons aussi avoir un rôle d'éducateur...alors éduquer est-ce dicter à la personne qui nous parle ce qu'elle devrait faire ?
Eduquer²,aider à venir autonome...
Une relation nourrie de conseils est une relation dans laquelle un des deux devient vite dépendant de l'autre et l'autre et certainement pas autonome.
Dans ce rôle " d'éducateur" accompagner l'autre dans sa recherche de solution est sûrement un meilleur chemin vers l'autonomie. lui permettre d'exprimer ses sentiments , ce qu'il vit , ce qu'il ressent , ce qu'il aimerait faire, essayer...
On ne peut assumer que ce que l'on aura mis en pace soi-même .
Même si je suis passée pare une situation semblable à la tienne, je ne sais jamais à ta place , je ne vit jamais la même chose...simplement parce que je suis moi , bien diffèrent de toi , avec mon histoire , mes histoires , ma carte du monde.
On me demande un conseil: quand la demande de conseil est explicite:<Que ferais-tu à ma place ? Que me conseillerais-tu; toi qui ..........?>
L'écouter me place alors en référant.( ???)
je peux donner un avis mais jamais je ne commencerais ma phrase par <A ta place je ...>.je ne suis pas à la place de la personne. je ne suis à la place de personne. je peux lui partager mon expérience , les solutions que j'ai mis en place pour moi , dans mon histoire...ou encore chercher avec elle ce qui pourrais lui convenir en faisant des propositions.
je donne au moins 3 solutions.
je cherche avec la personne des solution, nous cherchons...je ne lui dicte pas sa conduite. elle pourra alors s'approprier des solutions , la transformer , la postposer afin qu'elle puisse lui convenir, que cela devienne sa solution à elle ou lui .
Ce type de démarche est tellement plus respectueux.
un conseil donné avant même de prendre le temps d'écouter a un effet sûr et certain : celui de faire taire l'autre.
²Eduquer : du latin e- ducer, conduire au dehors.
Prenons le temps d'écouter . Laissons un espace de liberté qui nécessaire à la créativité , donner à l'autre le temps et l'espace pour trouver ses propres solution.
Plus je me sens impuissant dans la vie de l'autre plus je lui restitue se propre puissance.
3.Parler de l'absent.
Non pas pour médire ou dire des choses dans son dos.
Quand je parle de l'absent , je quitte la personne qui me parle au profit de quelqu'un qui n'est pas là.
je renvoie la à sa solution
L'écouté ne veut pas me parlé d'une tierce personne mais de sa relation avec cette personne, Gardons toujours cette phrase bien présent en nous quand nous voulons essayer d'écouter.
Qu'EST-CE QU'IL -ELLE-VEUT ME DIRE DE LUI -D'ELLE AU TRAVERS DE CE QU'IL -ELLE-ME DIT ?
4.Porter un jugement.
Sachant qu'un jugement coupe et casse la communication nous voulons vraiment l'éviter et pourtant on y tombe si facilement.
 Toutes ces phrase qui commencent par :<Tu pourrais ... Tu aurais pu ... comment n'as-tu pas ? pourquoi n'as tu pas ? Il faut que...IL aurais fallu que.... Est-ce possibles de ...?>
Toutes phrase ces phrase amènent un jugement et parfois, pour bien faire; nous formulons un jugement .
Un jugement coupe et casse la communication qui ne peut se rétablir qu'après réparation.
Quand j'entends quelqu'un qui se justifie:<je sais que je n'aurais pas dû mais...je ne devrais pas dire ça mais...>, je doit absolument m'arrêter et me remettre en question: l'ai-je jugé? Lever le jugement c'est permettre à l'autre d'exister pleinement, de se sentir reconnu.
5.Encourager.
Quand j'encourage quelqu'un qui en train de m'exprimer un vécu difficile, douloureux, je nie ce qu'il est en train de vivre , ici et maintenant, devant moi .
je prends alors risque de couper la relation. si cette personne a besoin d'être entendue dans sa difficulté et que je nie, elle fera peut-être le choix de ne plus me parler et devra allore chercher quelqu'un d'autre à qui se confier .
Mais pare contre si la personne elle-même à un moment allume une lumière au bout du tunnel ( j'y arriverais peut-être un jour...) à ce moment la , je peut alors encourager , je ne nie plus exemples:-
6.Dédramatiser.
<ce n'est pas si gave. Ca aurait pu être pire.>
Quand je dédramatise , je ne reçois pas la souffrance de l'autre.
De quel droit puis-je décidé si ce que l'écoute vit et ressent est dramatique pour lui ou pas ?
Quand je dédramatise , je banalise, l'écoute ne peut pas être reconnu dans toute l'intensité de son véçu, de sa souffrance.
Donnons du poids à la parole de l'autre.
si je ne me sens pas entendu(e).
A nouveau, si je me mets à généraliser , je quitte la personne qui est en face de moi et qui essaie de me parler d'elle .
   valise                                           Maison                                Magasin                                        

Expériences.                                  Comment je me sens ce matin           ? Question
j'ai été à l'écoute d'une personne
il a fait cure et a des soucie de
Voire les jeans vidéo privée.
Écoute l'autre, c'est le rejoindre , là où il est où qu'il soit , a fin qu'il puise se dire , se sentirez reconnu , être moins seul.
1.quitter ce que je sens-impression-émotions
2.quitter ce que je sais -savoirs
3.quitter ce que je croit-valeur quitter en quoi je crois-valeur-tolérance.
4.quitter mon Histoire.
La ou il est ou se quille soie.
La ou il est ou s'qu'il soie:
1.rester conscient que je ne serais dire (faire savoir)-(f.s)-, à sa place.
2.Placer un regard positif et inconditionnel.
3.La personne à des possibles devant  elle -lui
    toujours changer la question pare-(Ques qui fais que)
apprendre a se terres apprendre les (set) à l'autre à l'écoute 
apprendre a conter dans le silence jusque 5 crocodile après si la personne ne parle toujours pas luis poser la question Ques qui fais que -question pas ouverte
apprendre a poser des question ouverte-(Quesque sa fais) commence pare (que ) -question pas ouverte-(comme ques qui fais que).
question réponse pare oui & non tu croit comment CA vas allée ouvrira les mots que la personne emplois reflète ;? ou ils reprendre une petite partie de la phrase de l'autre;? est-ce-que j'aie bien comprit que la personne reformule le désire de bien comprendre est-ce-que cet sa est-ce-que j'aie bien comprit.  
Un toc un comportement
anormal
La Loucherie (Loucher)
Les jumelles
Des sosie
Des patte d'oie
Home phone:vingt vin vins vain vains Les Radicaux < fond plafond profond
Atome-anatomie                                -atome
Atomiseur-anatomique
Territoire-passoire                              -oire
Andhèrente                                         -rent

Un Tic=un mouvement
non contrôlé
involontaire
Les même son
à a =préposition à gui pille à cheval à moitié (à poil) à poils
Elle a en peur Il a chaud avoir= a verbe dire au ait = verbe
ne peut pas dire
avait-préposition
Donne-moi un verre à vin on ne peut pas dire avait
une raie de voiture
une raie  un poissons
un raie de lumière (petit rayon)
un rit =un filet prendre dans un rets arrêter (pêcher)
Homophones          Homonymes                       Homographes
même                      même nom                         même écriture
le vin                       je vins                                le voile
(en) vain
vainement
je vins
il vint

sens mots               c'est             ses met étudier       se sont étuis
-invariable             se s'est          se lave
-variables                ces              démonstratif
genre personne
nombre nombre
  Les Tiennes

Ance/encre:une encre bleue,ancre jet l'ancre balai / les danse du ballet,ballet sont magnifique le balai est un ustensile ménager,fax/fait:loure fardeau,(fait de action de faire q-q-ch) pousse/pouce:le premier doit de la main,développement de ce qui pousse(plants):pousse pousse mousse
2.palais,palet:somptueuse résidence-grand édifice public du pays partie supérieure interne de la bouche:organe du goût hoquet sur glace écho/Écot: 1 réfection du son par un obstacle qui le répercute : le son répété 2 figure ce qui répète par q.q.n loc se faire l'éche d'une nouvelles propage (allée plus loin) les échos d'un journal mon daines ou locales sa posletation est reste son échos .
daines-1.relatif à la société des gens du nombre (III 2) qui aime leurs habitudes.
Il faut payer son échot pour être honnête et en règle.(échot)-partie part pohon  ..
houx/houe l'arbre ou l'arbuste à la feuilles bordées de piquants à baies rouge vif:houe n.f pioche à lane assez large dont on se set pour binez la terre biner: (remuer la terre) pioche outil,fer emmanché à deux pointes opposées forêt/ foret :une vaste étendu servant à forer poreuse perceuse  :
une vase sur l'eau coule vère la rive
une pièce de monnaie
je vais prendre un bols d'air
mon livre est intéressent
j'ai but une tasse de café d'un celle trait  .
Les homonymes
.une raie(trait,sillon...)/une raie(poisson de mer)/je raie(verbe rayer)/un rai(rayon)/un rets(filet)
filet+un trident-le rétiaire=gladiateur un rai de lumière un rets =un filet (prendre dans ses rets)expression
règle
les homonymes sont des mots qui ont la même prononciation mais le plus souvent une orthographe diffèrent.il faut donc chercher le sens de la phrase pour écrire le mot correctement .Lorsque des homonymes ont la même orthographe,on les appelle des homographes
une raie(ligne...)/une raie(poisson)/je raie(v.rayer)
En courant vers le carrosse,Cendrillon perdit sa pantoufle de vair.
Sous le châssis de verre,les semis dressaient le vert tendre des jeunes feuilles.
Laborieusement, vers après vers,il mémorisait le tête de poème.
Cent mètres plus loin,la meute reprend la piste.Elle sent que le caribou est proche,sans défense.il a perdu
beaucoup de sang.Viendra le dernier assaut et il ne s'en remettra pas .C'en sera fini.

Le mois de mai
il chant bien
mon cher ami
je bois de l'eau

je monte la tante
je mange du pain
je suis au cour
je bois du lait
quand je vous le disais
je dé peausse la plaque conte
je mange un flan
il est tant à allée chercher du pain
je lui sère la main
il est mort à 12:00
je joue avec la console
je signe le document
j'ai du bons cœur à lui prêter mon ballon

il est censé être à paris,qui a du bon sens
la nuit tous les chat sont gris
je rendre le fille dans la chars
je vent la cession de bail
un tribunal est apte à tenir séance


je regarde le rayon de soleil sur le mur
je rendre dans le pavillon
je caresse la boue

j'aime bien le mois de mai pour ses fleure
je chante bien les différentes chanson
nous aimons les courtoisie de cher
je vais chercher du pain
je cour sur le béton
je bois un verre de lait
je nage dans l'eau
tous le monde demande quand ou passe la pièce à l’ôtée
je passe le temps à l'histoire de conte
je prépare du flan
elle a tant couru qu'elle est essoufflée
je lui donne la main
mon père et ma mère est mort
je joue au ballon
je signe un contrat
ma copine à bon coups de cœur
elle est supposé être censé d'allée là
qui a bon sens
communication en temps réel sur l'internet
par échange de miss ages écrit
je prend nos  temps à enfilé thou 

un vieux michel mouton dessus un vieux âne 
vis l'autre jour issir du presbytère 
A son ançon pendait une bréviaire 
et dessus lui unes grandes vielles bouges 
bien eût semblé ou ressemble architecte ou et juge,
s'il n'eût eu les paupière si rouges...
les yeux avaient plus rouges que corail...
ils me semblaient bien fourrés de cendal d'époques puis à midi arrivâmes à liège ! 

et pain ne voient qu'aux fenêtres


Qui vaillant plat ni écuelle

n'eut onques,n'un brin de persil.

pas ne ressemblent aux vieux  maçons 

Que servir faut à si grand peine

Et ceux qui ont les culs rogneur 

chacun une chaise percée
comme pour tous veux ou et vielles 
mais qu'à la petite marçée
de Seraing à jemeppe,qui eut ma ceinture
l'amende soit bien haut taxée
Elle est une mauvaise  odeurs de rue
mais que de belle jour à jour 
mais ces de belle années
j'aime comme je suis été élever  

autre chose revenons acte de suivie prison demande rapport 
objet de la demande module papier sociale,aux,ale serais-t-il effective,doit de l'entrevue d'un personnel de l’économat interpellateur,tric de vous devez inviter votre acte révulsion sur leur invitation quand  du à la réception en bonne uniforme. raiponce du directeur:veuillez préciser l'objet de votre demande nom directeur: sevenants 
objet de la demande; je constate que l'on met sur mon compte la lunette du WC cassée à quand la mutation a été réalisée aucun état des lieux n'a été réalisée je vous certifie que cette lunette était déjà cassée au  par avant. Pouvez-vous rectifier le tir 
réponse du directeur : Monsieur, les agents me confirme,sur lobe de l'état des lieux réalisé avant votre entrée dans la cellule que la lunette des WC serait en bon état avant votre arri

 une consultation de soin 
une thérapie palisse
l'amour d'âne

consulte l'amour, eux

l'hore tomber d'or
regarde le vent passée lentement
l'être ou et les Yeux voir passée 
l'ombre d'or suivre le vent
 ruissoule se dirige avenu le vent de lise
à rejoindre les Yeux là,passe 
aux vent avec le retour des yeux
2.avoir les yeux dans le vent
passée l'or d'ombre re lui 
celle passée l'ombre
3.l'amour passe de la même femme
jour à jour
ressentie le rire,pleure,rouspéteuse,rugi,gonfle,
s'épanouie,-vient temps en temps
dire bonjour a michel mouton
cet l'amour qui ruisselle pour nous deux
diriger avec le vent de-sent vère les yeux
l'or apprêt ces la couleur d'amour qui passe 
bien l'amour de la femme assassiner
pour la loi moi je passe le temps avec elle
 dans les Yeux une ombre coule de l'or
d'amour de couleur de vie ou et des filme 
qui sont de l'amour-la même chose qu'un 
amour de des set de ma maman 
nous regardons l'or couler des yeux
en couleur de pousaire d'or de vie de la maman a élever 
son fils a la couleur de ces Yeux 
ce matin je suis un homme
1.bien évaillé
2.contemps d'être là
3.expère à trouver du travail
4.content avancer dans bibliothèque 
gèrare: heureux d'être la partie avec vous 
          : joyeux de témoigner
          :qui se réjouies à prendre pare toue
          : je suis Seraing optimiste
pour moi je suis Seraing optimisme
réquisitoire histoire verbale humaine 

gladys felten   parle a son tour  

1.qu'elle ne compromettant rien a la conversation tél
2.que sont en siens compagnons elle a du le parler pour lui calmer 
3.que sont enfant à été était à pied nu pour rentrer a l'hopitale 
4.que son enfant a été masquer avec un masque gaze pour endormir la douleur  
5.que à la pharmacie elle à payer 2 € prit générique du médicament
1.dispute
2.compagnons calmer 
3.porter enfant jusqu’au médesien 
4.douleur
5.générique


model de parler a la personne ? plusieurs mots  spéciale qui sonne bien a l'oreille 5 question- réponse doit être rendus a la personne 


quel est le problème ?

qui-quand-quoi-ou 
en quoi est-ce un problème pour toi ? 
ou est-ce que tu ressens?
de quoi aurait-tu besoin? 
qu-est-ce que tu ferait du bien ?
qui pourrait'aider ?
en quoi puis-je t'être utile

limite a ne pas des passée  

il ne faut jamais dépassée à temps dire CA limite dire une limite
comment je ne sent
est-ce que je peut te dire que tu vient 18:00
Du contrat social: 
Aux fondements de la pensée moderne, sur laquelle il aura exercé une influence décisive,le contrat social reste l'un des ouvrage les plus importants de Rousseau.Publié en 1762,il dessine les grandes lignes d'un modèle de structuration social capable de combiner harmonieusement les valeurs propres à l'<état de nature>entre les individus qui,parce qu'il ne sont soumis qu'à des conventions auxquelles ils sont librement,souscrit,<n'obéissent à personne,mais seulement à leur propre volonté>.
Exergue:
1.Traduction:<Proposons un traité dont les clause soient juste>(Virgile,Énéide,XI,321-322).
Livre I. chap.1.
2.L'article 1 de la Déclaration des droit de l'homme et du citoyen proclamera:<Les homme naissent libres et égaux en droits.>Ce qui est une adaptation de la formule de Rousseau visant à affirmer que les hommes ont des droits égaux. Derathé indique(Pléiade,III,p.1433)que la formule de Rousseau pourrait bien être une vive république à Bossuet qui affirme dans la Politique tirée des propres de l'écriture Sainte:<Les hommes naissent tous justes.>
chap.II.
3.La formule par laquelle s'ouvre le livre I du contrat trouve ici son commentaire : la liberté de l'homme est une donnée issue de la nature et de la nature.Et Rousseau retient,comme première loi naturelle,la loi-c'est-à-dire l'obligation-que nous fait la nature de nous conserver dans l'être.dés lors,si la nature fait les hommes libres,il est clair que c'est la société qui les asservit.une proposition connue depuis le discours sur l'inégalité.On voit que le problème théorique du contrat social devient,de ce fait même,celui de déterminer en droit les condition d'une liberté retrouvée.artificielle.dés les premières lignes il ne subsiste aucun doute sur les intentions de rousseau:la société civile,telle qu'elle est de fonder un ordre légitime afin de reconstituer la liberté naturelle perdue. 
4.jurisconsulte hollandais du droit naturel,Hugo Grotius est l'auteur d'un grand traité(De jure belli ac pacis,1625):Du droit de la guerre de la paix,traduit par Barbeyrac en 1724,que Rousseau étudia-et dont il s'emploie dans le Contrat à réfuter la doctrine. Grotius, dont l'influence au XVII siècle est très grande dans le développement de l'école du droit naturel,est aux yeux de Rousseau un <sophiste payé>Lui reprochant<d'établir le droit par le fait>,Rousseau voit en Grotius l'adversaire par excellence(cf.infra,note 23).
5.Thomas Hobbes,philosophe anglais,publie en 1651 Levia than,son ouvrage principal(traduction tricaud,Sirey,1971):auteur également en 1652,d'un De Cive (Du citoyen).Le mot de <hobbisme>,forgé à partir du nom de Hobbes,est dans le courant du XVIII siècle,synonyme d’absolutisme.Sur Hobbes,Auteur fondamentale,on peut se reporter à M. Malherbe,Thomas ou l'ouvre de la Raison  (vrin 1984),Y-c Zarka,La Décision métaphysique de Hobbes(vrin,1988)et P-F.Moreau,Philosophie,science et religion (P.U.F.,1989) 
6.Cf.Aristote,Les Politique(I.2,1252a)
chap.III
7. Rousseau,qui recherche un fondement légitime à l'obéissance,ne saurais bien entendu le trouver dans la force.si la force fondais le droit,ce mot de droit serais privé sens.La notion de <force>doit être distinguée de celle de <puissance>(ou<pouvoir>):la première est pure violence physique et,comme telle,fondée en droit.C'est pourquoi ce Chapitre III explique simplement que ces deux mots<force>et<doit>,mis ensemble,produisent une contradiction dans le termes.C'est-à-dire sémantique:les mot y perdent leur sens:c'est pourquoi Rousseau dit que le <mot de droit>ici dans ce contexte de force,<ne signifie rien du tout>.
Dans la mesure où la norme de droit serais issue d'une convention passée verbalement entre les hommes-convention qui seras le pacte fondateur lui-même-il s'agit de préserver le sens de mots. c'est pourquoi Rousseau ,au cours de ce chapitre III s'emploie à établir ce que parle veut dire.
8.En effet,Rousseau n'a de cesse que la question fondamentale-qui est la question du fondement de l'autorité légitime-soit bien posée.Ayant écarté le prétendu fondement de l'autorité dans la force il s'apprête (chapitre IV) à réfuter le prétendu droit d'esclavage.
chap.IV
9.Le problème est remarquablement bien posé par Rousseau:il est posé en termes de liberté et d'aliénation de cette liberté.D'une part,l'homme est libre par nature,on ne peut donc dériver sa servitude de la nature sans se contredire:d'autre part,la servitude ne saurais trouver un fondement légitime dans la force-puisque la force ne fait pas droit:part conséquent,il n'y a pas d'aliénation possible de la liberté.
Mauvaises Fréquentations  
Une doubles enquête très  délicate pour la jeune procureur Rachel Knight,confrontée à de sombres affaires de pédophilie et de corruption...
Comme prouver que votre collègue et ami,mort dans des circonstances sordides,est en fait l'homme le plus droit qui soit?Pour Rachel,procureur,une seule solution;mener l'enquête...en toute illégalité.
Et quand on lui confie le dossier le plus brûlant de son ami disparu,le viol d'une adolescente,la jeune femme doit mener de front les deux affaires.Mais elle est alors prise pour cible par un gang de Los Angeles. Pourquoi Rachel est-elle devenue la femme à abattre?Quel lien entre les deux affaires et ses agresseurs? ?Avec son amie inspectrice Bailey,véritable tête brûlée,la jeune femme va devoir affronter le monde du pouvoir,de l'argent et du crime....
Marcia Clark est connue aux états-unis pour avoir été procureur au procès d’O. J Simpson.Mauvaises fréquentations est son premier roman. Á sa sortie,il a été salué par une critique unanime et enthousiaste.Collaboratrice judiciaire pour la presse,Marcia Clark vit à Los Angeles et travail déjà à son deuxième roman qui à nouveau mettra en scène son alter ego Rachel Knight.
"Le premier roman de Marcia Clark,oú elle met à profit son expérience et ses connaissances du monde judiciaire.Le rythme,l'intrigue et les dialogues sont décapants.Son personnage Rachel Knight verse vraiment sang,sueur les pages.Les nouveaux fans de Clark attendent la suite avec impatience! 
Á lire absolument!C'est brillant et bourré d'humour.On est plongés dans les dessous de la loi de Los Angeles.Un sacré bon thriller!! 
IL faut le souligner il faut pas allée loin pour entendre se genre de sujet en Belgique sa se passe aussi se genre de sujet oui j'ai entendu que sèrtien avocat prêtais leur appartement a des sens papier ou et donnais de euros pour vivre ficher ou pas de la justice aussi que sèrtien pieuvre entendre que tu na plus rien du fait du mois il te laisse la dans la merde ou est la logique dans ces sujet   
Luis Revelo habitait du mauvais côté de la ville,dans un quartier ouvrier de Sylmar,nord de la vallée de San Fernando.En grande partie hispanique,l'endroit se montrait relativement tranquille;patelin respectable,jusque'au jour oú des gangs s'y installèrent et le transformèrent en champ de bataille.Certains blocs étaient encore peuplés de gens convenables,ces travailleurs pauvres de toutes origines qui faisaient jadis la fierté de Sylmar. Désormais,ils se trouvaient assiégés tous d'a bore je voulais vous dire que je raconte une histoire vécu pare des plotons militais us donc un raconte l'histoire universelle tous d'a bore aussi je vous Dre  dire que je ne suis pas la pour faire des problèmes mais racontée des histoires de moi vécu resonnee pare militaire le poins de toute les états du monde entier qui nous gouverne de plus  en plus boule de neige non donne se quille sa cumule cause la vérité reviens éclate ou et on n'a le droit humaniste que tous le monde soie aux courent  je me promenais en ville de liège a trouvée des reponce a me question ou je me suis mis dans les problèmes de t'elle que les ministre ou et tribunaux sa charne sur Mons sore mes  jambe se fessai lourde fatiguée je me mis a une terras quelle est la leçons de loin la plus vitale est l’importance de reflechire ces l’importance de ce que nous pensons si je s'avais ce que nous pencon si je s'avais ce que pense si je s'avais ce que pense de mon voisin je s'aurais qu'il est ce sont nos penses qui font notre personnaliser notre attitude mentale est  le facteur qui détermine essentiellement notre destinne moi je lui dit <l'homme est ce qu'il pence durant toute la journer >comme pourrais il en être autrement? a présent je sais avec une certitude absolue que le choix judicieux de nos pansée est de tous les problèmes que nous devons ressoude le plus important en fait presque l'unique problèmes si nous s'avons maîtrisée nos pansées nous serons en bonne voie pour résoudre toute difficulté marc aurele le grand philosophe qui régnais sur l’empire romaine a reumee cette vérité en nef mots neuf mot qui veulent font bien changer vos existences mais ce qu'il pence il l'est >a dit Norman Vincent peale est ce z dire qu'il faille adopter une attitude d(insouciance beate face a tous nos problèmes ?non la vis n'est évidement pas aussi simple que cella mais je raconte de une attitude positive au lieu d'une attitude négative bureaucratiquement pas niée tous le monde nous devons bien nous occupée de bouche a oreille nos difficulté mais non nous en provisionne ou est la différence permettez moi de l’illustrée pare cette exemples simple retracer se que l'union européenne et l'amerique nie au jent nous cache a madame monsieur tous le monde la guerre commence les solda sont appeler au ferons pour la causse intituler en 1985,6 a L’ONU politique  il parte en bateaux une dixene de en arrive a la plage il remarque des ben boue gisent au de su des poteaux plante dans le sable rien a signalée mise a pare des ben boue girl ante  au dessus rien a voire des girl ente européenne sur le marcher et les banc de cette accueille se quand mes sur le sapin  se fut le ça pour tous le monde qui dessent du bateaux de la stupeur a tousse on demandais de m’être pier sur la plage tous se mes sur leur garde la commencés que les soldat tombe un a un sens rien voire de sus pais mais bien des bruies de balle sifflante passe sur les soldat signalent a la radio que ces coupe de feux a  bien et bien été tire des hommes rien a signalée dit les soldat a la radio rien que du sable blanc a penne sur la plage tue tous étais la a la flotte Amérique et d'aure arrive a faire demie toure pour ton propre ennemie invisible ne chauffe pas fournaise si chauffée qu'elle brûle l'ennemi et toi même envallire la plage étais devenu l'echeque de la flotte marine ameriqainne quartier ou la base en Amériques est sur l’étonnement explication de set soldat sur place pence les chef état groille de fautes incroyables un moyen sur d'oublier ses ennemis est de se consacres entierrement a une cause que nous dépasse alors les insultes pare balle et sens manifestation d’hostilité sens homme que nous su bison c'est lui même qui m'ma racontée son histoire <peu a prêt la démobilisation pare a chute sur le solde ennemie je me suis établis a mon compte parque je ne craillais pas mes yeux de parano anormale que je voillet sur la ville ennemie ont commencée parachute sur la terre a sens teinne de m’être sur le mabre toute la ville étais de m'arbre les rue je n'arrive pas a me procurée les piesse détachée et les appareils photo cameras dont j'avais la charges de portées donc que j'avais besoin et je crin d’être obligée de tous abandonne les appareil photo etc les nerf je devais stresse l’équipe ne compronest rien pas mouillement de fais des photo filmer a la cameras pas de signale je deviens maussade agrresife..a l’Époque je ne compromet que faille demolire mon foyer  je ne compromet le compte plots de L’ONU rien avoir avec la politique transparence on commencés a capter les suivis dans les maison ou skoitais et étais entre 3 ethnique entasse tous le monde de plus des matérielle jamais vue en Europe on doit le signaler a l'amrique pare radio on nu lorsque lord de tue tous les monde possibles bien sur que des demande de journaliste ne pouvais pas venire sur plase ou il avais tros de para noya les journaliste europe pouvais venire sur plase se sont un trie que l'amerique apret devoire effacee les apra noya de cette ville on recu un message de l'onu  en attendre de la tv media europenne la sollution quille l'y avais  les meilleur syntesse en amerique qui veux dire hollywoode se chage dans les plateux de l'amerqie de reconstituee reconstriere la ville de bac datte la ou il y avais etat de geree slogent pour l'onu polityque trensparence pour eu dire au tv media objetif de tournee sons les plateux et le trensse m'etre dans le monde entier humanitee pour vive en armonie avec le slogent polityque trensparence  on n'eu l'accorde de l'onu le jour venue d'allee chercher a la'a cible endroit ou serais respartrier a une matiner pare avion humanitaire je dichpatchigne camion millitaire pour alle juqu'a la il etais la a la vense il attendais meme  apret l'heure si il faudret toujour rien avec nous pare radio rienvenus six semain plus tare nous on nous dit de revenire sur plase la elicopter fut une sible de moteur dans le ciel mais rien d'etre signaler comme engien millitaire humanitais pouis on vue des sentres des boites en bois tombet pare tere sous nos pier on prie des pier de biche ouvre quelle que boitre rien pas de provition iren que des poupees en chifon tysus apret annalise de l'amerique s'appelle entre la matier du lin meme le nom golde en europe assu etude sur le nom disimuler le nom en jenre du nome marque gold rentre au cartier generale qui se trouve en ville bredouille avee des poupee de tyssus a son etonnement apret les fais en mais on contact l'onu sur autre frequence rappellon qui est maintenement a votre dispausition en europe materielle imformatique  ces a dire gsm ordinateur plans de construction des toute materielle imfomatique  de a a z nous affimrmons de ne pas avoie eu de vive humanitaire mais si il en faux quil serais  envoyer durjence des homme voie les bancboue les autre un vase horizon du pays lointin de madame monsieur tous le monde des entiene de millier de tonne de marbe repartie tous les moiellin de 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a ma bibiographie sens  que je suis petits histoire jenre ensien guerre 1944 pourquoi ne vous posez vous pas en ce moment la meme quetion vous allez problablement decouvrire des raison  decouvrirement que vous vous stressez pour des reson relativeement insignifiantes environs 90 %de positive quant il ont la et ignorer le 10 % de negativeen revanche si nous tenons a nous a vous tracacer a souffrer et oublier nous n'avons qu'a ruminer les 10 % de negativeet oublier 90 % de positive somme nous une sombre bessimiste sa fais tellement triste d'etre venu au monde que le jour de son anniversaire et pourtant ce disespere chronique se rendais compte de l'influence ence bienfaisant de la bonne humeur et de l'influence sur notre etat psycologique des fais si grave que j'a once les meilleur mecien au monde dirons sont les docteur sobriete serinitee et joie nous pouvons tous dispausee gratuitement a tous heurs du matin au soir des soins eclairees comme seluis ci richeste nous possedon continuellement la richeste en nous pas rien que les burocrate fabuleux tre sore accepter vous de vous consulter de votre facon de vivre avec appreenction nous notre bonneur nous penson rarement a se que nous possedons mais tocyour a se qui nous marque et cette tendance que nous avon a toujour panser a ce qui nous marque constitu la plus gtande pencee tragique de la vie t'ellle a problablement cause plus de souci que tous les guerre et toute les epidemme a moi vis vere ca nos vieux ron,chomeure qui ruinaras presque son vit a c'est lui et moi frere ses lecture